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Actu-Environnement

Projet Bag'ages : « Il fallait objectiver les effets de plusieurs pratiques agroécologiques »

Adour-Garonne sera le bassin le plus exposé au changement climatique. Parmi les pistes de résilience : sa transition agroécologique. Le projet Bag'ages s'est penché sur les bénéfices attendus. Détails avec Lionel Alletto, directeur de recherche Inrae.

Interview  |  Agroécologie  |    |  D. Laperche
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Actu-Environnement le Mensuel N°420
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Projet Bag'ages : « Il fallait objectiver les effets de plusieurs pratiques agroécologiques »
Lionel Alletto
Directeur de recherche Inrae, membre du conseil scientifique du bassin Adour-Garonne, membre de l’équipe de scientifiques impliqués dans le projet Bag’ages
   

Actu-Environnement : dans quel contexte a été lancé le projet Bag'ages, d'observation des pratiques agroécologiques dans le bassin Adour-Garonne ?

Lionel Alletto : En 2015, l'agence de l'eau Adour-Garonne est venue nous voir avec une demande : essayer d'objectiver les effets de plusieurs pratiques agroécologiques. À l'échelle du bassin, mais nous pouvons l'élargir à d'autres territoires français, la circulation de l'eau se fait de plus en plus rapidement, du fait de l'artificialisation plus forte des milieux, mais aussi de la fréquence et l'intensité des événements climatiques qui conduisent notamment à de l'érosion, des coulées de boues, des décrochements de terrain, etc. L'enjeu pour l'agence était de vérifier si les pratiques agroécologiques pouvaient limiter ces effets à l'échelle du bassin.

Le projet a été lancé en 2016 et s'est terminé en juin dernier. Lors du Forum eau et agriculture du Grand Sud-Ouest, organisé par le comité de bassin, le 18 novembre, quelques résultats majeurs ont été présentés. L'idée est de faire tache d'huile et de mobiliser d'autres acteurs, notamment économiques. Car si nous souhaitons engager massivement une transition agroécologique de nos systèmes, il y aura probablement besoin d'un soutien de type paiement pour services environnementaux pour les...

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