100 M€ ont été attribués à l'ANDRA dans le cadre de la loi de finances rectificative 2010 pour financer cette action. ''Cette extension de sa capacité d'action ne doit cependant pas aboutir à l'amoindrissement des responsabilités des producteurs de déchets nucléaires et à une substitution à leurs devoirs en termes de financement du traitement et de la recherche sur ces sujets'', souligne la convention.
Deux axes principaux ont été définis : la mise en place de filières de valorisation pour les déchets métalliques très faiblement radioactifs issus du démantèlement d'installations nucléaires, via le développement de filières de recyclage, et la mise au point de procédés ou de technologies innovantes de traitement des déchets radioactifs chimiquement réactifs, en vue de faciliter leur stockage.
Article publié le 17 août 2010