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Actu-Environnement

Climat : la réunion de Berlin appelle à un investissement des technologies propres

Une réunion internationale sur le climat - la troisième conférence interministérielle du Dialogue de Gleneagles - s'est tenue les 10 et 11 septembre à Berlin pour tenter de surmonter les réticences des pays émergents à participer à des négociations pour un accord de réduction des émissions de gaz à effet de serre. La réunion rassemblait les ministres de l'environnement et de l'énergie des 20 plus gros pays consommateurs d'énergie de la planète, dont les Etats du G8, les institutions de l'Union européenne et les pays émergents comme la Chine et l'Inde. Durant deux jours, ils ont examiné les stratégies à mettre en oeuvre pour réorienter les politiques énergétiques dans une perspective plus durable et respectueuse du climat. A l'heure actuelle, tout le monde n'est pas encore disposé, en particulier les pays émergents, à participer à des négociationspour élaborer un cadre international de réduction des gaz à effet de serre à expiration du protocole de Kyoto en 2012, a indiqué le ministre allemand de l'Environnement, Sigmar Gabriel.
La conférence se voulait aussi le coup d'envoi du marathon de négociations qui se déroulera jusqu'à la conférence de Bali au mois de décembre, selon M. Gabriel. Aucun d'entre nous ne doit demander aux pays en développement de freiner leur développement, a déclaré la représentante de l'Onu, Mme Brundtland, estimant que ces pays devaient être encouragés à ''éviter les étapes les plus polluantes de leur développement''. Pour y parvenir, il faut notamment,a-t-elle dit, favoriser le transfert des technologies propres et mobiliser les investisseurs privés et publics.
Dans le cadre du Dialogue de Gleneagles, nous travaillons à rendre plus attractifs les investissements dans les technologies de protection de l'environnement, a précisé M. Gabriel. Ce sont les conditions économiques et politiques qui décideront si les quelque 20 milliards de dollars qui devraient être investis dans les infrastructures d'ici à 2030 au niveau mondial serviront ou non à développer des équipements et des technologies modernes et efficaces, a-t-il ajouté.

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