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Actu-Environnement

Conférence de l'ONU sur la désertification et la sécheresse

La VIème Conférence de la Convention des Nations Unies de Lutte contre la Désertification et la Sécheresse s'est ouverte lundi à La Havane en présence de quelque 1.300 délégués de 170 pays.

La VIème Conférence de la Convention des Nations Unies de Lutte contre la Désertification et la Sécheresse s'est ouverte lundi à La Havane en présence de quelque 1.300 délégués de 170 pays, entre officiels et représentants d'organisations non gouvernementales (ONG).
Le président cubain Fidel Castro a assisté à la cérémonie d'ouverture, dirigée par le secrétaire exécutif de la Convention, Hama Arba Diallo, originaire du Burkina Faso, l'un des pays les plus affectés par la sécheresse et la désertification.
M. Diallo a demandé un engagement plus fort des nations développées avec des investissements plus importants, via les organismes multilatéraux, pour freiner le processus de dégradations des sols.
''Pendant combien de temps allons-nous continuer à attendre que commencent à arriver les solutions?'', s'est-il interrogé.
La conférence, devant s'achever le 5 septembre, doit être marquée, à partir du 1er septembre, par des réunions ministérielle et présidentielle, une quinzaine de chef d'Etats, principalement originaires d'Afrique et des Caraïbes, ayant confirmé leur présence à La Havane.
Selon un rapport des Nations Unies, plus de 250 millions de personnes souffrent directement dans le monde des effets de la désertification, dûe à l'activité humaine et aux changements climatiques.
Le tiers de la superficie terrestre, soit plus de 4 milliards d'hectares, est affecté par la désertification, qui met en péril la subsistance de 1,2 milliard de personnes dépendant des sols pour satisfaire la plus grande partie de leurs besoins et vivant dans les 110 nations les plus pauvres de la planète.
Seuls deux pays, l'Irak et la Corée du Nord, n'ont pas encore signé la Convention de l'ONU sur la Désertification.

Source : AFP

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AU SUJET DU REBOISEMENT DU SAHARA

EXPOSE DES MOTIFS

CREATION D’ASSOCIATION CIVILE « REBOISER LE SAHARA »


La lutte contre la désertification préconisée « çà et là » comme étant l’objectif ultime dans les plans de développement pour dit-on, protéger et valoriser les ressources naturelles ne semble pas résonner avec le dynamisme que requière les exigences du développement durable

En effet pourrait-on d’ors et déjà afficher que, lutter contre la désertification cela voudrait dire également, lutter contre la nature. Or depuis des lustres beaucoup d’énergie (financiers notamment) et d’effort physiques ont été consentis et déployés dans ce domaine, pour quel résultat ?

La surface sylvicole n’a pas augmenté pour autant (ce qui ne veut pas dire que de par le monde cette situation n’a pas fait l’objet de préoccupation ), au contraire, elle s’est rétrécit et, l’on pourrait ajouté en ce sens que l’Amazonie qui selon certaines expressions « constitue le poumon de la planète » a subit et continue ( comme ailleurs) de faire l’objet d’agressions qui ont entraîné et continuent d’occasionner des diminutions substantielles de sa surface, pour ne citer que ce cas !

La désertification augmente et continue de faire des ravages non seulement en Algérie (cas de Mostaganem), dans d’autre pays d’Afrique mais également de part le monde

Les cycles climatiques ont subi des altérations préoccupantes (démontrées par ailleurs par les analyses des Dr. PERROS et R. WASHINGTON lors du forum international organisé à Alger du 14 au 18 Avril 2002 ) ce qui aurait influé de manière significative sur les précipitations pluviométriques. En d’autres termes, selon le rapport de l’expert MITCHELL ROBERT sur l ‘environnement, l’émanation (rejet) d’oxyde de carbone dans l’atmosphère a entraîné un réchauffement de la terre, conséquence directe sur les dérèglements climatiques, ce dont souffre notre pays

En référence aux conventions internationales, la lutte contre la désertification suppose :

« Préservation et protection de certaines espèces »

« Restauration de la fore »
Ces deux préoccupations (objectifs) suffiraient-elles pour la préservation des surfaces forestières actuelles et, par voix de conséquence susceptibles de contribuer à la séquestration des gaz toxiques et libérer l’oxygène nécessaire à la dépollution de l’air évitant ainsi le fléau d’empoisonnement de l’atmosphère de nos jours ?

Les principes qui régissent l’association ne le pensent pas !

Aussi s’engager pour un reboisement à grande échelle ne devrait-il pas constituer un moyen par lequel on peut contribuer à oxygéner l’air que l’humanité respire, dépolluer par là même l’atmosphère dont la planète a un grand besoin et créer les conditions pour une meilleure climatologie !

A titre indicatif, en Algérie (2,38 M/ km2) la surface des terres utilisées par l’agriculture estimée à 48 M /h (S A U, forets et autre parcours pastoraux) et donc, supposée couverte de végétations, ne dépasse pas 1,5% de la surface totale du pays ; alors que la norme généralement suggérée par les institutions internationales spécialisées en la matière, est de l’ordre de 25%.

Il y a lieu de signaler, à titre indicatif, que sur la base de ces données, les services du ministère de l’agriculture (forets) se proposent de faire progresser le taux de boisement de 2 points c'est-à-dire de 11 à 13% pour les zones sylvatiques (nord du pays)

Ce taux suffit-il à protéger les ressources actuelles contre les effets de l’érosion et de désertification ?

L’admissibilité, la prise de conscience de cette préoccupation ou encore l’intérêt que l’on pourrait lui porter, ne peut entraîner que des effets louables mais, certainement pas négatifs.

Le soutien éventuel, que nous souhaitons profondément, et la vulgarisation de notre idée de projet, peuvent paraître à première vue utopique et la concrétisation relever de l’impossible !

Mais ne dit-on pas que « l’argent peut faire une route en mer ? »

Les Européens n’ont-ils pas construit et réalisés un tunnel sous la mer ?

Les pays industrialisés (Européens, Américains, Japonais…..), dans l’hypothèse où leurs efforts et leur intelligence sont conjugués, ne peuvent-ils pas en « discuter » de l’idée de projet, nous écouter et prendre en considération l’appel de notre association ?


Compte tenu de la préoccupation des instances internationales, particulièrement dans les domaines de la problématique du réchauffement de la planète et les différentes méthodes d’approches pour traiter de la question (Américains et le reste du monde s’affrontent sur ce point), un début de solution peut être trouvé dans le reboisement du SAHARA, Algérien voir AFRICAIN, du fait précisément de sa position géographique planétaire

Faut-il que les états concernés ne manifestent pas d’opposition ; car si tel est le cas, la qualification de celle ci, peut être assimilée à un manque de conscience eu égard de l’humanité et le non respect en vers la nature.

C’est pourquoi notre objectif au fond c’est d’abord la sensibilisation de ceux qui sont directement concernés par la pollution de l’atmosphère et ceux qui s’intéresseraient à la problématique de la protection de la nature, du réchauffement de la planète (conséquences sur le dérèglement climatique) puis l’examination sous contrôle des pouvoirs publics des actions idoines, ces deux point en constituent le point focal.

S’agissant de la nécessité de la lutte contre les effets de l’émanation de gaz toxiques dans l’atmosphère (Dioxine de carbones), la mobilisation des bonnes âmes devrait pouvoir être encouragée.

Notre association propose de viser, en tout premier lieu, ceux qui sont prêt à aider au reboisement de grandes surfaces arides (plus particulièrement le SAHARA ALGERIEN et ses parties limitrophes) et ceux dont l’aide à la réalisation de cette idée devrait être sollicitée ou requise, plus particulièrement ceux qui pourraient s’impliquer dans la recherche de propositions de solution à la dite problématique.

Le reboisement du Sahara, support privilégié pour un développement durable, auquel nous y croyons très fort, pourrait contribuer à termes à l’atténuation (absorption de Dioxine) substantielle des effets néfastes ayant occasionnés cette pollution, à la « production d’oxygène » et, par là même à améliorer les conditions « atmosphériques »

Pour notre association il est question, bien entendu, d’activité strictement caritative, non lucrative et dont l’action de ses membres est volontaire.




Cette idée, dite REBOISER LE SAHARA, devra être menée en direction des pouvoirs publics notamment de pays industriels producteurs de ce type de gaz et responsables des rejets dans l’atmosphère (pollueurs payeurs) d’une part et, des associations qui militent et activent pour la protection de la nature, ceux qui souhaitent l’amélioration des conditions atmosphériques en vue de l’arrêt des dégradations des cycles pluviométriques, (en particulier ceux qui aiment la nature et la verdure), ainsi qu’auprès des artistes, de politiques, de journalistes, d’intellectuels et universitaires, de sportifs et, autre lieux de regroupement publics.

Le slogan serait à inventer, pour ce faire les associations et personnes qui souscriraient à cette idée sont d’ors et déjà et/ou seront sollicités à cet effet.

Le présent document est préparé à l’attention des membres ayant acceptés le principe de la création de l’association et de ceux qui se proposent d’œuvrer pour la mobilisation sensibilisatrice en vue de la réalisation de l’objet défini ci dessus.

La rencontre que nous nous proposons d’organiser avec des spécialistes confirmés dans ces domaines, tentera d’aborder tous les sujets sus cités, c'est-à-dire les définitions d’approche, de recherche, de conduite, de moyens …. Pour un suivi le plus rationnellement possible de cette grande tache dont le reboisement du sahara en constitue le point focal

Aux instances qui ne rejettent pas l’idée, il est proposé sa lecture, son amendement éventuel et le cas échéant faire connaître les orientations allant dans le sens de la réalisation de notre objectif.
Présentation

DIRE « REBOISER LE SAHARA »

L’association « REBOISER LE SAHARA », dont, le projet d’idée a été initié dès Avril 2001 et le dossier d’agrément a été déposé en Janvier 2002 auprès des services du Ministère de l’intérieur et des collectivités locales, est une association nationale, civile, à but non lucratif de droit Algérien.

Au départ de l’action, il y a la volonté de ses membres fondateurs et de ses adhérents de :

• sensibiliser sur la prise de conscience en direction de l’ampleur du phénomène du réchauffement de la terre due essentiellement à la pollution de l’air, voire à la baisse des niveaux des nappes souterraines et de l’accroissement des zones arides et semi - arides (désertification) et la nécessité de faire prendre les décisions idoines en vue du reboisement à grande échelle,

• mobiliser les acteurs intéressés et concernés par la lutte contre ces phénomènes subits au profit d’intérêts écologiques et de développement durable.

• s’impliquer dans le processus qui serait engagé dans cette perspective.


Il y a aussi le souci de faire partager au public, le plus large possible, cette prise de conscience sur la désertification désolante dans notre pays avec les répercussions désastreuses et multidimensionnelles que celles ci a engendrées.

Dans le cadre de ces préoccupations, il paraissait donc important, d’ouvrir le débat et susciter l’intérêt autour de la question relative à l’intégration du grand sud Algérien, voir l’ensemble de la zone du Sahara Africain (l’idée de reboiser à grande échelle au niveau du Pays) dans les efforts d’études et de recherches entreprises et à entreprendre en vue de la mise en œuvre de solutions de nature à rendre réversible la spirale infernale de la désertification, de la pollution de l’atmosphère et donc du réchauffement de la terre cause directe du dérèglement climatique dont notre pays souffre depuis des lustres.





L’idée dire « REBOISER LE SAHARA » est une proposition qui, à priori, peut paraître utopique mais, à bien y réfléchir, elle se veut pleine de pertinence dans la mesure où elle vise à interpeller tous les acteurs nationaux et internationaux concernés par les problèmes majeurs de l’environnement, plus particulièrement celui de la lutte contre la désertification une des causes également du réchauffement de la terre, en leur suggérant de s’intéresser (prendre fait et cause) aux approches favorisant la protection de la nature et ses ressources


Loin de toute tentation de surenchère et de tout esprit maximaliste, l’association « REBOISER LE SAHARA » consciente de la nécessité d’éviter l’éparpillement des énergies disponibles, souhaite pouvoir contribuer à attirer l’attention et susciter l’intérêt des scientifiques et des experts sur les régions hyper - arides certes, mais dont les ressources avérées rendent éligible à des actions de reboisement à grande échelle dans la perspective de développement durable.


Ces actions peuvent, par la durée, engendrer à long terme des retombées bénéfiques multiples avec certainement un impact déterminant sur les problèmes globaux de l’environnement (atténuation des effets de serre notamment les dérèglements climatiques) et ceux inhérents au développement rural durable


Avant de mettre en œuvre son programme, il a paru nécessaire aux membres de l’association de faire connaître son objet afin que, par la suite, elle soit soutenue et encouragée


C’est pourquoi les membres de l’association acceptent l’organisation d’une journée d’information destinée à un public restreint et averti, composé essentiellement de « médiateurs » et, de relais (fonctionnaires, experts, chercheurs universitaires, journalistes et autres ONG le cas échéant….)

DAOUD | 24 mai 2005 à 18h47 Signaler un contenu inapproprié
au sujet de l'invitation aux festivité 2006

bonjour!
appartenat à l'association dite reboiser le sahra qui a été créée par un groupe de retraités d'Algérie
mes amis et moi souhaitons recevoir une invitation aux festivités que vous compter organiser durant l'année 2006
vous trouverez ci dessous des documents résumés relatant l'idée de notre projet dire reboiser le sahara comme moyen de contribution de la lutte contre le réchauffement de la planète par le biais du système naturel de la photosynthèse cause directe du dérèglement climatique avec toutes les conséquences engendrées telles la secheresse et la désertification avec leur lots de désolations et de souffrances
ASSOCIATION REBOISER LE SAHARA
12 Bd. Cl. Amir ouche, Alger


TERMES DE REFERENCES DES THEMES PROPOSES POUR LES JOURNEES D’ETUDES SUR LE REBOISEMENT DU SAHARA
A GRANDE ECHELLE

OBJECTIFS :

Mettre à l’ordre du jour de l’actualité l’idée visée par l’association ;

La promotion de politiques de reboisement à grande échelle comme moyen d’action naturelle (photosynthèse) en vue de l’atténuation des effets du réchauffement de la terre susceptible d’agir contre les dérèglements climatiques

La tradition en Afrique ne considère- t-elle pas l’arbre comme le symbole de la vie ?

Dans cet ordre d’idée, le saint coran, qui site l’olivier et le jujubier, en fait même une obligation de la protection de l’environnement, ce qui revient à dire que l’Islam et la sunna réservent une place de choix à l’environnement

Les programmes de lutte contre la désertification et, donc à la protection de la nature peuvent constituer un soutien aux politiques de reboisement à grande échelle, de reconstitution de la faune sauvage, de l’amélioration (réhabilitation) des écosystèmes dans les régions de l’Algérie (région immédiate de l’Europe)

THEME Générique

Le reboisement à grande échelle comme nécessité d’équilibre écologique (respect et protection de la nature) et intérêts d’utilité économique.

THEME Spécifiques


Reboisement à grande échelle

Couverture des sols et protection de la nature,

Reconstitution de la faune sauvage

Utilité économique :

• Occupation des zones rurales

• Développement durable,

Intérêt écologique

Séquestration de gaz toxiques et libération d’oxygène,


Lutte contre les dérèglements climatiques


Rôle associatif

Vulgarisation la plus large possible

Sensibilisation des autorités

Mobilisation des acteurs concernés


Actions de sensibilisation

Au niveau national

Au niveau international

Auprès de mouvements associatifs activant dans les domaines de la protection de la nature et du développement durable

Auprès des Média


BN :

Ces termes de références seront proposés à des universitaires spécialisés et/ou à des professionnels expérimentés dans les domaines de la protection de la nature (réchauffement de la terre et dérèglement climatique) par le reboisement à grande échelle et du développement durable en vue de l’élaboration d’un exposé
EXPOSE DES MOTIFS

CREATION D’ASSOCIATION CIVILE « REBOISER LE SAHARA »


La lutte contre la désertification préconisée « çà et là » comme étant l’objectif ultime dans les plans de développement pour dit-on, protéger et valoriser les ressources naturelles ne semble pas résonner avec le dynamisme que requière les exigences du développement durable

En effet pourrait-on d’ors et déjà afficher que, lutter contre la désertification cela voudrait dire également, lutter contre la nature. Or depuis des lustres beaucoup d’énergie (financiers notamment) et d’effort physiques ont été consentis et déployés dans ce domaine, pour quel résultat ?

La surface sylvicole n’a pas augmenté pour autant (ce qui ne veut pas dire que de par le monde cette situation n’a pas fait l’objet de préoccupation ), au contraire, elle s’est rétrécit et, l’on pourrait ajouté en ce sens que l’Amazonie qui selon certaines expressions « constitue le poumon de la planète » a subit et continue ( comme ailleurs) de faire l’objet d’agressions qui ont entraîné et continuent d’occasionner des diminutions substantielles de sa surface, pour ne citer que ce cas !

La désertification augmente et continue de faire des ravages non seulement en Algérie (cas de Mostaganem), dans d’autre pays d’Afrique mais également de part le monde

Les cycles climatiques ont subi des altérations préoccupantes (démontrées par ailleurs par les analyses des Dr. PERROS et R. WASHINGTON lors du forum international organisé à Alger du 14 au 18 Avril 2002 ) ce qui aurait influé de manière significative sur les précipitations pluviométriques. En d’autres termes, selon le rapport de l’expert MITCHELL ROBERT sur l ‘environnement, l’émanation (rejet) d’oxyde de carbone dans l’atmosphère a entraîné un réchauffement de la terre, conséquence directe sur les dérèglements climatiques, ce dont souffre notre pays

En référence aux conventions internationales, la lutte contre la désertification suppose :

« Préservation et protection de certaines espèces »

« Restauration de la fore »
Ces deux préoccupations (objectifs) suffiraient-elles pour la préservation des surfaces forestières actuelles et, par voix de conséquence susceptibles de contribuer à la séquestration des gaz toxiques et libérer l’oxygène nécessaire à la dépollution de l’air évitant ainsi le fléau d’empoisonnement de l’atmosphère de nos jours ?

Les principes qui régissent l’association ne le pensent pas !

Aussi s’engager pour un reboisement à grande échelle ne devrait-il pas constituer un moyen par lequel on peut contribuer à oxygéner l’air que l’humanité respire, dépolluer par là même l’atmosphère dont la planète a un grand besoin et créer les conditions pour une meilleure climatologie !

A titre indicatif, en Algérie (2,38 M/ km2) la surface des terres utilisées par l’agriculture estimée à 48 M /h (S A U, forets et autre parcours pastoraux) et donc, supposée couverte de végétations, ne dépasse pas 1,5% de la surface totale du pays ; alors que la norme généralement suggérée par les institutions internationales spécialisées en la matière, est de l’ordre de 25%.

Il y a lieu de signaler, à titre indicatif, que sur la base de ces données, les services du ministère de l’agriculture (forets) se proposent de faire progresser le taux de boisement de 2 points c'est-à-dire de 11 à 13% pour les zones sylvatiques (nord du pays)

Ce taux suffit-il à protéger les ressources actuelles contre les effets de l’érosion et de désertification ?

L’admissibilité, la prise de conscience de cette préoccupation ou encore l’intérêt que l’on pourrait lui porter, ne peut entraîner que des effets louables mais, certainement pas négatifs.

Le soutien éventuel, que nous souhaitons profondément, et la vulgarisation de notre idée de projet, peuvent paraître à première vue utopique et la concrétisation relever de l’impossible !

Mais ne dit-on pas que « l’argent peut faire une route en mer ? »

Les Européens n’ont-ils pas construit et réalisés un tunnel sous la mer ?

Les pays industrialisés (Européens, Américains, Japonais…..), dans l’hypothèse où leurs efforts et leur intelligence sont conjugués, ne peuvent-ils pas en « discuter » de l’idée de projet, nous écouter et prendre en considération l’appel de notre association ?


Compte tenu de la préoccupation des instances internationales, particulièrement dans les domaines de la problématique du réchauffement de la planète et les différentes méthodes d’approches pour traiter de la question (Américains et le reste du monde s’affrontent sur ce point), un début de solution peut être trouvé dans le reboisement du SAHARA, Algérien voir AFRICAIN, du fait précisément de sa position géographique planétaire

Faut-il que les états concernés ne manifestent pas d’opposition ; car si tel est le cas, la qualification de celle ci, peut être assimilée à un manque de conscience eu égard de l’humanité et le non respect en vers la nature.

C’est pourquoi notre objectif au fond c’est d’abord la sensibilisation de ceux qui sont directement concernés par la pollution de l’atmosphère et ceux qui s’intéresseraient à la problématique de la protection de la nature, du réchauffement de la planète (conséquences sur le dérèglement climatique) puis l’examination sous contrôle des pouvoirs publics des actions idoines, ces deux point en constituent le point focal.

S’agissant de la nécessité de la lutte contre les effets de l’émanation de gaz toxiques dans l’atmosphère (Dioxine de carbones), la mobilisation des bonnes âmes devrait pouvoir être encouragée.

Notre association propose de viser, en tout premier lieu, ceux qui sont prêt à aider au reboisement de grandes surfaces arides (plus particulièrement le SAHARA ALGERIEN et ses parties limitrophes) et ceux dont l’aide à la réalisation de cette idée devrait être sollicitée ou requise, plus particulièrement ceux qui pourraient s’impliquer dans la recherche de propositions de solution à la dite problématique.

Le reboisement du Sahara, support privilégié pour un développement durable, auquel nous y croyons très fort, pourrait contribuer à termes à l’atténuation (absorption de Dioxine) substantielle des effets néfastes ayant occasionnés cette pollution, à la « production d’oxygène » et, par là même à améliorer les conditions « atmosphériques »

Pour notre association il est question, bien entendu, d’activité strictement caritative, non lucrative et dont l’action de ses membres est volontaire.




Cette idée, dite REBOISER LE SAHARA, devra être menée en direction des pouvoirs publics notamment de pays industriels producteurs de ce type de gaz et responsables des rejets dans l’atmosphère (pollueurs payeurs) d’une part et, des associations qui militent et activent pour la protection de la nature, ceux qui souhaitent l’amélioration des conditions atmosphériques en vue de l’arrêt des dégradations des cycles pluviométriques, (en particulier ceux qui aiment la nature et la verdure), ainsi qu’auprès des artistes, de politiques, de journalistes, d’intellectuels et universitaires, de sportifs et, autre lieux de regroupement publics.

Le slogan serait à inventer, pour ce faire les associations et personnes qui souscriraient à cette idée sont d’ors et déjà et/ou seront sollicités à cet effet.

Le présent document est préparé à l’attention des membres ayant acceptés le principe de la création de l’association et de ceux qui se proposent d’œuvrer pour la mobilisation sensibilisatrice en vue de la réalisation de l’objet défini ci dessus.

La rencontre que nous nous proposons d’organiser avec des spécialistes confirmés dans ces domaines, tentera d’aborder tous les sujets sus cités, c'est-à-dire les définitions d’approche, de recherche, de conduite, de moyens …. Pour un suivi le plus rationnellement possible de cette grande tache dont le reboisement du sahara en constitue le point focal

Aux instances qui ne rejettent pas l’idée, il est proposé sa lecture, son amendement éventuel et le cas échéant faire connaître les orientations allant dans le sens de la réalisation de notre objectif.




nous vous saurions très reconnaissant de bien vouloir nous faire connaitre vos remarques eventueels et suggestions sur ce sujet
merci

DAOUD | 24 mai 2005 à 20h23 Signaler un contenu inapproprié
au sujet de l'invitation aux festivité 2006

bonjour!
appartenat à l'association dite reboiser le sahra qui a été créée par un groupe de retraités d'Algérie
mes amis et moi souhaitons recevoir une invitation aux festivités que vous compter organiser durant l'année 2006
vous trouverez ci dessous des documents résumés relatant l'idée de notre projet dire reboiser le sahara comme moyen de contribution de la lutte contre le réchauffement de la planète par le biais du système naturel de la photosynthèse cause directe du dérèglement climatique avec toutes les conséquences engendrées telles la secheresse et la désertification avec leur lots de désolations et de souffrances
ASSOCIATION REBOISER LE SAHARA
12 Bd. Cl. Amir ouche, Alger


TERMES DE REFERENCES DES THEMES PROPOSES POUR LES JOURNEES D’ETUDES SUR LE REBOISEMENT DU SAHARA
A GRANDE ECHELLE

OBJECTIFS :

Mettre à l’ordre du jour de l’actualité l’idée visée par l’association ;

La promotion de politiques de reboisement à grande échelle comme moyen d’action naturelle (photosynthèse) en vue de l’atténuation des effets du réchauffement de la terre susceptible d’agir contre les dérèglements climatiques

La tradition en Afrique ne considère- t-elle pas l’arbre comme le symbole de la vie ?

Dans cet ordre d’idée, le saint coran, qui site l’olivier et le jujubier, en fait même une obligation de la protection de l’environnement, ce qui revient à dire que l’Islam et la sunna réservent une place de choix à l’environnement

Les programmes de lutte contre la désertification et, donc à la protection de la nature peuvent constituer un soutien aux politiques de reboisement à grande échelle, de reconstitution de la faune sauvage, de l’amélioration (réhabilitation) des écosystèmes dans les régions de l’Algérie (région immédiate de l’Europe)

THEME Générique

Le reboisement à grande échelle comme nécessité d’équilibre écologique (respect et protection de la nature) et intérêts d’utilité économique.

THEME Spécifiques


Reboisement à grande échelle

Couverture des sols et protection de la nature,

Reconstitution de la faune sauvage

Utilité économique :

• Occupation des zones rurales

• Développement durable,

Intérêt écologique

Séquestration de gaz toxiques et libération d’oxygène,


Lutte contre les dérèglements climatiques


Rôle associatif

Vulgarisation la plus large possible

Sensibilisation des autorités

Mobilisation des acteurs concernés


Actions de sensibilisation

Au niveau national

Au niveau international

Auprès de mouvements associatifs activant dans les domaines de la protection de la nature et du développement durable

Auprès des Média


BN :

Ces termes de références seront proposés à des universitaires spécialisés et/ou à des professionnels expérimentés dans les domaines de la protection de la nature (réchauffement de la terre et dérèglement climatique) par le reboisement à grande échelle et du développement durable en vue de l’élaboration d’un exposé
EXPOSE DES MOTIFS

CREATION D’ASSOCIATION CIVILE « REBOISER LE SAHARA »


La lutte contre la désertification préconisée « çà et là » comme étant l’objectif ultime dans les plans de développement pour dit-on, protéger et valoriser les ressources naturelles ne semble pas résonner avec le dynamisme que requière les exigences du développement durable

En effet pourrait-on d’ors et déjà afficher que, lutter contre la désertification cela voudrait dire également, lutter contre la nature. Or depuis des lustres beaucoup d’énergie (financiers notamment) et d’effort physiques ont été consentis et déployés dans ce domaine, pour quel résultat ?

La surface sylvicole n’a pas augmenté pour autant (ce qui ne veut pas dire que de par le monde cette situation n’a pas fait l’objet de préoccupation ), au contraire, elle s’est rétrécit et, l’on pourrait ajouté en ce sens que l’Amazonie qui selon certaines expressions « constitue le poumon de la planète » a subit et continue ( comme ailleurs) de faire l’objet d’agressions qui ont entraîné et continuent d’occasionner des diminutions substantielles de sa surface, pour ne citer que ce cas !

La désertification augmente et continue de faire des ravages non seulement en Algérie (cas de Mostaganem), dans d’autre pays d’Afrique mais également de part le monde

Les cycles climatiques ont subi des altérations préoccupantes (démontrées par ailleurs par les analyses des Dr. PERROS et R. WASHINGTON lors du forum international organisé à Alger du 14 au 18 Avril 2002 ) ce qui aurait influé de manière significative sur les précipitations pluviométriques. En d’autres termes, selon le rapport de l’expert MITCHELL ROBERT sur l ‘environnement, l’émanation (rejet) d’oxyde de carbone dans l’atmosphère a entraîné un réchauffement de la terre, conséquence directe sur les dérèglements climatiques, ce dont souffre notre pays

En référence aux conventions internationales, la lutte contre la désertification suppose :

« Préservation et protection de certaines espèces »

« Restauration de la fore »
Ces deux préoccupations (objectifs) suffiraient-elles pour la préservation des surfaces forestières actuelles et, par voix de conséquence susceptibles de contribuer à la séquestration des gaz toxiques et libérer l’oxygène nécessaire à la dépollution de l’air évitant ainsi le fléau d’empoisonnement de l’atmosphère de nos jours ?

Les principes qui régissent l’association ne le pensent pas !

Aussi s’engager pour un reboisement à grande échelle ne devrait-il pas constituer un moyen par lequel on peut contribuer à oxygéner l’air que l’humanité respire, dépolluer par là même l’atmosphère dont la planète a un grand besoin et créer les conditions pour une meilleure climatologie !

A titre indicatif, en Algérie (2,38 M/ km2) la surface des terres utilisées par l’agriculture estimée à 48 M /h (S A U, forets et autre parcours pastoraux) et donc, supposée couverte de végétations, ne dépasse pas 1,5% de la surface totale du pays ; alors que la norme généralement suggérée par les institutions internationales spécialisées en la matière, est de l’ordre de 25%.

Il y a lieu de signaler, à titre indicatif, que sur la base de ces données, les services du ministère de l’agriculture (forets) se proposent de faire progresser le taux de boisement de 2 points c'est-à-dire de 11 à 13% pour les zones sylvatiques (nord du pays)

Ce taux suffit-il à protéger les ressources actuelles contre les effets de l’érosion et de désertification ?

L’admissibilité, la prise de conscience de cette préoccupation ou encore l’intérêt que l’on pourrait lui porter, ne peut entraîner que des effets louables mais, certainement pas négatifs.

Le soutien éventuel, que nous souhaitons profondément, et la vulgarisation de notre idée de projet, peuvent paraître à première vue utopique et la concrétisation relever de l’impossible !

Mais ne dit-on pas que « l’argent peut faire une route en mer ? »

Les Européens n’ont-ils pas construit et réalisés un tunnel sous la mer ?

Les pays industrialisés (Européens, Américains, Japonais…..), dans l’hypothèse où leurs efforts et leur intelligence sont conjugués, ne peuvent-ils pas en « discuter » de l’idée de projet, nous écouter et prendre en considération l’appel de notre association ?


Compte tenu de la préoccupation des instances internationales, particulièrement dans les domaines de la problématique du réchauffement de la planète et les différentes méthodes d’approches pour traiter de la question (Américains et le reste du monde s’affrontent sur ce point), un début de solution peut être trouvé dans le reboisement du SAHARA, Algérien voir AFRICAIN, du fait précisément de sa position géographique planétaire

Faut-il que les états concernés ne manifestent pas d’opposition ; car si tel est le cas, la qualification de celle ci, peut être assimilée à un manque de conscience eu égard de l’humanité et le non respect en vers la nature.

C’est pourquoi notre objectif au fond c’est d’abord la sensibilisation de ceux qui sont directement concernés par la pollution de l’atmosphère et ceux qui s’intéresseraient à la problématique de la protection de la nature, du réchauffement de la planète (conséquences sur le dérèglement climatique) puis l’examination sous contrôle des pouvoirs publics des actions idoines, ces deux point en constituent le point focal.

S’agissant de la nécessité de la lutte contre les effets de l’émanation de gaz toxiques dans l’atmosphère (Dioxine de carbones), la mobilisation des bonnes âmes devrait pouvoir être encouragée.

Notre association propose de viser, en tout premier lieu, ceux qui sont prêt à aider au reboisement de grandes surfaces arides (plus particulièrement le SAHARA ALGERIEN et ses parties limitrophes) et ceux dont l’aide à la réalisation de cette idée devrait être sollicitée ou requise, plus particulièrement ceux qui pourraient s’impliquer dans la recherche de propositions de solution à la dite problématique.

Le reboisement du Sahara, support privilégié pour un développement durable, auquel nous y croyons très fort, pourrait contribuer à termes à l’atténuation (absorption de Dioxine) substantielle des effets néfastes ayant occasionnés cette pollution, à la « production d’oxygène » et, par là même à améliorer les conditions « atmosphériques »

Pour notre association il est question, bien entendu, d’activité strictement caritative, non lucrative et dont l’action de ses membres est volontaire.




Cette idée, dite REBOISER LE SAHARA, devra être menée en direction des pouvoirs publics notamment de pays industriels producteurs de ce type de gaz et responsables des rejets dans l’atmosphère (pollueurs payeurs) d’une part et, des associations qui militent et activent pour la protection de la nature, ceux qui souhaitent l’amélioration des conditions atmosphériques en vue de l’arrêt des dégradations des cycles pluviométriques, (en particulier ceux qui aiment la nature et la verdure), ainsi qu’auprès des artistes, de politiques, de journalistes, d’intellectuels et universitaires, de sportifs et, autre lieux de regroupement publics.

Le slogan serait à inventer, pour ce faire les associations et personnes qui souscriraient à cette idée sont d’ors et déjà et/ou seront sollicités à cet effet.

Le présent document est préparé à l’attention des membres ayant acceptés le principe de la création de l’association et de ceux qui se proposent d’œuvrer pour la mobilisation sensibilisatrice en vue de la réalisation de l’objet défini ci dessus.

La rencontre que nous nous proposons d’organiser avec des spécialistes confirmés dans ces domaines, tentera d’aborder tous les sujets sus cités, c'est-à-dire les définitions d’approche, de recherche, de conduite, de moyens …. Pour un suivi le plus rationnellement possible de cette grande tache dont le reboisement du sahara en constitue le point focal

Aux instances qui ne rejettent pas l’idée, il est proposé sa lecture, son amendement éventuel et le cas échéant faire connaître les orientations allant dans le sens de la réalisation de notre objectif.

Présentation

DIRE « REBOISER LE SAHARA »

L’association « REBOISER LE SAHARA », dont, le projet d’idée a été initié dès Avril 2001 et le dossier d’agrément a été déposé en Janvier 2002 auprès des services du Ministère de l’intérieur et des collectivités locales, est une association nationale, civile, à but non lucratif de droit Algérien.

Au départ de l’action, il y a la volonté de ses membres fondateurs et de ses adhérents de :

• sensibiliser sur la prise de conscience en direction de l’ampleur du phénomène du réchauffement de la terre due essentiellement à la pollution de l’air, voire à la baisse des niveaux des nappes souterraines et de l’accroissement des zones arides et semi - arides (désertification) et la nécessité de faire prendre les décisions idoines en vue du reboisement à grande échelle,

• mobiliser les acteurs intéressés et concernés par la lutte contre ces phénomènes subits au profit d’intérêts écologiques et de développement durable.

• s’impliquer dans le processus qui serait engagé dans cette perspective.


Il y a aussi le souci de faire partager au public, le plus large possible, cette prise de conscience sur la désertification désolante dans notre pays avec les répercussions désastreuses et multidimensionnelles que celles ci a engendrées.

Dans le cadre de ces préoccupations, il paraissait donc important, d’ouvrir le débat et susciter l’intérêt autour de la question relative à l’intégration du grand sud Algérien, voir l’ensemble de la zone du Sahara Africain (l’idée de reboiser à grande échelle au niveau du Pays) dans les efforts d’études et de recherches entreprises et à entreprendre en vue de la mise en œuvre de solutions de nature à rendre réversible la spirale infernale de la désertification, de la pollution de l’atmosphère et donc du réchauffement de la terre cause directe du dérèglement climatique dont notre pays souffre depuis des lustres.





L’idée dire « REBOISER LE SAHARA » est une proposition qui, à priori, peut paraître utopique mais, à bien y réfléchir, elle se veut pleine de pertinence dans la mesure où elle vise à interpeller tous les acteurs nationaux et internationaux concernés par les problèmes majeurs de l’environnement, plus particulièrement celui de la lutte contre la désertification une des causes également du réchauffement de la terre, en leur suggérant de s’intéresser (prendre fait et cause) aux approches favorisant la protection de la nature et ses ressources


Loin de toute tentation de surenchère et de tout esprit maximaliste, l’association « REBOISER LE SAHARA » consciente de la nécessité d’éviter l’éparpillement des énergies disponibles, souhaite pouvoir contribuer à attirer l’attention et susciter l’intérêt des scientifiques et des experts sur les régions hyper - arides certes, mais dont les ressources avérées rendent éligible à des actions de reboisement à grande échelle dans la perspective de développement durable.


Ces actions peuvent, par la durée, engendrer à long terme des retombées bénéfiques multiples avec certainement un impact déterminant sur les problèmes globaux de l’environnement (atténuation des effets de serre notamment les dérèglements climatiques) et ceux inhérents au développement rural durable


Avant de mettre en œuvre son programme, il a paru nécessaire aux membres de l’association de faire connaître son objet afin que, par la suite, elle soit soutenue et encouragée


C’est pourquoi les membres de l’association acceptent l’organisation d’une journée d’information destinée à un public restreint et averti, composé essentiellement de « médiateurs » et, de relais (fonctionnaires, experts, chercheurs universitaires, journalistes et autres ONG le cas échéant….)






nous vous saurions très reconnaissant de bien vouloir nous faire connaitre vos remarques eventueels et suggestions sur ce sujet
merci

DAOUD | 24 mai 2005 à 20h35 Signaler un contenu inapproprié
Re:au sujet de l'invitation aux festivité 2006

bonjour!
j'aimerai reçevoir la réponse concernant l'invitation merci

raouf | 20 août 2005 à 19h12 Signaler un contenu inapproprié
Re:au sujet de l'invitation aux festivité 2006

Bonjour,

La conférence est passée... l'article date de 2003. (date mentionnée en haut de page).

Bien cordialement

David Ascher

Ascher David | 22 août 2005 à 11h39 Signaler un contenu inapproprié
Re:au sujet de l'invitation aux festivité 2006

je vous felicite pour l'attention que vous portez au reboisement du sahara.
je suis ing agronome du sud est algerien. tres interessé par ce sujet parce que je suis aussi a la tete d'une asso de protection de l'env. pour etre pratique, je suppose que le jujubier " zizphus jujibiae" est le meilleur conqueteur du milieu saharien. une association appelée : jojoba et developpemlent est en suisse mene des etudes importa,tes sur le role de cette espece dans la lutte contre la desertification et l'ensablement.
merci mr daoud

bio.nadjib | 05 août 2006 à 02h14 Signaler un contenu inapproprié
Re:au sujet de l'invitation aux festivité 2006

Je suis un jeune algérien dont le projet de la culture de jojoba , me range depuis 10 ans .
car j'ai passé mon service militaire à tindouf , et un jour j'ai lu dans une revue française un article , dont le titre ' l'huile riche dans un pays pauvre ' , et en parrallele je me suis documenté sur le jojoba , soit sur son apport économique pour le pays et le citoyen algérien , et ecologique et méme sociale .
j'ai constaté que si jamais l'algérie , se préoccupe et encourage la culture du jojoba , le fruit de cette culture pourra devenir dans 05 ans le substitut du pétrol , car la demande mondiale ne cesse d'augmenter , et le sol algérien je pense qu'il est vraiment favorable à ce genre de culture.
moi ma vocation je suis un économiste , et je suis pret a changer de domaine pouvu que je trouverai de l'aide de la part des autorités locales et surtout documentaire.
messieurs je pense que pour ce genre de projet la conjoncture locale et internationale et nationale est trés favorable , donc il faut s'organiser.
si jamais vous avez de la documentation , ou bien des organismes qui peuvent nous aider pour la concrétisation de ce genre de projet , veuillez me donner le contact.
salutations.

momo | 24 décembre 2006 à 13h52 Signaler un contenu inapproprié

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