"Je suis très heureux de voir autant de nos partenaires internationaux prendre cet engagement public pour mettre un terme à la pollution par le mercure", s'est réjoui Janez Potočnik.
La convention (1) a été négociée par 140 États membres des Nations unies. Ces derniers doivent désormais entamer leurs procédures de ratification.
La convention balaye l'ensemble du cycle de vie du mercure. Une conférence a également permis d'arrêter un programme de travail destiné à couvrir la période entre la signature et l'entrée en vigueur de la convention. L'objectif ? Préparer les décisions que devra prendre la première conférence des parties. Les travaux devraient porter sur des orientations relatives aux meilleures techniques disponibles pour lutter contre les émissions atmosphériques de mercure.
La Commission européenne a également engagé des travaux pour élaborer un instrument de ratification et les nécessaires dispositions d'application de l'Union. Elle lancera des consultations à ce sujet dans le courant de l'année 2014.