La cour administrative d'appel de Bordeaux
Mais en juin 2020, le tribunal administratif de Poitiers, saisi par l'association Nature Environnement 17, avait annulé l'autorisation. Parmi les motifs de sa décision : le volume prévu pour les réserves était supérieur à 80 % du volume annuel maximal mesuré précédemment prélevé directement dans le milieu naturel. Et un niveau contraire aux règles fixées dans le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (Sage) de la Sèvre niortaise et du Marais poitevin.
Une position que conteste le Syres 17 qui a fait appel. La Cour administrative de Bordeaux a toutefois estimé que l'autorisation n'était pas conforme au règlement du Sage et rejeté sa requête.