Le concessionnaire de la LGV doit mettre en oeuvre les mesures de compensation d'un des plus gros chantiers européens sur au moins 3.700 hectares. Actu-Environnement est allé voir comment il s'acquitte de son obligation.
Les grands projets d'infrastructures ne mettent pas correctement en œuvre la compensation écologique, concluait un rapport sénatorial publié en mai 2017. Qu'en est-il de de la ligne à grande vitesse (LGV) Tours-Bordeaux, dont la construction a constitué l'un des plus gros chantiers européens, voire mondiaux ?
Au moment de sa mise en service, le 2 juillet 2017, France Nature Environnement (FNE) avait dénoncé non seulement des infractions à la réglementation environnementale du constructeur...
Article publié le 26 octobre 2018