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Actu-Environnement

Canal Seine-Nord : La France, la Belgique et l'Europe s'accordent sur le calendrier

Transport  |    |  P. Collet

"La France, les régions flamande et wallonne de Belgique et la Commission européenne confirment leur engagement commun dans le projet [de liaison fluviale transfrontalière Seine-Escaut] et s'accordent sur l'avancement des travaux", se félicite Elisabeth Borne, ce mardi 2 juillet. La ministre des Transports salue ainsi l'adoption le 27 juin par la Commission européenne de la décision d'exécution relative au canal Seine-Nord Europe. Cette feuille de route été élaborée en accord avec la France et les régions belges de Flandre et de Wallonie.

La Commission européenne explique que sa décision fixe les étapes et le calendrier nécessaires à la réalisation du projet transfrontalier Seine-Escaut. Il doit permettre de constituer un réseau de 1.100 km de voies navigables à grand gabarit entre les deux bassins. Les différents chantiers du projet devront être achevés entre fin 2020 et fin 2030. L'accord validé par la Commission prévoit aussi d'associer l'Union européenne à la gouvernance de l'établissement public Société du canal Seine-Nord Europe, chargé de la réalisation de cette infrastructure.

"Une fois achevé, le bassin de la Seine sera directement relié par des voies navigables continues au bassin de l'Escaut dans le nord de la France et en Belgique", rappelle l'exécutif européen. Cette liaison, qui participe à la liaison de la Seine aux Pays-Bas et aux bassins du Rhin et du Maas, "est un maillon clé du corridor mer du Nord - Méditerranée du réseau transeuropéen de transport (RTE-T)".

L'Europe financera 50 % du montant des études et 40 % du montant des travaux sur la période 2014-2020, dans le cadre du Mécanisme pour l'interconnexion en Europe. Sur la période 2021-2027, la liaison fluviale pourrait être éligible à un taux maximal de 50 % du montant des travaux.

Réactions1 réaction à cet article

Bonjour,
personne n'a l'air de se poser la question de l'approvisionnement en eau de cette structure de 1100 km (pas seulement le remplissage initial mais aussi la compensation de l'évaporation).
Qu'en est-il des expropriations sur le trajet ?
D'autre part ne tire-t-on pas une balle dans les pieds des ports français (Dunkerque mais surtout HAROPA ?).
Bien cordialement
Xavier Lemarcis

lemarcix | 03 juillet 2019 à 14h11 Signaler un contenu inapproprié

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