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Actu-Environnement

Les enjeux climatiques au cœur de la 8e édition du Guide ''high-tech responsable'' de Greenpeace

Energie  |    |  R. Boughriet
L'organisation environnementale Greenpeace publie le 25 juin son huitième ''Guide pour une high-tech responsable'' qui classe les dix-huit principaux fabricants mondiaux d'électronique selon leur politique environnementale.

Le guide ''Pour une high-tech responsable'' attribue une note sur 10 aux dix-huit plus gros fabricants mondiaux de téléphones mobiles, d'ordinateurs, de téléviseurs et de consoles de jeu. Dans cette dernière édition, Greenpeace a introduit de nouveaux critères d'évaluation : la gestion des substances toxiques et des déchets électroniques ainsi que la prise en compte des économies d'énergie et des enjeux climatiques.

Cette nouvelle édition redessine le paysage du Guide pour une high-tech responsable et offrent un portrait plus complet des actions des entreprises en faveur de l'environnement. Les trois grands défis environnementaux que doit relever ce secteur sont maintenant pris en compte. Principe de précaution, recyclage et réduction de l'impact climatique constituent le triptyque du verdissement des TIC, déclare Zeina Al-Hajj, de Greenpeace International.

Sur les 18 entreprises évaluées, seules Sony Ericsson et Sony obtiennent la moyenne et se classent en tête avec une moyenne de 5,1/10. Sony Ericsson s'impose en tête du classement pour ses réalisations en matière d'élimination des substances toxiques, le PVC, souligne Greenpeace. Sur les critères ''déchets'', Sony marque un ''bon score'' grâce à son soutien à la Responsabilité Individuelle du Producteur (RIP), ou à la mise en place de programmes volontaires de reprise et de recyclage des déchets issus des produits de sa marque.

Nokia arrive quant à lui en 3ème position, malgré le maintien de son point de pénalité déduit de son score global de 5,8 pour “double discours” en matière de reprise et de recyclage des déchets (ramenant son score à 4,8), explique Greenpeace.

De son côté, Nintendo se classe toujours à la dernière place avec une note de 0,8/10, plombé par un zéro pointé sur les critères de recyclage de déchets.

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