''Partant de l'idée simple selon laquelle un nouvel accord n'aura de sens que s'il est signé (puis ratifié) par les deux principaux pays émetteurs de gaz à effet de serre que sont les États-Unis et la Chine'', ce rapport fait l'analyse de leur situation énergétique et de leurs marges de manoeuvre dans la négociation internationale.
Un premier chapitre situe donc le contexte et les perspectives des négociations de l'après-2012 et dresse un état des lieux de la coopération internationale en matière de changement climatique. Les deux chapitres suivants présentent des synthèses des politiques climatiques et des positions de négociation des deux acteurs majeurs de la conférence que sont la Chine et les Etats-Unis.
Tandis que le quatrième chapitre effectue un rapide tour d'horizon des intérêts stratégiques et des positions d'un certain nombre d'autres grands pays, tels que l'Inde, le Brésil, la Russie, le Canada ou les pays de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). Enfin, une dernière note aborde la question des droits de propriété intellectuelle appliqués à la mise au point de technologies ''propres'' et aux transferts technologiques internationaux.
Article publié le 25 novembre 2009