La mise en place d'un tel observatoire scientifique vise à conforter la position française dans une région qui constitue l'un des plus grands réservoirs de la biodiversité de la planète, a indiqué l'Université de la Polynésie française, établissement partenaire, sur son site internet
Ce GOPS aura pour mission l'observation et le suivi à long terme des écosystèmes et de la biodiversité, affectés par les changements environnementaux planétaires et les pressions anthropiques régionales et locales.
* L'Institut de la Recherche pour le Développement, l'Université Pierre et Marie Curie, l'Université de Nouvelle-Calédonie, l'Université de la Polynésie française, l'Université de Perpignan, l'Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer, l'Ecole Pratique des Hautes Etudes, le CNRS (Institut National des Sciences de l'Univers et Institut National de l'Ecologie et de l'Environnement), le Muséum National d'Histoire Naturelle et l'Institut Agronomique Calédonien.
Article publié le 19 mars 2009