Saisi par les associations de défense du loup, le tribunal administratif de Nancy (Meurthe-et-Moselle) a suspendu l'arrêté autorisant des tirs de prélèvement du loup dans la Meuse. Selon les associations, le juge des référés a retenu leurs arguments : récurrence des dégâts non prouvée d'une année sur l'autre, inefficacité des tirs de défense. Il a également estimé que les difficultés financières des éleveurs ne justifiaient pas de tuer des loups.
Un recours similaire a été déposé contre l'arrêté préfectoral du 29 août 2014 autorisant le tir de prélèvement d'un loup en Lozère. Via l'arrêté du 30 juin 2014, le ministère de l'Ecologie a listé 18 autres départements où ce type d'arrêté préfectoral peut être pris.