Sur cette parcelle (composée de deux champs de 1,4 ha et de 0,4 ha) était réalisée une étude scientifique financée par le conseil régional pour mesurer la contamination pollinique générée par des maïs OGM sur des maïs non OGM, explique Bio-Aquitaine dans son communiqué. Cette étude était complétée par une mesure de la contamination des pollens et miels des ruches d'apiculteurs voisins. Selon Bio-Aquitaine, un huissier de justice et la gendarmerie de Salies de Béarn, ont constaté que les parcelles de maïs biologique avaient été aspergées d'un produit chimique qui en annule la floraison.
Article publié le 09 août 2007