En 2008, alors qu'elle construisait une plateforme logistique sur un terrain du port de Marseille situé à Fos-sur-Mer, l'entreprise avait détruit plusieurs espèces de fleurs, d'oiseaux, et de reptiles, alors que son autorisation préfectorale ne portait que sur des espèces d'orchidées, dont le groupe s'engageait à compenser la destruction.
L'entreprise dispose de dix jours pour faire appel.