Areva et EDF ont demandé à l'Autorité de sureté nucléaire (ASN) une prolongation des analyses en cours sur la composition de l'acier de la cuve et du couvercle de l'EPR de Flamanville (50). "Les premières analyses effectuées sur deux pièces analogues à celles de Flamanville 3 ont montré, sur l'une d'entre elles, une extension du phénomène de ségrégation carbone au-delà de la mi-épaisseur", expliquent les deux sociétés dans un communiqué commun. Autrement dit, les anomalies découvertes en...
Article publié le 14 avril 2016