Globalement, l'indice de réparabilité joue son rôle, estime HOP et les acteurs qui ont évalué sa mise en œuvre. Mais ils jugent que sa construction est à revoir : trop de poids est accordé à des critères secondaires, au détriment des plus importants.
Ce mardi 1
er mars, l'association Halte à l'obsolescence programmée (HOP) publie sa première évaluation de l'indice de réparabilité entré en vigueur le 1
er janvier 2021. À l'issue de cette première année, HOP juge que l'indice est
« un bon outil » et qu'il est
« utile ». Globalement, la note affichée par les producteurs est identique ou un peu supérieure à celle calculée par HOP. Cet écart peut toutefois aboutir à des
« abus », puisque la moitié des...
Article publié le 01 mars 2022