Devant la menace de sanctions financières, Greenpeace a décidé de mettre fin à son action de blocage du site du chantier de l'EPR à Flamanville démarré hier matin à 6h30. « Notre action avait pour but d'interpeller les candidats sur l'inutilité et le danger de l'EPR et le caractère anti-démocratique du décret d'autorisation pris par le gouvernement il y a quelques jours. Une fois de plus, la menace juridique et financière est l'instrument privilégié d'EDF et du gouvernement pour empêcher qu'un débat public transparent puisse réellement s'engager sur l'avenir énergétique et climatique de la France » déclare Yannick Rousselet, chargé de la campagne nucléaire à Greenpeace France.
Article publié le 27 avril 2007