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Actu-Environnement

Effet sanitaire des antennes relais : le désaccord persiste entre experts et associations

Alors qu'un ''Grenelle des antennes relais'' est prévu le 23 avril, l'OPECST a organisé une audition publique qui a de nouveau illustré les divergences d'opinions entre experts et associations sur les dangers potentiels des téléphones mobiles.

Risques  |    |  R. Boughriet
   
Effet sanitaire des antennes relais : le désaccord persiste entre experts et associations
© SwissHippo
   
Deux décisions de justices prises en février dernier ont relancé le débat autour des champs électromagnétiques, en ordonnant, aux opérateurs de téléphonie mobile SFR et Bouygues Télécom, le démontage d'antennes relais. Ces décisions ont été prises au nom du principe de précaution et du trouble de voisinage dû à l'impact visuel exceptionnel de ce type d'installation.

Depuis, fortes de la jurisprudence, plusieurs dizaines de procédures judiciaires ont été lancées. De son côté, Bouygues Telecom, débouté en appel, vient de décider de se pourvoir en cassation. Alors qu'un ''Grenelle des antennes'' est prévu le 23 avril prochain, l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) a organisé le 6 avril, à l'initiative du député de la Somme Alain Gest (UMP), une audition publique rassemblant parlementaires, scientifiques, associations et opérateurs sur les dangers potentiels des téléphones mobiles.

Rappelons qu'Alain Gest a été chargé le 4 février 2009 par l'OPECST d'une étude sur ''les conséquences éventuelles sur la santé de la téléphonie mobile''. A l'ouverture de cette audition, le Président de l'Assemblée Nationale Bernard Accoyer a souligné le contraste entre la place importante prise par la téléphonie mobile en France et l'inquiétude d'une certaine fraction de la population devant la multiplication des antennes souvent perçue comme anarchique. Alors que des études ont montré l'innocuité des antennes relais, ces inquiétudes concernent le risque de développement de cancers et de troubles fonctionnels, tels que les difficultés d'attention, les troubles de l'humeur ou du comportement, a-t-il expliqué.

Polémique autour de l'impact sanitaire des champs électromagnétiques

Cette audition publique a de nouveau illustré les divergences de points de vue entre les parties prenantes. Si les associations estiment que les normes de rayonnements électromagnétiques doivent être revues à la baisse et que les enquêtes épidémiologiques sont insuffisantes, les experts scientifiques affirment qu'en l'état actuel des connaissances, aucun risque sanitaire n'a été mis en évidence. Ainsi, pour le Professeur André Aurengo, chef de service à l'hôpital Pitié-Salpêtrière, les effets associés à l'exposition aux antennes relais étaient soit faibles, soit inexistants. S'agissant de l'électrohypersensibilité, le professeur considère que les maux invoqués par certaines personnes étaient de nature psychosomatique. Une position partagée par le Docteur Eric van Rongen, membre du conseil de santé des Pays-Bas mais aussi le Professeur Denis Zmirou-Navier, professeur à la faculté de médecine de Nancy.

En revanche, contestant ces analyses, le Docteur Pierre Souvet, président de l'association santé environnement de Provence (ASEP), a notamment souligné la nécessité de prendre en compte la pollution permanente subie du fait de l'exposition aux antennes relais. Plusieurs membres de l'association Robin des toits ont notamment cité des études mettant en avant des troubles pour la santé. De nombreuses études ont établi des effets biologiques des ondes sur les protéines de stress, le système immunitaire, les marqueurs d'inflammation et sur la mélatonine, une hormone impliquée dans le cycle veille/sommeil, a ajouté Pierre Souvet. De son côté, Stephen Kerckhove, délégué général d'Agir pour l'environnement, a plaidé en faveur d'un débat public plus transparent, reposant davantage sur le doute et l'incertitude et débouchant sur des décisions de fond. En effet, on l'aura compris : les pours et les contres ne sont pas prêts de s'entendre!

Vers un abaissement des normes?

L'ASEP et Agir pour l'environnement réclament, au nom du ''principe de précaution'', un abaissement de la norme à 0,6 volts par mètres (au lieu des 41 volts/ mètre actuels). Le Conseil de Paris demande également au gouvernement que les normes nationales d'exposition soient reconsidérées, notamment en zone dense, dans un vœu adopté par le Conseil le 7 avril.

Mais du côté de l'Union européenne, le Chef d'unité à la Direction générale de la santé et de la consommation de la Commission européenne, Bernardo Delogu, présent lors des tables rondes, a rappelé que l'UE n'envisageait pas de réviser la recommandation des valeurs limites soumises aux états membres, estimant qu'il n'existait pas d'éléments scientifiques de nature à justifier leur révision. Le 2 avril, le Parlement européen a pourtant adopté une résolution en faveur de la révision du seuil actuel et de la reconnaissance de l'électro-hypersensibilité comme handicap.

Quoi qu'il en soit en France, le 23 avril, le ''Grenelle'' des antennes relais devrait permettre de faire un nouveau point sur les connaissances scientifiques ainsi que sur les réglementations en vigueur, a précisé le Ministère de la santé. Une synthèse utile sachant que les études scientifiques se succèdent et restent contradictoires.

La dernière en date est celle de Jean-François Viel, chercheur au CNRS, publiée le 30 mars sur le site de la revue ''Occupational and environmental medicine'', qui souligne qu'il ne suffit pas de s'éloigner de l'antenne pour être hors de sa portée. Le taux d'exposition aux ondes serait plus fort à environ 280 mètres de distance en zone urbaine et à un kilomètre en zone périurbaine, que lorsque l'on est situé en dessous.

Réactions11 réactions à cet article

le ministère de la sante se ridiculise encore

en mettant en danger la population.

"la recommandation des valeurs limites soumises aux états membres, estimant qu'il n'existait pas d'éléments scientifiques de nature à justifier leur révision"


soyons serieux cette recommandation émane de l'ICNIRP les ministeres francais n'ont meme pas le le guide qui va avec ou ne savent pas lire.

http://www.icnirp.de/documents/emfgdlfr.pdf

ce quide ne concerne que certains risque c'est écrit dedans!!!!

"le couplage de champs électromagnétiques à des appareillages médicaux portés par, ou implantés sur, une personne
(ce cas n'est pas envisagé dans le présent guide)."

"Le respect du présent guide ne permet pas ipso facto d'éviter toute perturbation des dispositifs médicaux tels que prothèses
métalliques, stimulateurs ou défibrillateurs cardiaques, implants
cochléaires. Les stimulateurs cardiaques peuvent être perturbés par des champs n'atteignant pas les niveaux de référence.
La prévention de ces problèmes n'entre pas dans le domaine d'application du présent guide mais est traitée dans d'autres
documents."


Ce guide précise bien que les limites qui y sont mentionnées (41 a 61V/m ne protegent pas de touts les risques et que pour les risques concernant la compatibilité electromagnetique avec le appareils medicaux il faut faire appel a d'autre documents ce qui dément formellemnt les allégation du ministere de la santé .

le risque de dysfonctionnement d'appareils electroniques , que la loi oblige a prévenir dans l'article L32 du code des P et T est traité par la normes internationale applicable aux appareils electronique a usage medical utilises a domicile IEC60601-1-2 et les tables 5 et 6 mentionnant la limite de 3V/m a ne pas depasser pour assurer la securité des utilisateurs.

s'il la limite de 41 a 61V/m suffit à protéger la population c'est que cette valeur est inférieure a 3V/m selon le ministère de la santé.

on a éte trompe a l'insu de son plein gré au ministère de la santé ou on essaie de tromper la population en dissimulant des risques?

IEC60601 | 09 avril 2009 à 16h57 Signaler un contenu inapproprié
correction il faut lire Bernardo Delogu

au lieu de minitere de la sante. (ca vaut pour leur attitude aussi il ne trouveraient pas d'eau a la mer)


parlons des pratiques des instances europeennes , le scenihr en 2007 a pondu un rapport et a demande des contributions aux citoyens qui devaient etre publiées promis juré .

Les risques concernant la compatibilité electromagnétique et la limite de 3V/m ont ete dissimulés par cet organisme.
Des contributions sur ce sujet on ete envoyées mais le scenihr ne voulant en aucun cas mentionner un risque certain a 3V/m a décidé de les escamoter , elle ont éte jetées a la poubelle afin de pouvoir continuer a dissimuler ce risque.

on peut donc imaginer que pour tout risque prouvé il en a été de meme.

Personnes ayant jetée les contribution a la poubelle afin de tromper la population il s’agit de Katja Bromen et Athanasia Kanellopoulou.

expert francais ayant été consulté dans cette affaire et n'ayant rien dit a ce sujet . René de Sèze de l’INERIS qui connait le risque puisque un labo y fait des essais de compatibilité electromagnétique et teste donc la limite de 3V/m.

le SCENHIR escamote les contributions et les risques il est a la solde des pollueurs .

IEC60601 | 09 avril 2009 à 17h09 Signaler un contenu inapproprié
ce que l'on appelle le rapport viel

ou l' interprétation et l'utilisation qui en est faite (mais il n'a pas protesté)

on y trouve 3 allegations principales:

1°) le niveau mesuré ne dépasse jamais 1,5V/m et c'est que la FM
2°) le niveau est maximal a 280 metre on est protege par l'effet parapluie pour des distances inferieures
3°) la fm expose plus que la telephonie mobile

ces trois allegations sont fausses et totalement dementies par les mesures officielles relevées sur le site cartoradio, comme le prouve le depouilement des 250 dernieres mesures realisées par priartem
(source priartem)

et quelques exemples suivant pour ceux qui ont la flemme de chercher

Besançon 3,8V/m mesuré a 40 metres de l'antenne (source : cartoradio)

Lyon 5,75 V/m mesuré a 50m de l'antenne (source : cartoradio)

Antibes 11,8V/m mesuré a 30m de l'antenne (source : cartoradio)

selon ce rapport 3,8V/m; 5.75V/m et 11.8V/m c'est plus petit que 1.5V/m et 30,40 et 50 metres c'est plus grand que 380 metres?

c'est inquiétant le niveau scientifique ce que disent on que l'on fait dire à nos experts sans qu'ils protestent!

IEC60601 | 09 avril 2009 à 17h25 Signaler un contenu inapproprié
le Pr Aurengo ment sur france 5

le 12 avril sur france 5 le professeur aurengos'est ridiculisé

1°) mensonge)
allégation 1 "
On ne connaît aucun mécanisme par lequel les champs électromagnétiques dans cette gamme d?énergie et de fréquence pourraient avoir un effet négatif sur la santé."

il a donc dissimulé la compatibilité electromagnetique avec les appareil electronique dont ceux a usage medical utilises a domicile.

La norme IEC60601-1-2 et les tables 5 et 6 donnant une limite de 3V/m a ne pas depasser pour assurer le securité des utilisateurs dementent formellement les allégations de Mr aurengo!

2°) incoherence de l'argumentation:

allegation 2 "1V/m (proche de la valeur de 0.6V/m que demandent les assoc) sur 24h c'est comme 30 secondes de portable", mais pourquoi utiliser un niveau de 1V/m pour défendre une limite de variant de 41 a 61V/m ? c'est totalement incoherent, on comprendrait la demo s'il demandait une limite de 1V/mais dans son cas il devrait faire le calcul avec 61V/m valeur qu'il veut garder !

c'est inacceptable ce genre de pratique !!

peu apres il a reconnu que 3% des mesures dépassent 4V/m, or les gens ne sont pas exposes a une statistique nationale mais a un cas precis qui si il depasse 3V/ met en danger la vie des utilisateurs d'appareils electroniques comme les lecteurs de glycemie , thermometre etc..

comme a antibes 10V/m mesuré a 30 metres de l'Antenne.

pour Mr aurengo les 3% qui subissent plus de 4V/m ont peut les classer dans les pertes acceptables comme les quelque pourcent exposes fortement a l'amiante?

C'est une honte que des scientifiques fassent croire que les gens sont exposes a une statistique plutot qu'a des cas réels .


Un conseil a mr Aurengo vous etes médecin lisez la notice d'un tensiometre electronique vous decouvrirez un risque que vous avez été incapable de trouver et qui dément ce que vous racontez sur les plateaux TV.


Mr Aurengo serait plus crédible si de 1987 a 2007, il avait proposes des mesures d'etalonnage serieuses des appareils de radiotherapie pour prevenir les surirradiations dans les hopitaux mais il n'a semble t il rien vu venir (dommage pour un super expert des radiations).

IEC60601 | 13 avril 2009 à 08h30 Signaler un contenu inapproprié
Re:le ministère de la sante se ridiculise encore

N'étant malheureusement pas scientifique à la base, il m'est difficile de comprendre vos différents commentaires et donc de pouvoir avoir une critique objective sur les arguments des uns et des autres.

Pourriez-vous nous éclairer sur ce sujet avec une approche un peu plus 'pédagogique', sinon j'ai bien peur de ne jamais rien comprendre, et je ne serai pas le seul...

Cordialement

Anonyme | 17 avril 2009 à 10h13 Signaler un contenu inapproprié
les limites thermiques

des charlatans prétendent proteger la population avec une limite que l'on trouve dans le decret 2002-775, venant d'une simple recommandation européenne qui elle même émane d'une organisation privée internationale l'ICNIRP. http://www.icnirp.de/

cette organisation a établi des limites pour prévenir certains effets biologiques, essentiellement l'echauffement des tissus internes (sous la peau) de recommander des limites pour le prevenir c'est ce que l'on appelle la limite thermique, la valeur preconisée varie de 41V/m pour une fréquence de 900Mhz 58V/m à 1800 Mhz (GSM)a 61V/m pour la frequence de 2.1GHz (UMTS 3G)

La valeur augmente avec la fréquence car la peau absorbant de plus en plus les ondes lorsque l'on monte en frequence les tissus profonds sont moins echauffés.

Donc déjà cette limite fait l'impasse totale sur les risques biologique pour la peau, elle n'est valable que pour prevenir les risques d'echauffement profond des tissus et ne protège de rien d'autre.

si on trouve un effet sur la peau (par exemple cancer comme les UV) il faudra utiliser des limites qui diminuent avec la fréquence :le contraire de la variation de ces limites thermique.


Quand a proteger des risques de dysfonctionnement d'appareils electroniques (compatibilité electromagnetique) testés avec des limites de 1V/m ou 3V/m , l'ICNIRP a bien precisé que ses recommandations ne previennent pas de ce risque .
les experts officiels sont incapables de tout lire dans ce texte!

Il est pitoyable de trouver des scientifiques qui osent affirmer proteger la population avec cette seule limite . 61V/m c'est inferieur a 1V/m de certains appareils electroniques comme certains tensiometres? ou 3V/m comme la plupart d'entre eux thermometre electroniques lecteurs de glycemie etc

IEC60601 | 17 avril 2009 à 11h55 Signaler un contenu inapproprié
Re:le Pr Aurengo ment sur france 5

l'ong Priartem a SALUE la charte de paris et est d'accord pour 2 volts en moyenne sur 24 h alors 10 v c'est dans les normes. et quand ça dépasse à paris on ne démonte pas comme le prévoyait la charte !!!

zora | 19 avril 2009 à 21h14 Signaler un contenu inapproprié
Liens entre André Aurengo et Bouygues ?

Pourrait on avoir des précisions sur le curriculum de M. Aurengo ? Fait il partie ou a t'il fait partie du consel scientifique de Bouygues Telecom ?

A lire ou relire l'article dans le Canard Enchaîné du 11 mars 2009: André Aurengo, chef du service de médecine nucléaire à la Pitié-Salpêtrière et auteur du communiqué publié par l'Académie de médecine, est aussi « une figure éminente du conseil scientifique de… Bouygues Telecom ».

Présisions demandées | 23 avril 2009 à 12h17 Signaler un contenu inapproprié
Re:les limites thermiques

Vous semblez confondre limite d'émission et limite d'exposition.

Par ailleurs, c'est justement l'existence ou pas des effets biologiques (et non thermiques) des champs électromagnétiques sur l'Homme qui fait controverse... Alors quand vous parlez d'"impasse totale sur les risques biologiques", vous insinuez que ces risques sont reconnus, ce qui n'est pas un avis qui fait l'unanimité au sein de la communauté scientifique, ne vous en déplaise ! Donc on comprend tout à fait pourquoi l'ICNIRP n'est pas capable de recommander des valeurs seuils pour préserver le public d'un risque dont l'existence même ne fait pas l'unanimité des experts, du moins pour l'instant !

Enfin, pourquoi vous évertuez-vous à comparer les limites de compatibilité électromagnétique de l'appareillage médical (1-3V/m) aux limites d'émission des antennes-relais (40-60V/m) ?? Les limites de compatibilité électromagnétique visent à assurer le bon fonctionnement des appareils, pas la bonne santé des humains qui en font usage (il faudrait se tourner vers d'autres textes règlementaires pour cela).

Moi aussi je suis révoltée contre toutes les inexactitudes qu'on peut lire un peu partout, et cette remarque est valable autant pour ceux qui affirment l'existence d'un risque sanitaire que pour ceux qui le démentent ! Il faut être lucide : au lieu de tirer la sonnette d'alarme à tout va, laissez les scientifiques faire leur travail !

Anonyme | 07 juin 2009 à 10h57 Signaler un contenu inapproprié
cour de ratrapage pour anonyme

les risques liées a la compatibilité sont reconnus par des lois, des normes comme la IEC60601-1-2, tous les electroniciens du monde ,les formations universitaire a le compatibilité electromagnetique, des déclaration sur la documentation des appareils medicaux ou il est ecrit que 3V/m ne doit pas etre depassé.

seul des revisionistes de la science que l'on nous presente comme des "experts" officiels medecin n'ont jamais ete capable de trouver ce risque pourtant inscrit dans la notice de leurs outils de travail quotidiens comme les tensiometres. c'est ballot! que peuvent ils trouver?

Pour un medecin de base c'est deja une faute lourde, pour un soit disant experts c'est soit de l'incompetence soit de la tromperie ces experts doivent etre licenciés immediatement et interdit de toute participation a une expertise dans ce domaine.


Un dysfonctionnement d'appareil electronique ca peut etre un bloquage, une valeur fausse mais pas forcement incoherente donc indetectable par l'utilisateur.

Exemple un thermometre qui donne une valeur fausse de fievre pour un gamin incapable de s'exprimer dont les parents n'iront pas consulter ca peut etre la mort!

Detecteur de chute dans les piscine neutralisé chute d'un gamin la mort!

Lecteur de glycemie donnant une valeur fausse consequence injection d'insule mal doséee coma hypoglycemique ca peut aussi etre la mort.

Tous les appareils medicaux et memes d'autres s'ils sont perturbés peuvent conduire a de graves consequences pour la santé et tuer.

seule possibilité pour que ce ne soit pas la cas: ces appareils ne servent et a rien et sont commercialises par des charlatans merci de nous trouver un article scientifique ayant ose envisager cette hypotheses meme chez les revisioniste de la science (ceux qui ne savent pas lire leur notice)

IEC60601 | 20 avril 2010 à 18h39 Signaler un contenu inapproprié

je voudrais avoir des informations tres claires sur les antennes relais de la telephonie mobile

quid des effets sanitaires des ondes electromagnetiques | 29 octobre 2012 à 14h02 Signaler un contenu inapproprié

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