Se passer de sa voiture personnelle même quand on en besoin. C'est à ce défi que tente de répondre l'autopartage. Plusieurs opérateurs se font une place dans les grandes villes de France en proposant une ou plusieurs voitures en autopartage à moins de 500 mètres les unes des autres.
Un service qui a du succès en milieu urbain car il complète une offre de mobilité. Ce service permet au piéton, au cycliste, à l'usager des transports collectifs ou au covoitureur, de se déplacer occasionnellement seul en voiture, pour un motif ou un lieu pour lequel l'automobile reste le moyen de transport le plus approprié.
Les salariés comme les entreprises peuvent être intéressés par ce service. Des villes comme Paris, Strasbourg, Marseille, La Rochelle ou Lille, en sont déjà dotées.
Certaines villes ont déjà conçu leur offre avec le concept de « Mobility as a service » où l'autopartage partage l'affiche avec les transport en communs, les vélos... Un seul et même abonnement pour tout.
L'autopartage peut aussi être un outil d'aménagement du territoire.
Détails avec Jean-Baptiste Schmider, fondateur du réseau d'autopartage Citiz, rencontré à l'occasion du Salon des Maires 2019 qui se tient à Paris jusqu'au 21 novembre.
Article publié le 19 novembre 2019
