La Commission rappelle que le SCENIHR avait déjà identifié dans un avis de septembre 2008 ''le rayonnement ultraviolet (UV) des lampes fluocompactes (LFC) comme facteur de risque aggravant les symptômes de sensibilité à la lumière chez les patients atteint de maladies telles que la dermatite actinique chronique et l'urticaire solaire''.
Rappelons que les ampoules basse-consommation font également débat notamment sur les effets de la dissémination du mercure en cas de bris accidentel ou en fin de vie et l'exposition potentielle à un champ électromagnétique.