Du fait du Brexit, la Grande–Bretagne doit se doter d'une politique environnementale propre. C'est le but du plan pour l'environnement (Lien vers le plan environnemental de la Grande-Bretagne) présenté par Theresa May, première ministre britannique, le 11 janvier dernier.
Pour réaliser ce Green Brexit, ce plan annonce plusieurs objectifs : un air et une eau plus propres, un pays plus propre pour tous, y compris pour la faune et la flore, une meilleure prévention des risques naturels, un usage modéré des ressources naturelles, l'adaptation au changement climatique, la réduction des déchets…
"C'est un bon début", commente le WWF britannique. "Mais nous devons aller plus vite. Si nous attendons 2042 pour en finir avec les déchets plastiques, comme le plan le suggère, il y aura plus de plastique dans l'océan que de poissons".
De même, sur la pollution de l'air, qui cause 40.000 décès prématurés par an, la Grande Bretagne annonce vouloir respecter les seuils de pollution et diviser par deux l'impact sur la santé d'ici à 2030. Le WWF salue l'objectif mais demande l'interdiction des voitures (essence et gazole) bien avant.