Le risque de réchauffement climatique impose de développer les énergies non carbonées que sont le nucléaire et les énergies renouvelables. Le développement du nucléaire suppose que l’on maîtrise la sûreté et la sécurité des installations, le risque de prolifération et que l’on dispose de capacités d’investissement suffisantes. Le développement des énergies renouvelables est limité par leur caractère dilué ou intermittent et par leurs coûts. Quelle peut être la contribution de ces sources au mix énergétique mondial à horizon 2050 ? Quels seront les facteurs-clés de succès

Intervenants :
Philippe PRADEL, Directeur de l’énergie nucléaire, CEA ;
Cédric PHILIBERT, Agence Internationale de l’Energie ;
Fabrice BOISSIER, Directeur du département de Géothermie, BRGM ;
Marie-Claude DUPUIS, Directrice Générale, ANDRA.