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Actu-Environnement

Gaz de schiste : l'OPECST saisi sur les techniques alternatives à la fracturation hydraulique

Energie  |    |  F. Roussel

La commission des affaires économiques du Sénat vient de saisir l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) afin qu'il étudie les solutions alternatives à la fracturation hydraulique pour l'exploration et l'exploitation des hydrocarbures de schiste.

"Sans qu'il soit question de revenir sur la prohibition du recours aux techniques de fracturation hydraulique, la commission a considéré qu'il serait regrettable d'interdire toute réflexions et recherches permettant la mise au point de technologies alternatives et respectueuses de l'environnement", se justifie la commission.

Depuis la loi française qui interdit spécifiquement cette technique, de nombreuses questions se posent sur les alternatives. Le Président de la République lui-même a souligné lors de sa première conférence de presse bi-annuelle, le 13 novembre, que "la recherche est possible sur d'autres techniques que celle de la fracturation hydraulique".

Réactions2 réactions à cet article

Je n'ai jamais entendu parler d'autres solutions crédibles.
Encore une fois, en France, il y a des gens qui se croient supérieurs au reste de la terre.
Qu'ils nous la donne la solution au lieu de se croire utile à dire qu'il faut que d'autres proposent.
Si c'était si simle, il y a longtemps que les Américains le feraient.
Vivement le jour ou plus personne ne nous prêtera de l'argent pour survivre et se donner l'ullusion. Cela éliminera tout ces brasseurs de vent qu ne font que metttre des bâtons dans les roues de ceux qui essaient d'avancer.

Zaravis | 19 novembre 2012 à 09h46 Signaler un contenu inapproprié

@Zaravis

Vous partez d'un postulat erroné: pourquoi les américains ne le font-ils pas, si c'est si simple? Parce que la fracturation hydraulique est pour l'instant la solution la plus simple et la plus économique.

Je ne suis pas spécialiste de l'extraction des gaz et huiles de schiste, vous non plus il me semble, et si l'interdiction de la fracturation hydraulique est une mesure logique (vu les problèmes induits), l'interdiction de toute recherche serait une ânerie. Peut-être ne donnera-t-elle rien, ou peut-être débouchera-t-elle sur une bonne solution. Je ne suis pas devin.

Deux pièges à éviter: 1/ Financer cela par des deniers publics: ce sont des compagnies privées qui gagneront de l'argent à la vente, c'est à eux d'investir, si ils veulent prendre le risque. 2/ Compter sur le gaz de schiste pour résoudre les problèmes énergétiques et écologiques: nous ne pouvons pas faire l'économie d'un changement énergétique vers une source la plus décarbonée possible. Par ailleurs, ça ne serait que reculer pour mieux sauter, le gaz de schiste étant par nature une ressource fossile, donc limitée.

LPF57 | 19 novembre 2012 à 12h19 Signaler un contenu inapproprié

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