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Actu-Environnement

PSA présente une nouvelle pile à combustible

PSA a présenté lundi une nouvelle pile à combustible, technologie prometteuse dans l'automobile sur le long terme, mais qui doit cependant relever de nombreux défis tant techniques qu'économiques avant d'être commercialisée en grande série.

Energie  |    |  C. Seghier
   
PSA présente une nouvelle pile à combustible
   
Face à l'augmentation du prix du pétrole et à l'aggravation des problèmes climatiques, il est impératif de trouver de nouvelles solutions. En France, la consommation en énergie primaire reste encore majoritairement d'origine fossile (58% fossile, 34% nucléaire, 8% renouvelables). Les deux secteurs d'activités en croissance les plus consommateurs d'énergies fossiles et émetteurs de gaz à effet de serre sont le transport et le bâtiment.
Dans le secteur des transports, les contraintes liées au pétrole comme source d'énergie deviennent de plus en plus importantes : coût, diminution de la ressource et surtout impact sur l'effet de serre.
Dans ce contexte, l'utilisation de l'hydrogène via une pile à combustible apparaît comme l'une des solutions intéressantes pour l'avenir du fait de l'absence de rejet polluant sur le lieu d'utilisation.

Jean-Martin Folz, Président de PSA Peugeot Citroën et Alain Bugat, Administrateur Général du Commissariat l'Energie Atomique (CEA) ont présenté ce lundi 9 janvier une nouvelle pile à combustible, en présence du Ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Gilles de Robien.

Conçue en partenariat par PSA Peugeot Citroën et le CEA dans le cadre du projet GENEPAC (GENérateur Electrique à Pile A Combustible), cette pile présente d'après le constructeur automobile des performances et une compacité au meilleur niveau mondial.

L'objectif poursuivi par les deux partenaires était de concevoir et réaliser un système pile à combustible compact, modulable et efficace, d'une puissance pouvant aller jusqu'à 80 KW (110 chevaux), et compatible avec les contraintes techniques spécifiques d'une automobile.

Une pile à combustible (PAC) est un générateur d'électricité qui transforme directement l'énergie chimique d'un combustible en énergie électrique. Le principe de la pile à combustible est généralement décrit comme l'inverse de celui de l'électrolyse de l'eau. Comme la majorité des piles à combustible utilisent l'hydrogène comme combustible, il s'agit d'une réaction électrochimique contrôlée entre de l'hydrogène et de l'oxygène de l'air avec production simultanée d'électricité, d'eau et de chaleur. Cette réaction utilisant des catalyseurs, s'opère au sein d'une cellule élémentaire composée de deux électrodes (cathode et anode) séparées par un électrolyte. Concrètement, l'hydrogène H2 est introduit sous forme gazeuse au niveau de l'anode. À son contact, en présence d'un catalyseur, les molécules d'hydrogène libèrent leurs électrons H2 -> 2H+ + 2 e-. Ces électrons e- vont rejoindre la cathode à travers le circuit électrique et vont réagir avec l'oxygène grâce à l'action du catalyseur. Les protons H+ vont quant à eux migrer, vers la cathode en traversant la membrane. La réaction d'oxydoréduction qui s'ensuit crée de l'eau (2H+ + 2 e- +1/2 O2 -> H2O). C'est le transfert des électrons qui crée le courant électrique. L'unique sous-produit de la réaction étant de l'eau, il n'y a pas d'émissions polluantes lors de la combustion.
La première cellule hydrogène-oxygène fut construite en 1839 par Sir William Grove, qui réalisa la réaction inverse de l'électrolyse de l'eau en utilisant des électrodes de platine poreux et de l'acide sulfurique comme électrolyte. Jusqu'au milieu de ce siècle, elles sont restées oubliées, jusqu'à ce que l'on s'y intéresse de nouveau avec les programmes spatiaux des années 1960*.
À partir du début des années 1990, les préoccupations environnementales liées au développement de l'effet de serre relancent la recherche dans le domaine des piles à combustible.

Au cours des dix dernières années, les constructeurs automobiles ont développé de nombreux prototypes. Le plus avancé d'entre eux est sans doute Daimler-Chrysler avec ses NECAR, avec les constructeurs japonais Honda et Toyota. D'autres constructeurs automobiles sont également sur les rangs: General motors, Opel, Ford, Nissan et en France, Renault et PSA.
Le salon de l'automobile de Paris (Octobre 2002) avait présenté de nombreux prototypes de véhicules fonctionnant à l'hydrogène : le Hy-wire de GM, le rouge véhicule pour pompiers H2O de PSA, et même un scooter et un vélo.

Les avantages de la pile à combustible sont nombreux. Outre la réduction des émissions de CO2, la PAC contribue à l'amélioration de la qualité de vie en ville, grâce au silence des véhicules utilisant un moteur électrique et à la suppression des émissions polluantes locales comme les particules et les NOx. En effet, contrairement à la combustion de l'hygrogène carburant, l'utilisation de l'hydrogène au sein des piles à combustibles ne produit pas de NOx.
Comme elle consomme de l'hydrogène et de l'oxygène et rejette de l'eau, c'est un système à ''zéro'' émission polluante, néanmoins l'hydrogène ne se trouve pas à l'état naturel et est en majorité produit actuellement à partir de gaz naturel avec émission de CO2, contribuant au réchauffement du climat. Mais ce gaz peut être fabriqué à partir d'énergies renouvelables (éolienne, solaire, hydraulique, biomasse) ou du nucléaire.

En matière d'émission de CO2, l'efficacité de la filière PAC résulte du rendement très élevé du système pile et potentiellement d'une filière de production et de distribution d'hydrogène peu émissive en gaz à effet de serre, qui reste à créer, explique PSA.

GENEPAC est une pile de technologie PEMFC (pile à combustible à membrane polymère échangeuse de protons)**. Le principe technique de cette nouvelle pile repose sur l'utilisation de plaques minces en acier inoxydable embouties, permettant ainsi de réduire le coût et le volume de la pile par rapport aux plaques traditionnelles.
Plus concrètement, la pile est constituée de 4 modules comprenant chacun un empilement de plaques minces et un assemblage membrane électrode.
Ce concept permet d'assurer simultanément l'alimentation en gaz (air/H2) et en liquide caloporteur. Il permet également de décliner la pile qui offre un rendement, à charge pleine supérieur à 45 % et à charge partielle supérieur à 50 % sur des puissances plus petites.

La mise en œuvre de la technologie sélectionnée a nécessité 2 ans de travail de conception, portant principalement sur l'élément le plus lourd et le plus volumineux de l'assemblage : la plaque bipolaire, indique le CEA. Celle-ci assure à la fois la distribution des réactifs, l'évacuation des produits, l'échange thermique avec le fluide caloporteur, la collecte du courant électrique et joue un rôle important dans la tenue mécanique de l'ensemble, notamment pour garantir les étanchéités. L'enjeu était de réduire drastiquement la masse et le volume des plaques bipolaires classiques en graphite usiné : cela a été possible par l'utilisation d'acier en feuilles minces, embouties et soudées.

Cette technologie doit cependant relever de nombreux challenges tant techniques qu'économiques avant d'être commercialisée en grande série. Le coût de la pile elle-même (contient une centaine de grammes de platine), l'intégration du système PAC dans un véhicule et le stockage d'hydrogène sont autant de points qui restent à surmonter. De plus, la mise en place d'un nouveau système de distribution nécessitera des investissements très importants. De ce fait, le Groupe PSA prévoit une introduction progressive de la PAC dans l'automobile avec une possibilité de production en série à l'horizon 2020.
L'Agence internationale de l'Energie (AIE) avait estimé dans un rapport consacré à cette technologie propre que cette technologie ne s'imposera pas tant qu'elle restera aussi chère.

Compte tenu des coûts importants liés au développement de la technologie, le groupe mise sur une intégration à long terme et progressive de la pile à combustible dans l'automobile, en privilégiant dans une première phase les flottes de véhicules de livraison en ville.

Cette technologie n'en est qu'à ses premiers balbutiements. Mais elle est très prometteuse, a indiqué Jean-Martin Folz.

La présentation de cette nouvelle pile a été l'occasion d'inaugurer un nouveau centre de recherche de PSA sur cette technologie, unité entièrement dédiée aux études sur la pile à combustible situé à Carrières-sous-Poissy.

Mais pour le président de PSA Jean-Martin Folz, les véhicules les moins polluants sont [NDLR : resterait !] aujourd'hui ceux dotés d'un moteur Diesel avec un système de compression haute performance et un filtre à particules.

Fidèle à son HDI conjugué au filtre à particules, PSA mise sur des motorisations hybrides, alliant moteur Diesel et électrique, sur lesquelles il fera une annonce le 31 janvier. Pour l'après-demain, la pile à combustible est la solution privilégiée, mais plus pour le long terme que pour le moyen terme, a indiqué M. Folz.

M. de Robien a indiqué que 190 millions d'euros seraient mobilisés en 2006 pour la recherche en matière de voiture propre, contre 80 à 85 millions en 2005 et 40 millions en 2002.


*RAPPORT SUR LES PERSPECTIVES OFFERTES PAR LA TECHNOLOGIE DE LA PILE A COMBUSTIBLE PAR MM. Robert Galley et Claude Gatignol

**Il existe deux technologies de piles à combustible : les piles à membranes échangeuses de protons (PEMFC) et les piles à oxydes solides (SOFC), dont les applications sont complémentaires et les contraintes très différentes.

Réactions29 réactions à cet article

Re:Ca reste encore très cher

De toute manière, Total a un impact plus grand que PSA. Donc le gouvernement, avec ses accords avec Total, son rôle en Afrique et les relations franco-africaine, taxe les énergies de ce type.
Ensuite, par rapport aux piles H2, la transformation est, elle, très polluante et onéreuse.
Il existe des véhicules 100% électrique et autonome sur 300 kms dont la vitesse de pointe est de 130 kms/h.
La solution n'est pas à l'hybride. La preuve en est qu'un moteur de Ferrari Enzo pollue moins ramené à puissance équivalente qu'une toyota Prius (moteur hybride essence) (en gr de CO2/km).

Nicolas Signaler un contenu inapproprié
Ca reste encore très cher

Les coûts de fabrication de l'hydrogène gazeux sont exhorbitants et mettent en oeuvre des moyens énormes.
Bien entendu, on ne peut que saluer le travail des constructeurs qui s'orientent vers des énergies polluantes, mais il faudrait aussi qu'ils expliquent pourquoi ils refusent que les alternatives au pétrole soient utilisées.

En effet, certains arrivent à fabriquer, de manière artisanal, des gasoils à base de colza mais n'ont pas le droit de les utiliser ou de les vendre alors que ça ne nécessite aucun changement à un moteur diesel.

Faut-il y voir une volonté quelconque, ou des accords particuliers?

CrazyCat | 10 janvier 2006 à 15h49 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

Ecrire 'exhorbitant', c'est 'exhagéré'... Mes yeux sont dans leurs orbites et non horbites.

guillaume | 10 janvier 2006 à 16h40 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

Merci guillaume pour la correction de mon horrible faute (note que le "h" est bon et bien placé)

Tu m'as fait parvenir un article sur les limites du biocarburant, et je suis tout à fait d'accord: il est impensable de n'utiliser que les bio-carburants.

Mais les cultivateurs qui ne vendent plus leurs productions ne seraient-ils pas content de pouvoir vendre des betteraves ou du colza plutot que de bruler ou laisser pourrir leurs légumes?

Je pense à ces carburants non pas comme à une alternative mais bien à un complément permettant de limiter la pollution due aux produits pétroliers.

CrazyCat | 10 janvier 2006 à 17h07 Signaler un contenu inapproprié
OUI MAIS

aucune info sur la durée de vie de ces piles ni la polution qu elles engendreraient ensuite en fin de vie, ni comment les recycler.
En tout cas c forcément mieux que les moteurs actuels
DH

DJEMBE | 10 janvier 2006 à 22h04 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

je suis d'accord au sujet de l'huile vegetal mais pas tous a fait avec ton probleme de coup quand a la fabrication d'hydrogene.

Si a ce jours c'est assez vrai ca ne le sera pas demain avec les central thermonucleaire qui fabriquerons de l'hydrogene gazeux a vouloir pour quedal ....
et comme la pile a combustible dans les voiture ca vat prendre un certain temps....
De plus a ce jours pour les premiere voiture a pile on pensse plustot a utiliser un convertisseur chimique pour tranformer du diesel en h2 + co2 .
C'est moins parfait que de mettre directement de l'hydrogene mais nettement plus simple a stocker ....
Ya meme des convertisseur butane->H2 .
Quand on aura des reacteur thermonucleaire on aura probablement aussi deja la teckno pour faire des reservoir d'h2 en nanotube de carbone afin de le stocker a l'etat liquide a la temperature ambiante.

La on tiendra le bon bout !

Anonyme | 11 janvier 2006 à 07h57 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

Le problème, avec les biocarburants, c'est que déjà 60% de l'espace terrestre est occupée par de l'agriculture et que les villes se développent de plus en plus sous l'effet de la croissance de la population. Il faut de nombreux hectares pour produire quelques litres de biocarburant. Si cette technologie est développée, il ne restera que peu d'espace sauvage à l'avenir. De plus, cette technologie n'est pas si "neutre" concernant les gaz à effet de serre, comme le CO2 absorbé par les cultures ne compense théoriquement que le CO2 produit lors de la combustion du carburant produit, pas le CO2 produit lors de l'exploitation agricole.

Le développement de la PAC est certes chère, mais il faut penser que toutes les technologies que vous utilisez actuellement ont aussi été très coûteuses avant leur accès au marché de grande consommation.

Les effets des gaz de serre sont déjà flagrants et il est très urgent d'entreprendre quelque chose pour essayer de sauver la situation. Pour moi, l'investissement dans toute nouvelle technologie "propre" vaut la peine et il faut s'y mettre maintenant.

Geneviève | 11 janvier 2006 à 13h34 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

vrai pour le constat que l'huile vegetal ne peut remplacer dans son integralité le petrol . il est clair que c'est un produit d'appoint qui ne peut a lui seul etre la solution dans son enssemble .
En revanche pas d'accord pour le co2.
En effet qu'est ce qui empeche les tracteur destiné a cette production de carburant vegetal de tourner avec ce meme carburant qu'il produirons eux meme.

faut pas deconner non plus !!!

lol

Anonyme | 12 janvier 2006 à 10h53 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

Plus cette technologie trouvera d'application, plus de pays sera nécessaire pour la culture des biocarburants. Vos tracteurs consommeront ainsi autant de surface qui sera soustrait à l'espace sauvage, dimunuant ainsi la biodiversité.
De plus, les cultures extensives posent un réel problème de deux points de vue: 1) les engrais et les pesticides nécessaires et inhérant à ce genre de culture polluent en contaminant les eaux d'infiltration qui finissent dans nos rivières et même dans nos eaux minérales, 2) elles surexploitent les terres qui en sont appauvries, provoquent de nombreux problèmes comme l'érosion accélérée du pays, sans oublier qu'elles contribuent à la perte de la biodiversité de par leur restructuration du paysage.

Geneviève | 12 janvier 2006 à 11h28 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

cela n'a pas de rapport.
Si on en vat par la alors on arrete l'agriculture tous cours.
Ou on utilise des angrais a outrance et on detruit comme vous dite justement les sols ou on accepte de faire une agriculture sinon biologique du moins raisonné et ecologique et du meme coup on abaisse en partie le rendement.
Mais c'est un probleme autre que celui de l'huile vegetal , ca s'applique a toute l'agriculture.

Quand a la biodiverssité je serais plus prudent .
L'agriculture a ca part positive dans la biodiverssité a condition de ne pas faire n'importe quoi . n'oublions pas que l'homme a ca part dans la biodiverssité et que les surface agricole avec les taillis en bordure des champs offre une biodiverssité pas si pauvre que cela car nombre d'espece profitte de no champs ... et d'ailleur deperirai si d'aventure l'humanité renoncé a l'agriculture car depuis des milliers d'année elle ce sont specialisé dans ce type d'habitat grace ou a cause de l'homme.

Encore une fois tous est question de pratique mais je reste perssuadé qu'avec de bonne pratique on peut cultivé de l'huile vegetal sans produire de co2 et sans degradé la biodiverssité mais il faut reformer les pratique agricole et literalement limogé les fabriquant d'angrais et de pesticide.
C'est a mon avis un autre debat que celui des biocarburant meme s'il l'inclut.
Vouloir proteger la nature implique des effort a tous les niveau de la production.

Anonyme | 12 janvier 2006 à 12h37 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

Pardon, je ne parle pas de parle pas de tout supprimer, mais de limiter les dégâts.

La quantité de sol nécessaire à la production de quelques litres de biocarburant est très importante et nécessite donc le concept des cultures extensive avec les problèmes cités.

La culture biologique produit certes un peu moins (env. 70% de la culture "traditionnelle"), mais les excédents de la CEE justifient-ils une course vers l'avant pour l'intensification de la production agricole ?

Les taillis en bordure des champs dont vous parlez constituent effectivement des écosystèmes reconnus et importants. Mais l'agriculture intensive dont je parle, elle, a plutôt tendence à supprimer même ces structures.
De plus, il y des reste encore quelques espèces qui vivent dans d'autres espaces que les espaces cultivés, et il s'agit aussi de protéger celles-ci en conservant leur milieu. Il y a actuellement des centaines d'espèces qui disparaissent tous les ans.

D'autre part, il faut considérer qu'il n'y a pas que les tracteurs qui entre dans le processus de fabrication des biocarburants. Il y a aussi toute l'énergie nécessaire à la transformation des céréales en carburant, qui est aussi très important et coûteuse. Si l'on considère l'énergie nécessaire à la production de cette énergie plus les problèmes que j'ai déjà cités et la quantité d'énergie finalement produite, du point de vue écologique, les biocarburants ne sont pas si rentables que ça.
Je reste cependant d'accord avec vous sur le point que ce type de carburant peut offrir une solution intermédiaire si on pratique une agriculture raisonnable et je ne la rejette pas complètement.

Geneviève | 12 janvier 2006 à 13h44 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

moi non plus je parle pas de tous supprimer mais je te confronte a ta precedente reponsse qui impliquais que les agriculteur produirai l'huile avec des methode nefaste pour l'environnement .
je dit juste qu'on ne peut pas resonner en considerant tjs que les choses ce fasse tjs de la pire facon.
l'energie necessaire a broyer la graine pour extraire l'huile n'est pas si grosse que cela et les chinois fabrique d'ailleur des machines tres competitive a ce sujet , je crois avoir lut quelque part qu'il faut consacré 10% de la production de l'huile a l'alimentation des tracteur et broyeur necessaire a l'extration de l'huile . de plus les residut de la production d'huile sont un exellent complement alimentaire pour l'elevage.
ce n'est qu'une energie complementaire mais elle peut etre produite en respectant l'environnement.

quand au exedent de L'europe il sont justement un facteur favorisant la culture de l'huile qui elle ne souffrira jamais d'exedent ...
Plutot que de produire en trop grande quantité certain aliment autant consacré les ressource exedentaire a la production d'huile de colza.

L'ideal etant de tous produire a la sauce bio ou approché et de ne pas produire d'aliment inutile et de plutot les remplacer par le colza qui trouvera tjs une place dans nos reservoir ... lol

quand au nombre d'espece qui disparaisse chaque année ce ne sont pas des centaines mais des millions d'espece (en comptant les insecte).
Il est a preciser que la cause n'est pas l'agriculture ou presque pas mais plutot la deforestation dans les forets primaire ou encore la destruction des recifs coralien .
Il est vrai que les foret primaire sont souvent detruite pour faire des champs au bresil "grace" au brulit.... mais on est pas obligé de continuer !
mais pire encore dans ce domaine pour satisfaire le marché du bois .
Encore un autre probleme ....
Tous ca pour dire que c'est pas en france que l'on risque de perdre bcp d'expece tous simplement parce qu'il y'en a relativement peut comparer a d'autre ecosysteme.
Je ne dit pas non plus qu'il faut augmenter en france les surface agraire et d'ailleur a ce propos j'attire l'attention sur le fait qu'il y'en a plutot en trop vut le mouvement de migration des campagne vers le villes amorcé depuis fort longtemps . en faite on manque d'agriculteur . alors plutot que de laisser des champs en friche et de voire les village deperir il vaudrais mieux en faire des zones de production de biocarburant , a default d'etre la solution ultime ce serait deja positif pour l'economie et un debut de reponsse au probleme petrolier.

Anonyme | 12 janvier 2006 à 14h55 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

>>je dit juste qu'on ne peut pas resonner en considerant tjs que les choses ce fasse tjs de la pire facon.<<
D'accord. Comme les sciences et les techniques s'améliorent toujours, on peut penser qu'on pourra faire de l'agriculture ménageant la terre et l'environement et des machines de plus en plus économiques énergétiquement. Cependant, même si les machines consomment de moins en moins d'énergie, par contre nous utilisons de plus en plus de machines et les pays en voie de développement aimeraient s'y mettre aussi et accéder au même confort que nous. Globalement la consommation d'énergie augmente de plus en plus et l'agriculture ne suffira pas à fournir la matière brute suffisante, à moins de cultiver la terre entière.

>>de plus les residut de la production d'huile sont un exellent complement alimentaire pour l'elevage<<
... qui sont certainement une meilleure alimentation que la farine animale ! ;-)

>>Plutot que de produire en trop grande quantité certain aliment autant consacré les ressource exedentaire a la production d'huile de colza<<
Je trouve que c'est une excellente idée.

>>la cause n'est pas l'agriculture ou presque pas<<
Là pas tout à fait d'accord. En Afrique, par exemple, les parcs nationaux sont menacés par les grandes entreprises d'exploitations agricoles qui lorgnent dessus.

Je pense que les biocarburants ne résoudre qu'une partie du problème et que ce serait une erreur de foncer dessus tête baisser et de penser que c'est LA solution. C'a été une erreur des générations précédentes de tout miser sur les énergies fossiles. Maintenant que les resources s'épuisent et ces resources s'avèrent trop polluantes, nous sommes dans la mélasse et le passage à d'autres technologies exigent des frais et des efforts à court terme considérables. Je pense que l'avenir devrait se baser sur la diversité des resources d'énergie, à laquelle aussi bien les biocarburants que les PAC, l'éolienne, la solaire, etc. peuvent participer. Si une source d'énergie s'avère avoir des effets indésirables inattendus, il sera alors plus facile de l'abandonner et passer à une autre. A mon avis, toute suggestion écologique, toute solution intermédiaire mérite d'être considérée et tout investissement financier succeptible d'ouvrir une nouvelle porte de sortie vaut la peine d'être fait. Sinon les catastrophes climatiques vont s'accumuler... ce qui, entre autres, aura des effets sur la quantité des surfaces cultivables.

Geneviève | 12 janvier 2006 à 16h11 Signaler un contenu inapproprié
rien à dire

merci PSA

drissic | 12 janvier 2006 à 18h27 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

SI LES CONSTRUCTEURS AUTOMOBILES NE PRODUISENT PAS EN SERIE LEURS TECHNOLOGIES PROPRES CEST TOUT SIMPLEMENT A CAUSE DES TAXES!
DES INGENIEURS DE PSA MEXPLIQUAIENT QUE LES PLUS GRANDS FREINS NE SONT PAS LES CONSTRUCTEURS OU LA THECHNOLOGIE MAIS LES GOUVERNEMENTS...

Vincent | 12 janvier 2006 à 18h38 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

et a tu une idée du nom de la taxe en question et du genre de montant quel implique.
Parce que des taxes sur la non-pollution j'ai jamais entendu parler.

Ce serais pas un pipo d'ingenieur ?

Est si ca existe j'aimerais savoir et demander des comptes a mon deputé.

Anonyme | 12 janvier 2006 à 19h27 Signaler un contenu inapproprié
Re: Ca reste encore très cher

Ce n'est pas des "taxes sur la non-pollution" mais des charges qui taxent les technologies propres. Par exemple PSA (comme d'autres) a des ingénieurs qui travaillent uniquement sur ces technologies. Il est certain que les gouvernements et les constructeurs freinent à cause de leurs accords, au niveau du pétrole. Mais les gouvernements ont d'avantage à perdre, c'est pourquoi ils souhaitent trouver une autre technologie qui serait aussi rentable et plus propre, du moins pour les Français.
Ce n'est pas un "pipo d'ingénieur", certains votent même "écolo"… Dans tous les cas il y a une multitude de freiner le développement. On a de multiples exemples : les tarifs des opérateurs téléphoniques, la télé haute définition et la télévision numérique, … Ce que je veux dire c'est que de très nombreuses choses sont liées et qu'à chaque fois que l'on change quelque chose, il faut que tout le monde retrouve son compte sinon certains acteurs (consommateurs, producteurs, gouvernement, français, agriculteurs,… on peut imaginer beaucoup de groupes sociaux) vont tout faire soit pour empêcher le développement soit pour le modifier a leur avantage, et les plus puissant ont le plus d'influence.
Malheureusement puissance ne rime pas toujours avec grandeur, c'est-à-dire que les consommateurs qui sont plus nombreux et devrait donc avoir plus de puissance, par le fait de leur nombre mais aussi par le fait de leur majorité (la majorité est sensé décider).
Au final si on veut voir des technologies propres, il faut être objectif on doit tout faire pour qu'un maximum de monde y gagne, principalement les deux plus grands acteurs producteurs et décideurs (sachant que ces deux groupes peuvent encore se diviser, en nations, en PIB,… ce qui n'arrangent rien).
Pour finir, à la limite les constructeurs ont une part dans le frein mais on parle peu des gouvernements… N'oublions que le plus important est d'avoir le pouvoir pour pouvoir prendre part aux décisions, et que l'union apporte beaucoup de pouvoir, il est bien dommage que les consommateurs des différentes nations, et au moins d'une même nation, s'unissent aussi peu…

vincent | 12 janvier 2006 à 20h13 Signaler un contenu inapproprié
Moteur hybride

PSA (comme surement bcp d'autres constructeurs) va équiper ces nouvelles gammes et meme certaines anciennes en moteur hybride.
fonctionnement :
- en dessous de 50km/h (electrique, autonomie sans aucune recharge environ 300km)
- au dessus de 50km/h (à ce moment les batterie se recharge, normalement diesel, pollue moins logique)
- quand en ville on aura besoin de puissance, couplage de l'électrique et du carburant
Avec ce systeme PSA a deux objectifs simple : consommer moins et polluer moins.
Sortie prévu : courant 2006, le Berlingo devrait etre le premier...

vincent | 13 janvier 2006 à 02h11 Signaler un contenu inapproprié
"l'horizon 2020"

"l'horizon 2020"
c'est une des volontés du gouvernement actuel... La sortie aurai pu etre plus proche.


Mais il reste quand meme des pb à résoudre, principalement :
- taille des plaquettes
- fabrication de cette pile pollue bcp

vincent | 13 janvier 2006 à 02h16 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

Je voudrais dire à "Anonyme" que je suis vraiment indisposé par son horrible écriture. Ce n'est plus l'orthographe qu'il faut corriger.
Donc je pense que pour parler d'un sujet si important et si noble il faudrait avoir un peu plus d'égard quant à l'outil qui nous permet de s'en échanger les points de vue : l'écriture.
Sinon je voudrais poser une question sur la situation de la PAC aux USA. Il avait été annoncé la toute première autoroute (du moins une file sur une 2 fois 8 voies) à hydrogène (pouvant être empruntée que par ce type de véhicules) en Californie. Je ne pense pas qu'il y ait assez de véhicules sur le marché pour en arriver là alors était-ce un coup de pub ou une réalité voulant pousser les consommateurs dans le droit chemin ?

SraM | 13 janvier 2006 à 02h42 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

ha

Et a part l'horto je doit corriger quoi la grammaire..... ?
Franchement je m'en moque mais dsl c'est comme ca depuis que je suis petit .
Tu vat pas changer cela .. lol
Je fesais min -40 au dictés a l'ecole.
Je suis un peut dislexique a mon humble avis . J'ai pourtant lut bcp de livre mais rien n'y fait, je ne retiens pas ces details ...

VOila fait abstraction et si tu peut pas , zap !

Franchement l'histoire des taxe me laisse un peut pantois , j'ai un peut de mal a y croire car je me demande ce qui les justifie (evidemment .les petrolier mais ce n'est pas avouable , les gouvernement en general sont plus discret , je m'attendez a quelque chose de plus pervers qu'une simple taxe dont je ne sais tjs pas les modalité )
Maintenant vous prechez un convertie qu'en au responssable et ce de facon plus general , nos gouvernement ne gouverne pas mais j'aurais plutot penssé que le gouvernement péché plus par manque d'action que en fesant directement des taxes sur les pile a combustible.
Ce qui m'enbete c'est que perssone n'en sait plus sur cette taxe.
Comment lutter contre quelque chose que l'on ne peut nommer.

Pour etre sincere de toute facon je n'ai pas de voiture et n'en veut pas , moi ca m'interesse pour faire de l'electricité a bord d'un bateau ... lol

Et puis de toute facon a ce stade de la situation j'en suis a esperé que la grippe aviere passe a l'homme et decime l'humanité ca laissera peut etre a la terre une chance de survie et du meme coup une chance au survivant.
Ce ne serais qu'un mecanisme de regulation , ca c'est deja produit . A l'epoque glaciere on sait que l'homme a fallit y rester. La selection fut tellement feroce que seul les plus rusé ont survecut.
Mais allé je vous laisse le benefice du doute , soyons utopique , laissons une chance a l'homme tel que nous le connaissons d'arretter de polluer.
C'est pour ca que je suis dans ce debat , mais tres sincerement j'avance dans ce sens sans plus trop y croire . j'attend la bonne surprise , je l'espere mais je me fait pas trop d'illusion meme si je ne puit m'empecher de dessiner des projets.

allé a+ et bonne chance

Anonyme | 13 janvier 2006 à 08h45 Signaler un contenu inapproprié
Re:OUI MAIS

j'abonde

Mais je pensse que le recyclage n'est pas un pb . A priorie je ne pensse pas que la pile elle meme soit polluante.
Ca doit etre un assemblage de ceramique et de platine et d'autre metaux.
meme pas d'acide , ici c'est dans de l'eau que la reaction ce produit.

Par contre actuellement la fabrication d'hydrogene est polluante.
Je me mefirai plus des reformer chimique qui transforme le diesel en h2+co2 pour alimenter la pile.

Sinon effectivement la durée de vie manque De ce que j'en savais ce genre de pile a entre 3000 et 4000 heures de fonctionnement a ca puissance nominal mais peut etre la pile de psa fait mieux.

En theorie ca devrais pas etre si cher que cela car il y'a 100g de platine dedans soit 3000$ de platine et le reste doit pas couter cher.

@+

Anonyme | 13 janvier 2006 à 09h12 Signaler un contenu inapproprié
Pile a combustible

Le PAC oui bien sur si on la compare au moteur thermique actuel ,qu'il soit essence ou diesel avec un rendement de l'ordre de 20% environ et qui lors de la combustion produit des NOx et SOx ainsi bien sur que du CO2 et H2O . Mais l'on part toujours sur des piles avec H2 ou Methanol ou tout type d'hydrocarbure léger permettant une combustion. Par ailleurs les pétroliers ont des procédés de production d'Hydrogène a partir de pétrole léger.On reste devant ces choix stratégiques toujours dépendants du pétrole dont la durée de vie semble limitée à 20 ou 30 ans. Pourquoi ne pas travailler sur des combustions et/ ou réactions plus élaborées comme Na et Cl ou tout élément fortement électronégatif avec un électropositif. J'ajoute par ailleurs que le fait d'avoir dans mon véhicule une réserve d'hydrogène ne me rejouirait guère en tenant compte du danger d'explosion. Quid des parking souterrains ? et du parking au soleil en plein été?

Meilleures salutations et tous mes voeux pour 2006

puig | 13 janvier 2006 à 11h35 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

>>Et puis de toute facon a ce stade de la situation j'en suis a esperé que la grippe aviere passe a l'homme et decime l'humanité ca laissera peut etre a la terre une chance de survie et du meme coup une chance au survivant.<<

Allons, allons, nous n'allons broyer du noir, maintenant.

"Anonyme", si l'orthographe n'est pas ton fort, tu as au moins les idées plus claires que Vincent, dont j'ai vraiment du mal à démêler les propos. Alors, Vincent, y-a-t-il taxe, ou n'y-a-t-il pas taxe ? Si oui, peux-tu nous la nommer et nous expliquer comment elle s'applique ? Tu nous avoueras qu'on ne peut pas fonder un débat sur des ouï-dire et des données aussi vagues.

Je ne pense en tout cas pas que l'hydrogène ne soit beaucoup plus cher à produire que les biocarburants. Quant au degré de pollution de cette production, ça dépend beaucoup de la méthode de production. La méthode du réformage produit du CO2, donc ne nous avance pas à grand-chose du point de vue écologique. La méthode de l'électrolyse de l'eau, ne produit pas de CO2 mais consomme de l'électricité qu'il faut bien produire quelque part. Le tout est donc de produire de l'électricité avec des méthodes "propres" comme la solaire ou l'éolienne, et pas, naturellement avec des centrales thermiques productrices de CO2. Actuellement, on envisage également l'utilisation de bactéries pour la fabrication de l'hydrogène ! Des possibilités sont donc encore ouvertes.
Les autres problèmes liés à l'hydrogène sont plutôt le transport et le stockage (risques d'explosions, compression ou liquéfaction aussi consommatrices d'énergie) .

Geneviève | 15 janvier 2006 à 15h53 Signaler un contenu inapproprié
Re:Ca reste encore très cher

Bonjour à toutes et tous,
Je n'ai pas lu tous vos échanges, seulement en diagonale.
Cela fait des années que j'entends parler de piles à combustible et autres batteries lithium-ion, lithium métal (notamment lors de salons)... Mais y a t'il en France et plus généralement en Europe une réelle volonté politique de passer àc es technologies pour délaisser le pétrole ?
Merci d'avance pour vos réponses,
Cordialement.

flh | 17 janvier 2006 à 11h14 Signaler un contenu inapproprié
salut

pour moi, les piles à combustible sont des moyens de production d'énergie pour l'avenir, car elles presentent des propriétés interessantes malgrer certains inconvenients.
je suis un étudiant en matériaux et je fais mon stage sur les piles PEMFC. c'est une étude intéréssante et je leurs souhaite un avenir meilleur

shadow | 09 juin 2006 à 16h26 Signaler un contenu inapproprié
Re:Pile a combustible

Bonjour.
La peur n'évite pas le danger et elle est mauvaise conseillière.
Il faut bien qu'on avance pour trouver des solutions, puisqu'on ne peut pas se passer de la sacro-sainte bagnole et que la fin du pétrole et du carburant fossible approche à grands pas. Faut-il avoir peur des bouteilles propane ou butane qui alimentent un bon nombre de gens en milieu rural, des camping-cars équipés de ces mêmes bouteilles, des véhicules au GPL, des semi-remorques de gaz et d'hydrogène liquide qui circulent sur nos routes, ou ne pourra-t-on circuler qu'en connaissant leurs itinéraires pour ne pas se trouver à proximité ? Un gazoduc hydrogène qui fuit fera-t-il plus de victimes qu'un oléoduc de pétrole saboté en Irak ? Un naufrage de méthanier transportant de l'hydrogène provoquera-t-il une marée noire ?
L'hydrogène solaire est un vecteur énergétique propre. Le pétrole est "le" problème! La terre reçoit 10000 fois ses besoins énergétiques en soleil. Le Sahara 120 fois. L'eau est présente partout, il suffit d'aller la chercher. La technologie permet sans problème la séparation H2-O. La recomposition en carburant produit de la vapeur d'eau. Où est le danger pour la planète ? Les pétroliers savent bien trouver des ressources en grandes profondeurs quand les besoins se font sentir, mais actuellement on vit sur d'hypotétiques réserves. 1 baril nouveau est trouvé quand la demande est de 4 ! L'exploitation en Antarctique nous pend au nez ! Réveillons nous. On a envie d'être grossier quand on sait que des gens ont trouvé avec leurs propres moyens des solutions depuis plus de 60 ans. Demandez aux mécanos qui remplacent nos filtres à particules ( qui d'ailleurs laissent passer les plus fines, donc les plus faciles à inhaler )s'ils sont contents de faire ce boulot ? Un moteur thermique classique peut être équipé avec très peu de changement, mais à quoi ça sert si la volonté de nos politiciens reste liée aux actions des pétroliers? Il y a quand même de quoi se foutre en rogne.
Allez, la vie est encore belle et c'est tant mieux.
Mil'd49

Mil'd49 | 03 septembre 2006 à 17h18 Signaler un contenu inapproprié

une barre d'uranium enrichie dans un caisson blinde façon materiel militaire meme si tu prends des radiations tu ne meurs pas forcément les soudeurs du CEA bon la leucemie c'est terrible il y avait un certain nombre d'annee en arriere a la hague ils passaient a la douche et au compteur jeagger tous les soirs des milliremes quand c'est trop il faut l' "avait avec beaucoup d'eau combien d'autonomie en kilométres permettré cette dangereusité

pat | 29 février 2012 à 17h41 Signaler un contenu inapproprié

La culture de colza à des fins de carburant est complètement stupide, le bilan total est négatif. par contre l'huile est très bonne pour la santépour son apport d'environ 10% d' acides gras polyinsaturés omega 3. soi dit en passant, Anonyme a renvoyé son prof de français? En outre, pour utiliser l'huile végétale brute, il faut qu'elle réponde aux normes quant à la teneur maximale en humidité, en acides libres dépendant de la maturité et de la qualité des graines et de la façon de presser et de purifier l'huile.

bardaf | 19 novembre 2012 à 00h48 Signaler un contenu inapproprié

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