À l'heure des engagements en faveur de la régulation des émissions des polluants atmosphériques, la conception de nouvelles technologies de dépollution préventive ou curative est devenue plus que jamais essentielle au développement durable des procédés de combustion pour la production d'énergie et des transports.
La chimie computationnelle est un contributeur significatif du contrôle de la pollution. Elle a notamment relevé les mécanismes en jeu dans la formation des polluants et déterminé les principaux paramètres moléculaires correspondants. Il reste pourtant de nombreux défis à relever, en particulier en ce qui concerne l'interaction des transferts d’énergie inter et intra-moléculaire avec un ensemble croissant de processus réactionnels dans des environnements auto-organisés de (post-) combustion multi-phasiques.
De par la contribution croissante des nanotechnologies à la lutte contre la pollution, cette conférence vise à rapprocher les chimistes théoriciens et les ingénieurs chimistes, et rassembler autour d'un même événement les spécialistes de la chimie de la combustion et des plasmas, les experts en catalyse hétérogène et les chimistes de l’atmosphère.
Elle s'adresse non seulement aux théoriciens, mais aussi aux expérimentateurs chargés de concevoir les techniques avancées permettant d’appuyer le développement et la validation des modèles théoriques.
Cette rencontre scientifique permettra aussi les échanges entre les participants issus du monde universitaire et de l'industrie, en abordant des applications aussi diverses que les moteurs à combustion interne, les turbines à gaz, les foyers industriels, les systèmes de post-traitement thermique et catalytique et les technologies de dépollution au plasma.
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Mar |
13 |
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