Robots
Cookies

Préférences Cookies

Nous utilisons des cookies sur notre site. Certains sont essentiels, d'autres nous aident à améliorer le service rendu.
En savoir plus  ›
Actu-Environnement

Des paniers de produits agricoles locaux livrés dans Paris par voie fluviale

La consommation de denrées alimentaires produites localement attire les citadins. D'autant plus lorsque ceux-ci sont livrés à proximité de leur lieu de travail. Exemple avec l'initiative de l'association Marché sur l'eau qui livre dans la capitale via le canal de l'Ourcq.

Reportage vidéo  |  Transport  |    |  B. Clarke

Les circuits courts ont le vent en poupe. A fortiori lorsque c'est par bateau que les clients sont livrés à l'instar de l'activité développée par "Marché sur l'eau". Au terme de 3 heures de navigation sur un canal de l'Ourcq pas toujours bien entretenu, l'association transporte deux fois par semaine depuis Claye Souilly (77) et à destination de Paris, des produits agricoles locaux destinés aux quelques 150 clients actuellement abonnés.

Si l'initiative a permis de créer deux emplois, reste encore à atteindre l'équilibre économique pour les pérenniser. Objectif : fidéliser rapidement entre 350 et 400 parisiens !

Réactions2 réactions à cet article

Bonjour,

C'est bien, mais servir les habitants de claye souilly c'est mieux !!!... pour la fraicheur des produits, les économies d'énergies et les liens entre les Clayois.

Quand aux parisiens, ils ont le marché de rungis pour s'approvisionner !!!

Frédéric Romet.
Responsable de l'Association Ecolomia pour la santé et le bien être de l'homme et de la nature.

Association Ecolomia | 30 juillet 2012 à 11h35 Signaler un contenu inapproprié

Je ne sais pas trop quoi penser. Est ce mieux au niveau carbone que le maraicher livre en camion (tous ne sont pas sur Claye) et qu'ensuite on utilise un moteur hors bord.....
En tout cas cela crée des emplois.
Et pour le Clayois on agrandi la zone de Carrefour....
Mais il y a quand même une bonne dose de greenwashing:
Un des producteurs est également impliqué dans un système de distributeur automatique de légumes dans un village "dortoir" non loin de la , et la du coup on ne parle plus de créer des emplois mais plutôt de pérenniser leur absence (a quand les préemptions des mairies pour création ou maintien de commerce de proximité).

albu77 | 09 août 2012 à 10h43 Signaler un contenu inapproprié

Réagissez ou posez une question au journaliste Baptiste Clarke

Les réactions aux articles sont réservées aux lecteurs :
- titulaires d'un abonnement (Abonnez-vous)
- inscrits à la newsletter (Inscrivez-vous)
1500 caractères maximum
Je veux retrouver mon mot de passe
Tous les champs sont obligatoires

Partager