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Actu-Environnement

Surveillance de la biodiversité terrestre : l'OFB lance un appel à manifestation d'intérêt

L'Office français de la biodiversité (OFB) lance un appel à manifestation d'intérêt (AMI) pour cofinancer des projets permettant d'améliorer la surveillance nationale terrestre des espèces et habitats à enjeux de conservation. Cet AMI est piloté par l'Unité mixte de service (UMS) PatriNat (patrimoine naturel), un centre de données et d'expertise sur la nature. Toute entité publique ou privée (ou un ensemble de partenaires réunis en consortium) peut déposer son dossier de candidature (1) jusqu'au 23 mai 2021.

Les projets devront apporter de nouveaux éléments méthodologiques et opérationnels permettant d'améliorer la surveillance des espèces et/ou habitats visés, « de façon adaptée par rapport à l'état de l'art : élaborer des protocoles, définir une stratégie d'échantillonnage, développer et éprouver des indicateurs, proposer une organisation du réseau d'acteurs, planifier la gestion des données, etc. ».

L'enveloppe globale consacrée à cet AMI est d'environ 700 000 euros TTC. Quatre à sept projets environ pourront être retenus. Le montant du cofinancement accordé par l'OFB à chaque projet sélectionné sera au maximum de 90 % du coût total du projet.

1. Accéder au cahier des charges de l'AMI : Amélioration de la surveillance nationale terrestre des espèces et habitats à enjeux de conservation
https://ofb.gouv.fr/actualites/appel-manifestations-dinteret-amelioration-de-la-surveillance-nationale-terrestre-des

Réactions2 réactions à cet article

Public, privé, consortium (union de banques ou autres financiers gros pollueur... ) sont bienvenus.
La course au profit généralisé et le marché global ont largement contribué à la crise écologique actuelle. Pourtant, les mondes de l'économie et de la finance prétendent renverser la tendance et sauver la planète en la protégeant à leur façon, c'est-à-dire avec de l'argent
les marchés n'aiment ni l'abondance ni la gratuité. Mais avec la raréfaction des ressources et la disparition programmée de certaines espèces, l'équation a changé. La loi de l'offre et de la demande peut maintenant s'appliquer aux richesses naturelles. Ainsi, des banques et des fonds d'investissements, pourtant responsables de la dernière crise financière en date, achètent d'immenses zones naturelles riches en espèces animales et végétales menacées. Monétarisées et financiarisées, ces réserves sont ensuite transformées en produits boursiers possiblement spéculatifs.
En investissant dans ces actions, les entreprises polluantes obtiennent des "certificats de bonne conduite" qui les dispensent de suspendre leurs activités les plus néfastes...

ouragan | 30 mars 2021 à 13h39 Signaler un contenu inapproprié

Surveiller quoi puisqu'il n'y a plus rien à surveiller! Encore un projet qui tombe (volontairement ) à côté de la plaque. C'est comme le Conseil National du Bruit qui passe son temps à mesurer et à faire de belles courbes ...sans jamais essayer de pondre le moindre texte pour améliorer la santé de la population, on mesure, on paye les mesures, on remesure, on repaye les mesures, on reremesure, on rerepaye les mesures...et pendant ce temps là ,on ne fait rien d'autre...et surtout pas quoi que ce soit qui pourrait contrarier les industriels que ces mesures mettent en cause. Décidément on nous prend vraiment pour des buses !

gaïa94 | 01 avril 2021 à 00h13 Signaler un contenu inapproprié

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