Robots
Cookies

Préférences Cookies

Nous utilisons des cookies sur notre site. Certains sont essentiels, d'autres nous aident à améliorer le service rendu.
En savoir plus  ›
Actu-Environnement

Retour sur la contribution de la recherche publique à REACH

L'adoption en 2007 du règlement européen REACH devrait aboutir à une meilleure connaissance des substances chimiques mais aussi à la substitution de certaines. La recherche publique s'est interrogée sur sa contribution possible à cet énorme chantier.

Risques  |    |  S. Fabrégat
   
Retour sur la contribution de la recherche publique à REACH
© Alexander Raths
   
Depuis deux ans, l'INERIS (institut national de l'environnement et des risques), le CNRS et l'APESA (centre technologique en environnement et maîtrise des risques), saisis par les pouvoirs publics, ont réfléchi à leur contribution à la bonne mise en œuvre du règlement européen REACH, qui vise d'ici 2018 une meilleure connaissance des substances chimiques utilisées. Ces travaux ont permis de mettre en lumière les efforts de recherche indispensables à la réussite de ce chantier. Un colloque de restitution des travaux était organisé le 24 septembre dernier. Il devrait permettre d'orienter les axes de recherche futurs et les appels à projet.
Rappelons que la production de substances chimiques est passée de 1 million à 400 millions de tonnes entre 1930 et 2007. Aujourd'hui, près de 100.000 substances seraient utilisées sur le marché, dont les impacts sanitaires et environnementaux sont mal connus. L'objectif de REACH ? Renverser la charge de la preuve : les producteurs et importateurs de substances chimiques doivent désormais prouver l'innocuité des substances qu'ils utilisent.

Une implication nécessaire de la recherche

Restée en marge du débat sur le règlement REACH, la communauté de la recherche publique estime pourtant avoir un rôle à y jouer. ''Les chercheurs des institutions publiques doivent dès aujourd'hui suivre avec vigilance la mis en œuvre du règlement, note le rapport. Assurément, ce sont les industriels eux-mêmes, et non la communauté scientifique de la recherche publique, qui ont à charge de produire la connaissance. Il est toutefois permis de s'interroger sur l'efficacité du système ainsi mis en place, quand on sait que la source du financement des évaluations est susceptible d'influer directement sur les résultats de ces dernières. (…) Sans prétendre être une instance ultime d'arbitrage, elle est en mesure de mobiliser des compétences de haut niveau pour fournir un support crédible au nécessaire dialogue entre producteurs, chercheurs, utilisateurs, décideurs''.
Les chercheurs pensent également que leur rôle est de promouvoir des recherches spécifiques. La chimie verte être perçue comme une priorité dans les laboratoires de recherche académique. Les scientifiques doivent également travailler sur les questions d'acceptabilité sociale en créant une collaboration étroite entre sciences sociales et sciences de la nature.

Promouvoir l'éco innovation

La prise en compte des impacts sanitaires et environnementaux constitue désormais une priorité pour la chimie. L'analyse du cycle de vie, le choix des matières premières, fossiles ou renouvelables, les choix des réactions avec le minimum de rejets, le choix du procédé… doivent donc être déterminants pour la prise de décision. Selon le rapport, la recherche peut et doit proposer des substances de substitution des produits dangereux mais aussi des substituts aux solvants utilisés dans la chimie, participer au développement de nouveaux procédés plus efficaces et moins impactant, accompagner l'innovation dans le secteur.

Développer la toxicologie

La mise en place du règlement REACH a révélé le manque cruel de toxicologues, en France comme en Europe. Le rapport propose de renforcer cette discipline, tout d'abord au niveau de la recherche fondamentale (développement de biomarqueurs…). Le rapport précise que l'accent doit ''être mis sur les effets chroniques des faibles doses d'exposition, les problèmes de relation dose-effet, de cocktail de substances… Le développement d'outils de gestion / traitement de données et de modélisation mathématique est primordial au succès de cette approche.''

L'accompagnement social de REACH

Enfin, le rapport propose entre autre de créer un observatoire économique de la mise en œuvre de REACH pour ''réaliser des études ex post sur les conséquences réelles de la mise en œuvre de REACH sur l'industrie chimique et sur certaines grandes industries utilisatrices. Ces études permettraient aux pouvoirs publics d'orienter au mieux les accompagnements de l'évolution, voire des reconversions, des entreprises''.

Réactions16 réactions à cet article

le scandale de REACH

Près de 60 millions d'animaux vont deguster des tests horribles(asphyxie aux gaz, ingurgitation de produits haement toxiques à l'etat concentré .etc..Imaginez si on vous faisait avaler d e la javel, ou si on vous en mettait dans les yeux...test de surcroit poudre (toxique!) aux yeux car il n'est absolument pas fiables d'extrapoler aux hommes: les reactions sont parfois opposées d'une espèce à une autre.
On sait faire autrement. Mais le scandale,c'est qu'on ne veut pas;
L'horreur va encore s'abattre sur des innocents.
Je crache sur REACH et ceux qui ont atteint là le maximum du cynisme. javascript:add_smilley('');
Betise est soeur de mechanceté, Sophocle.

jo | 27 septembre 2009 à 14h32 Signaler un contenu inapproprié
REACH ou comment torturer 54 millions d'animaux e.

EXPÉRIMENTATION : 54 MILLIONS D’ANIMAUX SACRIFIÉS DANS LE PROJET REACH

54 millions d’animaux seront utilisés pour le projet REACH. Il faut convaincre l’Union européenne de recourir à une science moderne et performante, excluant les expériences sur les animaux.

Jusqu'à présent, les autorités annonçaient que ce programme toucherait environ 12,8 millions d’animaux, ce qui est déjà un chiffre inimaginable. Lors du congrès,qui s'est tenu à Rome il y a quelques semaines il a été annoncé le nouveau chiffre de 54 millions d’animaux. Bien que toutes les autorités ne soient pas d’accord entre elles concernant la validité de ce dernier chiffre, il faut agir très vite.
C’est notre devoir de faire pression sur la Commission européenne pour insister sur l’adoption de la toxicologie moderne du 21ème siècle, qui repose sur les méthodes substitutives à l’expérimentation animale.

Les données obtenues sur des humains sont plus fiables
Nous devons également ne pas accepter l’excuse du manque de données humaines. Chacun de nous est déjà contaminé par un cocktail d’environ 200 substances chimiques plus ou moins toxiques. Cela est évident dans les analyses de sang et d’urine, même chez les nouveau-nés.
Il est regrettable que la Commission européenne ne s’intéresse pas à ces données qu’il est facile de se procurer. Tester ces substances chimiques sur des cellules humaines plutôt que sur des animaux éviterait sans nul doute de nombreuses catastrophes sanitaires, et au moins le mot "éthique" si cher aux scientifiques qui expérimentent sur les animaux aurait un sens.
Cet au nom du droit du plus fort que l'humain se permet en toute impunité ( et il en est même récompensé )de torturer les animaux au nom de la science. Ce droit du plus fort, il en a fait une LOI et en ce faisant il signe la faillite de l'humanité .

Sources : One voice et Antidote Europe

Félix | 28 septembre 2009 à 13h39 Signaler un contenu inapproprié
Il faut réfléchir et arrêter de se voiler la face.

Je suis tout à fait d'accord avec les messages de Félix et de Jo. Il est totalement inadmissible que l'on continue d'utiliser des animaux, êtres aussi vivants que nous à qui personne ne demande rien mais impose, pour réaliser des expériences alors que les moyens alternatifs existent et sont fiables ! Il faut regarder les choses en face, ouvrir les yeux avant de commettre l'irréparable...

Mia | 29 septembre 2009 à 12h53 Signaler un contenu inapproprié
besoin de toxicologues ? qu'est-ce qu'on attend ..

"REACH a révélé le manque cruel de toxicologues"
Vraiment ??? ca me fait bien sourire..
Peut-on m'expliquer alors pourquoi je suis toujours en recherche d'un emploi dans ce domaine depuis 10 MOIS alors qu'on est "en manque cruel" ??

Qui est à la recherche de toxicologues ?
Je suis là.

soplet | 01 octobre 2009 à 10h15 Signaler un contenu inapproprié
les vrais coupables

toujours plus d'innovation, et puis un jour l'apprenti sorcier joue une fois de trop. REACh est un ultime mauvais garde fou contre les magiciens de la chimie qui auront toujours une longueur d'avance ...depuis quand la vie dun animal prime t-il sur découverte d'une nouvelle molécule ou son application lucrative?
le plus grave c'est que des humains aussi sont utilisés comme cobayes..jusqu'où peuvent ils aller pour faire de l'argent sans dépasser leur quota de "pertes"t parfois j'ai peur pour mes petits enfants

marthe | 01 octobre 2009 à 10h24 Signaler un contenu inapproprié
Et quels sont ces moyens

A Felix, Jo et Mia: quels sont ces moyens que vous évoquez?

Jean 3.16 | 01 octobre 2009 à 11h20 Signaler un contenu inapproprié
Re:les vrais coupables

Que préférez-vous ? que l'on continue à produire sans cesse de nouvelles substances chimiques sans connaitre leur vrai impact sur notre santé ?
Voulez-vous vraiment continuer à donner à manger à vos petits-enfants sans savoir s'ils sont vraiment bon pour leur santé ? Continueriez-vous à acheter un produit cosmétique si on amenait à vous dire qu'il contient une substance qui pourrait ètre un facteur du développement d'un cancer ?
Reach a pour objectif justement de favoriser les recherches de toxicité sur des modèles cellulaires et non sur des animaux. Bien sûr, on ne peut pas exclure les animaux, mais pensez-vous que seules des cellules peuvent démontrer le reflet du fonctionnement exact de notre organisme ?
Si l'on veut enfin cesser la prolifération d'usage de produits chimiques dont on ne sait rien de leur impact sur notre santé, alors il faut prendre des mesures !
et Reach est une bonne réponse

soplet | 01 octobre 2009 à 12h01 Signaler un contenu inapproprié
Re:Re:les vrais coupables

eh bien oui j'ai changé de cosmétiques..oui j'ai changé de produits d'entretien...oui je viens au bio parce que chez nous en Vendée "ils" vont épandre du compost frelaté issu de TMB sur nos cultures( aux normes d'empoisonnement françaises ..si si)
Ce même compost issu de trimécanobiologique est enfoui en belgique, utilisé sur terres non agricoles en Angleterre et en Allemagne mais en France le droit d"empoisonner existe . alors oui je pense comme tous à nos descendants
il n'est d'ailleurs peut-^tre pas trop tard

marthe | 01 octobre 2009 à 16h27 Signaler un contenu inapproprié
Re:Et quels sont ces moyens

Peut-on éthiquement parlant faire souffrir des êtres sensibles (comme nous) ? La réponse est tout simplement NON …. par simple logique !

morse | 01 octobre 2009 à 18h39 Signaler un contenu inapproprié
Re:Re:les vrais coupables

tout ça c'est question d'humanité. Si on est inhumain,cad classiquement anthropocentré, se croyant tout permis, alors, ok!
mais de quel droit? Oui de quel droit martyriser des êtres sensibles au pretexte qu'ils sont sans defense? pour moi, utile pu pas, je serai tjrs contre la torture des innocents.
Tuer des animaux pour moi me semble honteux.Je n'ai pas 2 genres de morale. Si on est d'accord contre Machiavel , alors...???
REACH est Honteux.

jo | 01 octobre 2009 à 19h27 Signaler un contenu inapproprié
Re:Et quels sont ces moyens

Et bien j'ai déjà répondu, en parlant des cellules humaines.
Par ailleurs il serait judicieux il me semble d'exiger des industriels de cesser de contaminer la planète et ses habitants avec leurs produits toxiques. Utopie ? peut être car le lobby industriel fait la loi , hélas .
Ce qui est toxique pour un animal ne l'est pas forcément pour un autre animal et encore moins pour un humain, et vice versa. Même parmi les rats il y a des lignées. Tous ne réagissent pas de la même façon au même produit. Cela dépend de comment ils ont vécus, mangés, été caressés ou pas ( André Mencahe, Vétérinaire et Directeur scientifique d'Antidote Europe ) Quand on injecte du poison à un animal stressé, apeuré, le résultat est faussé.
Donc ce qui serait le plus probant serait d'expérimenter ces produits toxiques sur des cellules humaines,et mieux encore de renoncer à ces produits toxiques, et dans tout les cas de figure d'avoir une position éthique, c'est à dire ne pas utiliser l'autre, en l'occurence un être vivant qui ne peut s'opposer.

Félix | 01 octobre 2009 à 19h45 Signaler un contenu inapproprié
Moyen fiable pour remplacer les tests bestiaux.

Art. de Luce:


VIVISECTION
Antidote Europe :
scientifiquement contre

Souris, rats, lapins, chiens, chats, chevaux, singes, cochons, poissons… Les animaux, toutes espèces confondues, sont soumis à des
tests d’une très grande cruauté, cause d’une souffrance extrême, pratiqués «au nom de la science» avant de lui être sacrifiés. Au
nom de cette même science, justement, Antidote Europe s’oppose à l’expérimentation animale pour des motifs strictement…
scientifiques.

Car Antidote Europe, et c’est une très bonne chose pour les animaux, même si cela peut paraître a priori paradoxal, n’est pas une
association de protection animale. Pas question donc d’accuser ses membres de «sensiblerie», comme c’est régulièrement reproché aux
amis des animaux. J’en profite pour préciser que je revendique pleinement ce terme de «sensiblerie», qui, pour moi, n’est pas
péjoratif, comme on voudrait le faire accroire en évitant volontairement l’emploi du mot «sensibilité». Éprouver de la compassion
envers des êtres, quels qu’ils soient, d’espèce humaine ou animale, qui ressentent la douleur n’est pas pour moi méprisable, bien au
contraire. Ceux qui osent le contester sont, soit à blâmer, soit à plaindre.
Antidote Europe a été créée par des chercheurs issus du CNRS (Centre national de la recherche scientifique) afin de promouvoir une
recherche médicale allant dans le sens d’une meilleure prévention en matière de santé humaine. Elle propose le recours à la
toxicogénomique, qui permet de tester les nouvelles molécules sur des cellules humaines cultivées en laboratoire, pour que cessent
les essais sur des animaux, cruels, inutiles et dangereux pour l’homme.
J’ai ici repris une partie d’un entretien avec Claude Reiss, président d’Antidote Europe, ex-directeur de recherche au CNRS et
biologiste moléculaire, clairement opposé à l’expérimentation animale, publié dans «Les Puces» n° 739 du 16 août 2006. Il m’a semblé
intéressant et important qu’il soit ici archivé afin d’être facilement et opportunément consulté. Un grand merci à Honoré pour ses
magnifiques et terribles dessins.
Non à la vivisection, cruelle pour les animaux, dangereuse pour les hommes. Oui à l’abolition !

Luce Lapin
23 mai 2009
Les électrodes dans le cul des lapins,
c’est dangereux pour les humains

Charlie Hebdo : Antidote Europe n’est pas une association de défense animale. Pourquoi, dès lors, désapprouvez-vous les
expérimentations sur les animaux ?
Claude Reiss : L’objectif de notre association est de mettre en œuvre les progrès scientifiques et techniques au profit de la santé
humaine.
Nous dénonçons le recours aux expérimentations sur des animaux pris comme modèles biologiques de l’Homme, car ces pratiques sont
illogiques et dangereuses : aucune espèce n’est un modèle biologique fiable pour une autre. En effet, une espèce est définie par son
isolement reproductif. Nous savons depuis plus de cent ans que cela est dû au fait que le patrimoine génétique d’une espèce (ses
chromosomes et les gènes qu’ils contiennent) est unique. L’activité biologique (la vie) d’un individu est déterminée par son
patrimoine génétique. Par conséquent, les activités biologiques (réponses à un test donné par exemple) de deux individus d’espèces
différentes peuvent être aussi bien semblables, différentes ou opposées. Pour le savoir, il faut faire le test sur les deux espèces.
Bien que tous les médicaments soient testés pendant plusieurs années sur des dizaines de milliers (200000 en moyenne) d’animaux,
leurs effets secondaires sont, selon une déclaration de Bernard Kouchner en 1997, la quatrième cause de mortalité en France.

Votre association prône la toxicogénomique, lancée au début des années 90. En quoi consiste cette méthode alternative ?
Elle est issue du séquençage du génome humain, de la culture de cellules et de la technologie des puces à ADN (ainsi appelée parce
que la technologie de production s’apparente à celle des puces électroniques). Brièvement, des cellules humaines en culture sont
exposées au produit chimique à tester, à des concentrations et pour des durées déterminées. Elle permet en quelque sorte de prendre
place dans la salle de contrôle de la cellule (son noyau) et d’y observer et de mesurer les gènes qu’elle mobilise ou démobilise
quand elle est exposée à la substance chimique, par référence à la cellule non exposée. Si la substance est agressive, provoque des
dommages, force la cellule à s’engager dans des voies pouvant déboucher sur des pathologies, cette cellule va riposter en essayant
de se mettre en sécurité (réponse au «stress»).
Y a-t-il d’autres avantages à la toxicogénomique ?
La toxicogénomique permet une évaluation rigoureuse du risque cellulaire dû à la substance. Une de ses caractéristiques
particulièrement intéressante est de révéler le mécanisme de cette toxicité, une information critique pour prédire avec sécurité
l’action de la substance à court, moyen ou long terme. La toxicogénomique est aujourd’hui opérationnelle, comme le montre une étude
de vingt-huit substances effectuée sur des cellules humaines en culture par un consortium européen de scientifiques, d’industriels
et d’ONG. Les tests sont rapides (moins d’une semaine par substance), de cent à mille fois moins chers que les tests sur animaux.
site antidote

Propos recueillis par Luce Lapin
16 août 2006
site charlie
SVP,me sucrez pas: dejà que je perds un temps fou à redire pour Jean ce qu'on a dit ailleurs!

jo | 02 octobre 2009 à 03h53 Signaler un contenu inapproprié
Re:besoin de toxicologues ? qu'est-ce qu'on atte..

Faut dire alors besoin de toxicologues compétents, qui donc ne jettent pas de la poudre aux yeux par la torture des animaux. On fait du vrai bon boulot pour mesurer la toxicité sur les hommes en travaillant sur cellules humaines pas sur des rats!!!
"On n'étudie pas les perroquets sur les chevaux"André Mery

jo | 02 octobre 2009 à 10h02 Signaler un contenu inapproprié
Re:Re:besoin de toxicologues ? qu'est-ce qu'on a..

Erratum: la citation "On n'étudie pas les perroquets sur les chevaux" est du dr André Ménache. Pardon.

jo | 02 octobre 2009 à 10h09 Signaler un contenu inapproprié
Re:Re:les vrais coupables

Ce que vous dites est ce que disent tous ceux qui veulent continuer à "martyriser" les animaux. Des produits ont en a déja assez testé, on sait comment les produits cosmétiques fonctionnent par exemple, en voulant toujours faire la course à la nouveauté on court à notre perte et à celle des animaux, dont les espèces disparaissent chaque jour (braconnage des grands singes par ex ça vous parle ?). Je ne vois pas pourquoi la race soit disant humaine se donne le droit de détruire des races animales, sous des prétextes plus ou moins valables.Yen a marre de cette mentalité sans gêne sur la planète : plus de vie sauvage, plus de terres saines, mers polluées, surpêche, disparitions d'espèces, pollution aérienne.... tout cela résulte de la même attitude, celle de l'Homme qui ne regarde pas plus loin que le bout de son nez et de ses intérpets (à court terme)

hibiscus | 02 décembre 2009 à 19h13 Signaler un contenu inapproprié
chimie toxique

au départ le petit chimiste adorait créer innover découvrir manipuler.. la pétrochimie , quelle manne !..à l'arrivée nous étouffons, nous nous empoisonnons, nous développons des maladies dites de civilisation
Alors effectivement certains ont joué à l'apprenti sorcier.Maintenant il semble que certaines limites puissent être mises sur les utilisations chimiques à tout va. il semble ...
le pétrole va bientôt disparaître ..pas ses dérivés prévus de nous polluer encore des décennies..
Et nous n'avons effectivement pas assez de toxicologues...un professeur responsable de l'enseignement de la toxicologie alertait sur les dangers des polluants contenus dans nos aliments.... croyez vous que cela affecte nos chers élus incompétents qui ont décidé de' répandre le contenu de nos poubelles grises, les non triées, non retraité , sur nos cultures!
bonjour les maladies dites de civilisation à venir
Je sais il y a la fameuse grippe qui occulte tout...mais où sont les avis des experts médicaux à ce sujet ? ont-t-ils même été consultés? le professeur Belpomme* poursuit ses mini conférences d'information..auprès des associations responsables
Il est temps de l'entendre !
* du film demain nos enfants nous accuseront

marthe | 03 décembre 2009 à 17h49 Signaler un contenu inapproprié

Réagissez ou posez une question à la journaliste Sophie Fabrégat

Les réactions aux articles sont réservées aux lecteurs :
- titulaires d'un abonnement (Abonnez-vous)
- inscrits à la newsletter (Inscrivez-vous)
1500 caractères maximum
Je veux retrouver mon mot de passe
Tous les champs sont obligatoires