Sous la présidence de Huguette TIEGNA, députée du Lot, membre de la Commission du Développement Durable et de l’aménagement du Territoire, présidente du groupe d'études « Gestion des déchets, économie circulaire et économie verte »
Programme
8h00 – 8h45 : Petit-déjeuner networking
8h45 – Accueil
8h50 – Allocution d’ouverture
Huguette TIEGNA, députée du Lot, membre de la Commission du Développement Durable et de l’aménagement du Territoire, présidente du groupe d'études « Gestion des déchets, économie circulaire et économie verte » (confirmé)
9h00 – Allocution
Christophe BECHU, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (sous réserve)
9h10 - Session 1 : « Collectivités et éco-organismes : quel partage des responsabilités ? Quelles missions respectives ? »
La tendance actuelle visant à l’élargissement de la logique de REP (Responsabilité Élargie du Producteur) pourrait rapidement conduire à un bouleversement du modèle français de traitement des déchets ménagers en débouchant, en particulier, sur des prix des produits plus élevés pour le consommateur et une augmentation des coûts de traitement des déchets pour le contribuable.
Keynote introductive : « Quelle capacité d’agir pour les élus ? »
Jean-François VIGIER, maire de Bures-sur-Yvette, président du Syndicat mixte d'ordures ménagères de la Vallée de Chevreuse, membre du bureau Vice-Président de l’AMF (confirmé)
Table ronde 1 :
Modération : Caroline CHAL, responsable des relations institutionnelles du Syctom
Intervenants :
10h20 – Session 2 : « Déchets ménagers : que peut la France face à une problématique mondiale ?»
Au plan mondial, on estime que l’activité humaine génère 2 milliards de tonnes de déchets ménagers par an. Un volume qui pourrait atteindre 3,4 milliards de tonnes par an d’ici 2050, soit une augmentation de 19 % dans les pays à revenu élevé et de plus de 40 % dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Plus de 33 % de ces déchets dans le monde ne sont pas gérés de manière sûre pour l’environnement pour ne pas dire, pas gérés du tout, faute de moyen, la gestion des déchets représentant 20 % des budgets municipaux dans les pays à faible revenu, et 4 % dans les pays à revenu élevé. C’est ainsi que, au train où vont les choses et en dépit des efforts et contraintes que s’imposent l’Europe et quelques autres pays parmi lesquels la France, trop de pays peinent à gérer leurs déchets dans des conditions d’élimination et/ou de valorisation satisfaisantes d’un point de vue environnemental.
Conversation entre :
10h50 – Session 3 : « Déchets ménagers plastique : que peut (encore) le politique ?»
A force de médiatiser les progrès et perspectives, et donc les bénéfices du recyclage des matières plastiques, on finirait presque par croire que ces dernières sont les bonnes élèves de l’économie circulaire alors que, et même dans un monde idéal, seule une faible partie des plastiques produits par l’industrie pétrochimique est recyclée pour, et dans la majorité des cas, faire d’autres plastiques qui, eux, ne le seront plus. Ainsi, la quasi-totalité des plastiques usagés sont des déchets. Et le resteront encore longtemps !
Jusqu’à présent, les efforts de la collectivité ont porté sur la production et l’usage des matières plastiques en tentant de réduire la première et d’en rationaliser le second, tout en améliorant le recyclage, notamment en faisant la promotion du geste de tri.
Cependant, et en dépit de ces efforts, les volumes de déchets ménagers plastique ne baissent pas suffisamment pour atteindre les objectifs français et européens.
Table ronde 2 :
Modération :
Pierre HIRTZBERGER, président de L'Association Française des Professionnels de L'Eau et des Déchets (ASTEE)(confirmé)
Intervenants :
12h00 – Clôture
Mar |
14 |
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Lieu de l'événement
Maison de la Chimie, 28 Rue Saint-Dominique, 75007
Contacts
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