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Eolien offshore : GDF Suez remporte l'intégralité du deuxième appel d'offres

GDF remporte les deux sites proposés dans le cadre du deuxième appel d'offres éolien en mer. Ségolène Royal entend faire de la France un leader mondial en matière d'énergies marines renouvelables et confirme vouloir lancer d'autres appels d'offres.

Energie  |    |  P. Collet
Eolien offshore : GDF Suez remporte l'intégralité du deuxième appel d'offres
Environnement & Technique N°337
Cet article a été publié dans Environnement & Technique N°337
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Ce mercredi 7 mai, Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie, a annoncé le résultat du deuxième appel d'offres pour l'éolien offshore. Le consortium composé de GDF Suez, d'Areva, qui fournira les aérogénérateurs, de l'énergéticien portugais EDP Renovaveis et de Neoen marine, remporte les deux sites ouverts à la concurrence.

Il est ainsi chargé de construire et d'exploiter les deux parcs éoliens prévus au large de la commune du Tréport (Seine-Maritime) et entre les îles d'Yeu et de Noirmoutier (Pays de la Loire). Chaque parc aura une capacité de production d'électricité de 496 mégawatts (MW) répartie sur environ cent km2.

Alstom cache mal sa déception

Officiellement, les industriels des deux consortiums rivaux acceptent de bon cœur la décision de l'Etat. Cependant, certaines "piques" lancées par le représentant d'Alstom, membre du consortium perdant, viennent ternir l'image d'une bonne entente.
"Construire une usine, c'est bien, la remplir c'est mieux", a indiqué Jérôme Pécresse, président d'Alstom Renewable Power, en référence aux investissements réalisés en France par le groupe. Et de conclure que "factuellement, la décision d'aujourd'hui ne constitue pas un soutien".
Quant à l'éolienne de 8 MW annoncée par Areva, le président d'Alstom Renewable Power, a exprimé certains doutes. Il a estimé qu'il s'agissait d'un pari "audacieux" qu'il faudra concrétiser.
Une décision équilibrée

Evoquant des "informations confidentielles", la ministre et les industriels présents ont refusé d'indiquer quelles sont les caractéristiques des dossiers soumis et en particulier le coût pour la collectivité qui sera intégré à la contribution au service public de l'électricité (CSPE). Tout juste ont-ils confirmé les rumeurs selon lesquelles GDF a présenté les meilleurs dossiers aux yeux de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), chargée de remettre un avis consultatif sur les offres. Les deux offres pour le parc entre les îles d'Yeu et de Noirmoutier étaient néanmoins très proches, ont expliqué plusieurs intervenants. Pour ce site, le choix a été "très serré", a confirmé Ségolène Royal, précisant avoir suivi l'avis de la CRE pour "éviter tout contentieux".

Si le consortium mené par EDF Energies nouvelles, et réunissant Alstom pour la fourniture des éoliennes et le développeur allemand WPD Offshore, n'a rien gagné, la ministre a néanmoins rappelé qu'EDF Energies nouvelles, associée à Alstom et Dong Energy Power, avait remporté en avril 2012 trois des cinq sites du premier appel d'offres : Fécamp (Seine-Maritime, 498 MW), Courseulles-sur-Mer (Calvados, 450 MW) et Saint-Nazaire (Loire-Atlantique, 480 MW). Le site de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor, 500 MW) avait été attribué à Iberdrola, accompagné d'Areva et d'Eole-Res. Enfin, le cinquième site, au Tréport, n'avait pas été attribué et vient de l'être ce jour.

Les deux principaux énergéticiens français ont donc obtenu trois parcs pour EDF Energies nouvelles et deux pour GDF. La ministre a longuement insisté sur la "répartition équitable" des parcs entre les deux entreprises, fruit d'une "compétition saine".

Vers de nouveaux appels d'offres éolien offshore

A cette occasion la ministre de l'Ecologie a aussi indiqué vouloir faire de la France "la première puissance écologique d'Europe". Concrètement, elle entend "faire de la France le chef de file en Europe des énergies marines renouvelables (EMR)".

La France dispose, estime Ségolène Royal, d'"une force de frappe unique en Europe". Les six sites attribués à l'issue des deux appels d'offres éolien en mer permettraient de créer 10.000 emplois directs et de fédérer quelque 150 sous-traitants.

Pour cela, Ségolène Royal a indiqué avoir pris trois décisions. Elle a tout d'abord annoncé avoir demandé au Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema) et à la Direction générale de l'énergie et du climat (DGEC) du ministère de l'Ecologie d'identifier de nouvelles zones favorables à l'éolien offshore. Les résultats devraient être connus "d'ici l'été" et une concertation sera ouverte avec les collectivités locales concernées. Ces travaux devraient déboucher sur des appels d'offres, dont un concernant l'éolien flottant. Il s'agit d'atteindre l'objectif du Grenelle de l'environnement, soit 6.000 MW d'éolien en mer d'ici 2020.

Les deux autres décisions concernent les énergies renouvelables en général. Un nouvel appel d'offres pour le photovoltaïque de grande puissance sera lancé d'ici l'été et la ministre a promis d'établir un nouveau mécanisme de soutien aux renouvelables qui offre un cadre financier, juridique et fiscal stable.

Réactions17 réactions à cet article

Je remarque ceci: "et en particulier le coût pour la collectivité qui sera intégré à la contribution au service public de l'électricité (CSPE)."
EN CLAIR il vaut mieux pour la tranquillité des citoyens que cette information soit masquée!

ami9327 | 08 mai 2014 à 00h22 Signaler un contenu inapproprié

Décision scandaleuse:
Un appel d'offre avec seulement deux réponses devrait être déclaré infructueux.
Les lauréats potentiels étaient AREVA le champion du nucléaire et Alstom le sous traitant d'EDF dans le nucléaire et bientôt américain. Cherchez l'erreur.
Quelles concertations avec les populations impactées par les projets ? massacre du littoral en prime.(Eolien posé sur le littoral et non "offshore" comme injustement nommé)
Des promesses d'emplois mais lesquels où et quand?
10000 emplois annoncés par la ministre alors que AREVA n'en annonce que quelques centaines au mieux au Havre ? Areva licencie dans son usine allemande, quelle création effective en France. Des promesses de sous traitance qui, quand, où ?
A part de facturer environ 8 milliards d'euros chaque usine électrique en mer ("des barbelés pour clore notre horizon" disent les riverains des projets), rien de concret sauf un règlement par la CSPE (sur toutes vos factures d'électricité) qui sera déjà de 3,5 milliards d'euros en 2014. Parallèlement la CRE dispense les industries électro intensives du paiement (partiel) de cette taxe. les ménages devront supporter l'addition!!!
On peut s'attendre à un doublement de nos factures d'électricité comme en Allemagne et sans réduction du C02 et sans sortie du nucléaire (les éoliennes ne produisent que un jour sur cinq, au mieux deux jours sur cinq, à confirmer) Le gouvernement cherche des milliards à économiser et il signe de dettes sur les ménages sans leurs consentements.

ITC78 | 08 mai 2014 à 01h28 Signaler un contenu inapproprié

La réalisation de ce type d'investissements en MER est une bonne chose pour tenir l'objectif de 23 % d'énergie renouvelable en 2020, félicitations à la MINISTRE qui passe des discours aux actes.
Par contre, il n'est pas souhaitable que l'abonné à l'électricité soit contraint de financer pour partie avec la CSPE.
Les projets d'éoliennes terrestre doivent faire l'objet d'un accord des populations concernées à travers un référendum local ( ex: il aurait été bien pour être clair que les candidats aux municipales se déclarent pour ou contre pendant la campagne, cela éviterait de gérer des conflits de démocratie);dire ce que l'on va faire et faire ce que l'on a dit.

régions europe | 08 mai 2014 à 06h58 Signaler un contenu inapproprié

massacre du littoral , elle est bonne celle la! que l'on commence d'abord par faire respecter la loi littoral( construction, route, commerce, etc,etc)

lio | 08 mai 2014 à 11h52 Signaler un contenu inapproprié

Comme d'hab
Le financement sera fait encore par les classes moyennes, les faibles revenus ne paieront pas l'énergie car financés par les nombreuses aides (donc payés avec nos impôts) et les riches s'en fichent de la dégradation de nos côtes puisqu'ils vont en vacances sous les tropiques
Gauche ou droite, c'est vraiment la même chose

Bioclim | 08 mai 2014 à 15h26 Signaler un contenu inapproprié

@ITC78
Ahhh, les sempiternels anti-éoliens. Les éoliennes vous font vraiment cauchemarder tant que ca? A la rigueur, qu'on installe ça près de chez vous, je veux bien admettre que cela puisse embêter certains, mais la, en pleine mer, faut se calmer. Oui cela a un cout, mais cela a aussi énormément de bénéfices.

Les éoliennes en mer fonctionnent un jour sur cinq? Quelle belle généralisation pleine d'ignorances.

Et c'est évident qu'il ne faut pas espérer que les éoliennes et autres énergies marines remplaceront entièrement nos capacités nucléaires! On est en SURcapacité, à cause, entre autres, de la faiblesse de nos politiciens face au lobby nucléaire.

Si Areva se met à l'éolien pour de bon, je vois pas ou est le mal....

En parlant d'informations masquées, combien ça va nous couter de démanteler nos centrales nucléaires?

Obscure Corsican | 08 mai 2014 à 16h48 Signaler un contenu inapproprié

4 milliard pour 1000 MW pour l'éolien offshore contre 8,5 milliards pour 1650 MW pour l'EPR de Flamandville. L'éolien offshore est-il devenu moins cher que le nucléaire ? sans les problèmes d'importation d'uranium (dépendance énergétique), de risques d'explosions (terrorisme)et de déchets. On aura mis le temps ...
Il faudrait la production en kWh annuel pour comparer avec plus de précision, mais l'indépendance énergétique, la sécurité et la protection de l'environnement n'ont pas de prix.

Chrisaiki | 09 mai 2014 à 10h21 Signaler un contenu inapproprié

La crédibilité du gouvernement et de Ségolène Royal qui prône une démocratie participative risquent d'être fortement ébranlées : les comités locaux des pêches et EDF EN ont en effet travaillé ensemble depuis longtemps sur le projet afin de garantir une implantation optimum pour les pêcheurs et leurs repères de radio navigation. En revanche, il n'y aurait eu aucune consultation de la part de GDF et les projets d'installations semblent avoir été faite en dépit du bon sens. Qui plus est, d'après certaines études, les éoliennes, plus puissantes, nécessite néanmoins plus d'espace maritime pour fonctionner de manière optimum.
Peut-être une erreur de choix qui montre encore un divorce notable entre gouvernement et gouvernés… ?

supraG | 09 mai 2014 à 13h17 Signaler un contenu inapproprié

On parle encore de capacité et pas de production ...mais c'est comme les lignes THT qui vont aller avec les éoliennes offshores ...on en parle pas !
les éoliennes de bord de mer dans la manche ont étés arrêtées pendant au moins 3 jours ....constaté de mes propres yeux ... a cause des rafales de vent j'imagine !!!! quand sera t'il en pleine mer ?
qui va payer l'absence , le trop peu ou le trop de vent ?
qui va payer l'amortissement des lignes tht qui ne transporteront rien ou presque 50 % du temps ?
qui va payer la dénaturation des sites ? et toutes les activités qui dépendent du paysages !

carl | 12 mai 2014 à 11h02 Signaler un contenu inapproprié

@obscure corsican
Non les éoliennes ne me font pas cauchemarder sauf à imaginer qu'avec le projet de 20% d'électricité intermittente et aléatoire, c'est votre facture d'électricité et la mienne qui vont nous faire cauchemarder. En 2014, nous paierons déjà 3,2 milliards pour financer le rachat d'électricité renouvelable (hors hydro-électrique) pour 3% de production effective éolienne et photovoltaïque. Le gouvernement a déjà exonéré les électro-intensifs de 50% de cette taxe.
Il restera les ménages dont beaucoup n'ont pas le choix de leur mode de chauffage ou de production d'eau chaude parce qu'on leur a imposé l'électricité.
Je ne sais pas tout mais d'après RTE, le gestionnaire du réseau électrique, les éoliennes terrestres produisent en moyenne 23% du temps d'une année en équivalent pleine puissance (un peu plus qu'un jour sur cinq, mais moins d'un jour sur quatre). Le reste du temps comment faites vous fonctionner votre congélateur? Il faut en plus une centrale thermique pour le 77% restant: au gaz? au charbon? subventionnée elle aussi?
En mer les constructeurs imaginent (sans preuve) qu'elles pourront produire 40% du temps équivalent pleine puissance, ce ne fait que toujours que 2 jours sur 5.
Vous parlez de bénéfices, lesquels ? J'oubliai, ceux d'Areva (Alstom ne serait plus dans la course) La facture qui sera présentée par le lauréat d'un appel d'offre pourra se monter entre 8 et 10 milliards d'euros pour un seul champ de 500 MW. Pour nous je n'en vois pas.

ITC78 | 12 mai 2014 à 23h53 Signaler un contenu inapproprié

@ITC78 ...je pense vos chiffres correctes ...la seule chose c'est que la dénaturation , la perte d'un capital beauté et quiétude n'est pas chiffré !
qu'on ne dise pas qu'elles seront comme des allumettes sur l'horison ...ça c'est faux ...avec plus de 170 m de haut il faudrait qu'elles soient à 30 km pour que ça soit ainsi, hors c'est pas le cas ...
personnellemnt je trouve cela trés dommage compte tenu du résultat , du côté irrégulier et non prédictible et du côté coût . ...sans parler des lignes THT qui vont avec !
on a le droit de rèver !!!! et technologiquement on y est pas encore je crois ...mais je vois plus des éoliennes flottantes et hydroliennes plus au large avec transformations sur place en d'hydrogéne solide ...là ça serait véritablement écologique et vraiment décarbonné !

carl | 13 mai 2014 à 08h08 Signaler un contenu inapproprié

@chrisaiki
Je me permets de préciser les différences entre les modes de production.Il est facile de se perdre entre puissance, productions réelles, investissements, prix de cession au réseau, etc
La comparaison ramène chaque mode de production à la puissance de 500 MW
Eolien en mer 500 MW production estimée annuelle 1750 GWh durée de vie 20ans (30 ans peut être) investissement 2 à 2,5 milliards
Centrale à gaz 500 MW production estimée annuelle 3500 à 4000 GWh durée de vie 20 ans investissement 400 Millions (0,4 milliard) mais consomme du gaz
EPR équivalent 500 MW (EPR Réel 1600 MW) production annuelle estimée 3500 à 4300 GWh durée de vie 40 à 60 ans investissement 2,65 milliards (8,5 X 500/1600) mais consomme de l'uranium.
Estimation de prix de cession au réseau environ:
Eolien en mer: 200 euros le MWh (pourrait baisser de 40% si très grandes séries)
Centrale au gaz: 74 euros le MWh (dépend du prix du gaz)
EPR 70 à 90 euros MWh (prix de l'uranium stable et très faibles quantités consommées)
Charbon 44 euros le MWh (en baisse)
Nucléaire standard 50 euros le MWh (compris provision de démantèlement hors travaux de prolongement de durée d'exploitation)
Eolien terrestre: 70 euros le MWh
Photovoltaïque de 400 à 200 euros le MWh( en baisse)

ITC78 | 13 mai 2014 à 08h35 Signaler un contenu inapproprié

La précarité énergétique est un problème qu'il ne faut surtout négliger, mais on ne peut que constater que nous avons en France une électricité peu cher comparé à nos voisins européens. Subventionner les renouvelables est cher, surtout au début, mais on a encore de la marge: l'électricité est deux fois plus chers au Danemark par exemple.

Obscure Corsican | 13 mai 2014 à 10h23 Signaler un contenu inapproprié

@ Obscure Corsican ...si je sais lire !!!

la part du renouvelable au danemark et d'environ 25 % avec comme objectif 30 % pour le reste c'est en majorité de l'énergie carbonne ...deux fois plus chers ...ça devient incohérent ... c'est pas un exemple pour moi ...c'est vrai qu'ils ont l'avantage d'être proche de la Norvège qui a de l'hydrolique à revendre .

voir :

http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/8-10032014-AP/FR/8-10032014-AP-FR.PDF

je regrette quoi ne parle pas de décarbonné ...sans carbonne qui est le probléme N° 1 ... l'éolien sans stockage ou transformation directe en hydrogéne n'est pas décarbonné c'est du faux trés pervers ....le nucléaire l'est beaucoup plus au niveau du carbonne ...mais pas sans danger c'est vrai

carl | 13 mai 2014 à 11h14 Signaler un contenu inapproprié

Démantèlement

le problème c'est que nos experts sont INCAPABLES de s'engager sur un coût de démantèlement du nucléaire.
La première centrale Brennilis ( en centre Bretagne) est en cours de démantèlement depuis.... 30 ans!!!
Superphénix est en cours depuis 10 ans et les experts nous prédisent au minimum encore 20 ans.
Par ailleurs il faut aussi regarder les "couts" stratégiques: le minerai uranium est à aller chercher dans des pays dans lesquels on ne regarde pas les conditions de travail: et si un jour ces pays nous coupent les vivres?
Il n'est que d'examiner notre approvisionnement en gaz: si nous dépendions moins de la Russie, nous aurions pu peser un peu plus dans la crise ukrainienne

bioclim | 13 mai 2014 à 23h08 Signaler un contenu inapproprié

Bioclim ...je pense que vous avez raison ...cependant, sans solution de stockage et avec une injection directe de l'électricité dans le réseau , je ne pense que l'éolien est le plus mauvais choix en matière de dépenses . ...ceci exclu donc les projets locaux avec une consommation locale et un transport réduit au minimum et des habitants directements impliqués et interessés par un projet .
là on est dans le green business , avec des prix exorbitant garantis et des industriels qui en ont rien à foutre de l'environnement , du rendement , du prix ...du rendement du vent etc....
tous ces milliards seraient beaucoup plus interressants dans les économies d'énergie , la recherche surtout ( hydrogéne , géothermie , hydroliennes ....et autres solutions plus efficaces , plus régulières , moins dénaturantes )

carl | 14 mai 2014 à 09h42 Signaler un contenu inapproprié

Je prefere être écrasé par une eolienne (donc pratiquement impossible), que subir un désagrément nucléaire irréversible (bcp plus probable).
L'installation de parc éolien offshore le long des côtes françaises et son fonctionnement sur le long terme aura toujours un cout moindre que l'énergie nucléaire avec des effets néfastes négligeables en comparaison.
Green like wind better than waste like nuclear!

Le concombre masqué | 22 février 2018 à 17h59 Signaler un contenu inapproprié

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