Le Secrétaire général a plaidé hier pour l'avènement d'une nouvelle révolution industrielle « verte », afin que la lutte contre le réchauffement climatique mondial « ouvre la voie à une transformation écologique de l'économie mondiale qui favorise la croissance et le développement plutôt qu'elle ne les freine, comme le craignent beaucoup de dirigeants. Les participants ont aussi convenu d'un mécanisme qui pourrait permettre d'accélérer le transfert des technologies que les pays en développement considèrent comme essentielles pour lutter contre les changements climatiques, a rapporté dans un communiqué la porte-parole du Secrétaire général, Michèle Montas. Les débats ont porté ensuite sur la déforestation, qui est responsable à elle-seule de quelque 20% des émissions de gaz à effet de serre.
Article publié le 05 décembre 2007