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Actu-Environnement

Le Gabon révise son code de l'environnement

Biodiversité  |    |  M. Bernard
La pression exercée par l'urbanisation et l'industrialisation sur les écosystèmes locaux ont poussé le gouvernement gabonais à entreprendre la refonte de son cadre normatif de régulation pour l'environnement.

Cette révision, prise en charge par le cabinet Huglo Lepage & Associés Conseil, intervient également dans le soucis de mieux gérer le patrimoine forestier, terrestre et marin et d'améliorer les équilibres entre protection et activité économique.

À cet effet, une convention a été officiellement signée le 25 septembre à Libreville, entre Georgette Koko, vice-premier ministre en charge de l'Environnement et Maître Corinne Lepage, en présence de Christian Huglo du cabinet Huglo Lepage.

En donnant ses directives au cabinet, la ministre a déclaré mieux que la répression, c'est l'incitation, la facilitation, et la promotion qui vont permettre de réconcilier les objectifs du développement avec l'exigence de la pérennité des ressources, la réduction des nuisances, et la construction d'un cadre de vie sain.

Le cabinet Huglo Lepage & Associés Conseil va devoir formuler un projet sous trois mois afin de répondre à une double exigence : celle d'assurer le développement sans détriment pour l'environnement et la vie des habitants.

Réactions2 réactions à cet article

réaction à l'article sur la révision du code de l.

Je viens réagir à l'article que vous avez publiez sur la révision du code de l'environnement. En tant que ONG environnementale gabonaise qui sait à peu près quelques lacunes de cette loi, je viens dire que c'est bien de révisez une loi, mais il est unitil d'avoir une nouvelle orientation de la loi, alors que la première n'a pas jouer son role.

aujourd'hui croissance saine est entrain d'organiser un atelier de lanacement de l'initiative d'accès de la société civile à l'information, à la justice et à la participation du public dans la prise de décisions.

Nous voyons que le ministere de l'environnement de l'environnement a signé une convention sans pourtant travailler en amont avec tous les acteurs impliqués pour avoir leurs points de vues. le problème n'est pas la loi, mais ceux qui la détienne qui ne la comprend meme pas pour faire d'elle un instrument util pour la conservation et le développement durable.

Nous sommes des parties prenantes et nous disons que cette manière de faire sans consultation nous ramène à la non bonne gouvernance des lois au Gabon.

Anonyme | 03 octobre 2008 à 13h28 Signaler un contenu inapproprié

En lisant ce article j'espérais que la prise en compte de la société civile sera bel et bien là mais non. De plus je tiens à souligner que l'attention dont cet article met en lumière c'est la légitimité d'une loi, car si toutes les parties prenantes sont impliquées, l'assentiment sera de la logique PYTHAGORICIENNE(1+1=2).
A cet effet, la loi, bien que révisée doit avoir force de loi pour tout le monde sans exception. Sinon ne nous ventons plus d'être un pays de Lois.
Aussi permettez moi de dire qu'une Loi s'accompagne des décrets d'application alors où sont ils? si l'ancienne loi est abrogée mais que ces décrets d'application servent pour la nouvelle loi, il faut le signifier aussi claire que l'eau du Lac bleue de Mouila.

DECKOZ | 11 novembre 2014 à 15h10 Signaler un contenu inapproprié

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