La Chine a investi 17 milliards de dollars dans les transports publics, les énergies renouvelables qui ont assuré 20 % des besoins des Jeux et autres projets environnementaux, a précisé Achim Steiner, Secrétaire général adjoint et directeur exécutif du PNUE dans un communiqué.
Aussi selon ce rapport réalisé ''en toute indépendance'' par le PNUE, le nombre de jours sans pollution est passé de 180 à 274 entre 2000 et 20008. La Ville de Pékin a aussi construit 720 parcs et espaces verts, soit 8.800 hectares utilisant plus de 30 millions d'arbres et de rosiers.
Cependant, l'empreinte carbone des Jeux olympiques et des Jeux paralympiques et l'implication des ONG auraient pu être améliorées durant ces Jeux, note le rapport.
Des efforts restent à faire à Pékin notamment afin de réduire sa dépendance au charbon qui assure 40 % de la consommation énergétique. Mais les évaluations menées à Pékin servent ''d'exemple'' et seront cruciales pour les organisateurs des Jeux à Vancouver, Londres et Sochi ainsi que pour d'autres événements sportifs de masse, a souligné le PNUE.
Article publié le 20 février 2009