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Actu-Environnement

Aéroport Notre-Dame-des-Landes : ouverture de cinq enquêtes publiques

Transport  |    |  P. Collet

Vinci airports et de la société Aéroport du Grand Ouest ont annoncé que cinq enquêtes publiques concernant le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes près de Nantes (Loire-Atlantique) seront organisées du 21 juin au 23 juillet, rapporte l'AFP.

Deux enquêtes, dites loi sur l'eau, auront pour objectif d'évaluer l'impact de l'aéroport et de sa desserte routière sur l'eau et les milieux aquatiques. Une autre concernera le programme des travaux d'aménagement de la voirie locale entourant le futur aéroport. Les deux dernières viseront à identifier précisément les propriétaires qui n'ont pas pu l'être lors de ces précédentes enquêtes et qui sont concernés par la réalisation de l'aéroport et de sa desserte routière.

Le rapport de la commission d'enquête est attendu courant septembre 2012, précisent les deux entreprises.

Réactions2 réactions à cet article

Le principal sujet d’enquête devrait être tout simplement sa nécessité !
Surtout en ces périodes de recherche d'économies à faire.
L'utilité de N.D. des Landes résulte d'une hypothèse fausse et veut faire croire que le transport aérien continuera de croître aussi exponentionellement que la concentration de GES dans l'atmosphère.

FH | 22 juin 2012 à 15h29 Signaler un contenu inapproprié

Tout à fait d'accord avec la réaction précédente! Les décisions sont encore prises par extrapolation au lieu de l'être par prospective!
Ci-dessous une citation de Pascal BIRONNEAU, Commission Permanente, Conseil général des Deux-Sèvres, le 17/05/2010:
"Comme l’ont fait remarquer un certain nombre d’économistes alternatifs depuis plusieurs années, les modèles utilisés ne savent faire qu’une chose : prolonger dans le futur des tendances et les structures actuelles.
Or, à l’horizon de 20 à 30 ans, le raisonnement « toutes choses égales par ailleurs » est plus qu’une qu’erreur technique, c’est une faute contre la démocratie.
Car il donne à croire que notre société s’inscrira dans 20, 30 ans dans la stricte continuité des tendances passées. Il enferme le raisonnement dans un cadre artificiellement figé."
Aucune prise en compte de l'artificialisation des sols, ni de la déplétion pétrolière, ni de la crise! On pourrait au moins pratiquer le "wait & see" et décider d'un moratoire!

mon avis | 23 juin 2012 à 16h59 Signaler un contenu inapproprié

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