Le texte confirme ainsi la mise en œuvre du « pacte automobile » à hauteur de 6,89 milliards d'euros pour les constructeurs automobiles présents en France. Selon le projet du texte de loi, ces prêts leur permettront de financer leur activité en période de crise de crédit, d'être au rendez-vous des grandes échéances en matière de respect de l'environnement (émission de CO2 et de particules) et d'accélérer les programmes de véhicules « décarbonés ».
Article publié le 15 avril 2009