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Actu-Environnement

Une COP au pays du charbon, est-ce crédible ?

C'est à Katowice, capitale minière de la Pologne, que doit se négocier la concrétisation de l'Accord de Paris. Dans quel contexte local s'organise cette conférence dite de la dernière chance ? La diplomatie polonaise est-elle à la hauteur ? On en débat !

Entretien  |  Gouvernance  |    |  M. Sader

"Pas de Paris sans Katowice", voilà le crédo du gouvernement polonais pour justifier son ambition de faire aboutir l'Accord de Paris dont la concrétisation dépend de la réussite du 24ème sommet pour le climat qui s'est ouvert lundi 3 décembre en Pologne.

L'optimisme polonais a redoublé depuis que Michal Kurtyka a été désigné président de la conférence. Secrétaire d'État au ministère de l'Énergie, ce diplômé de Polytechnique Paris se distingue du reste de la classe politique polonaise en se prononçant en faveur de la diversification du mix énergétique de son pays où 85 % de l'électricité est alimentée par les mines de charbon, l'industrie la plus nocive pour le climat et la qualité de l'air.

Cette nomination est-elle suffisante ? Dans ce contexte, comment imaginer que le pays hôte de la COP 24 va pousser les États signataires de l'Accord de Paris à revoir leurs ambitions de réduire les rejets de gaz à effet de serre à la hausse, condition sine qua non pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5°C ?  En Pologne, la mine est une fierté nationale et l'industrie emploie encore 80.000 personnes. Le pays vient d'ailleurs de présenter sa stratégie énergétique dont la priorité reste la sécurité et non les enjeux environnementaux.

Un contraste notable par rapport aux îles Fidji, président de la COP 23, affectées et fragilisées au plus au point par le réchauffement climatique du fait de leur insularité. La présidence fidjienne a d'ailleurs chargé la Pologne de poursuivre le Dialogue de Talanoa conçu à Bonn l'an dernier pour pousser les États à améliorer leurs contributions afin d'atteindre les objectifs de l'Accord de Paris. Mais la Pologne sera-t-elle à la hauteur de cette responsabilité ?

Marie Jo Sader, a posé la question à Marta Wojtkiewicz chargée du développement de Teraz-Srodowisko (1) , la rédaction polonaise d'Actu-Environnement à Varsovie.

Dans cette émission vous retrouverez également la correspondance à Katowice de Marta Wierzobowska-Kujda, rédactrice en chef de Teraz-Srodowisko et l'intervention de François Gemenne, chercheur en géopolitique de l'environnement.

1. Consulter la version polonaise d'Actu-Environnement
https://www.teraz-srodowisko.pl/

Réactions23 réactions à cet article

Katowice pole de la COP 24 cela interpelle. Si cela avait été à Düsseldorf, à Melbourne ou Pittsburgh cela aurait peut-être moins choqué, mais le fond y est le même. Les producteurs de charbon veulent continuer à exploiter leur richesse. Le reste est secondaire.
Dans ce chaos, la France est très bon élève (quoique de moins en moins) et l'on peut se poser la question de faire encore des efforts qui ne porteraient pour efficacité que des millièmes. Je n'ai pas la réponse, mais l’arrêt de deux centrales polonaises vaut tous les espoirs de réduction de CO2 en France en augmentant les taxes. (Ceci n'étant pas une justification de l'action aveugle des "gilets jaunes")

VD69 | 05 décembre 2018 à 13h05 Signaler un contenu inapproprié

Bonjour.
Si on pouvait arrêter avec la statistique morbide des X milliers de morts de la pollution. Il s'agit en fait de morts prématurées et pas d'un massacre confinant au génocide: chaque année 400 000 Européens meurent prématurément à cause de la pollution atmosphérique. Il s'agit en fait de perte d’espérance de vie (pouvant dépasser 2 ans dans les villes les plus exposées). Certes, ce n'est pas une bonne performance (ne me faites pas dire ce que je ne dis pas).
La prise au sérieux de l'environnement ne doit pas se faire par un catastrophisme qui n'est pas crédible.
ActuE, s'il vous plaît, informez, arrêtez de lancer des alertes car nous sommes alertés. Foutre la panique n'arrange rien car on finit par faire n'importe quoi.

Albatros | 05 décembre 2018 à 17h54 Signaler un contenu inapproprié

Une fois n'est pas coutume, je rejoins mon cher Albatros.

Sur le fond, ce n'est pas gagné...les stations de ski de mon département seraient bien avisées de se reconvertir.

Nicolas | 10 décembre 2018 à 12h09 Signaler un contenu inapproprié

Il n’y a aucune urgence de l’action, aucun péril climatique. Les événements météorologiques extrêmes existent depuis la nuit des temps, l'indice ACE, qui mesure l'énergie cumulée des ouragans/cyclones/typhons est revenu à un niveau plus bas, celui des années 75, le petit réchauffement de +0,7°C en 130 ans a quasiment cessé depuis le début des années 2000, malgré une inflation de nos émissions de gaz satanique, et enfin, les projections des modèles numériques divergent de plus en plus des observations, ce qui prouve qu'ils n'ont aucune crédibilité. L’accord de Paris est surréaliste : en effet,
la somme des engagements d’émissions montre qu’elles seraient à la hausse, et, comme il était politiquement impensable de le révéler aux citoyens, il a été décidé, bien sûr en supposant que les thèses du GIEC soient exactes, de s’engager à limiter le réchauffement à 1,5°C, au pire à 2°C, alors qu’un tel objectif était déconnecté de la réalité. Et les participants à cette mascarade de COP24 le savent fort bien, mais ils s’arrangeront pour s’auto-congratuler pour le grand succès de cette COP, comme cela s’est passé pour les 23 COP précédentes.

jipebe29 | 10 décembre 2018 à 19h15 Signaler un contenu inapproprié

Il faut savoir raison garder en ce qui concerne les îles du Pacifique. La montée moyenne des niveaux océaniques est, selon les mesures des marégraphes depuis le début des années 1800, de 1 à 1,5 mm/an, sans accélération. Voir le site du climatologue Ole Humlum, climate4you, onglet oceans, sea level in general et sea level from tide gauges.

jipebe29 | 10 décembre 2018 à 19h22 Signaler un contenu inapproprié

) Le taux actuel de CO2 atmosphérique est faible : 405 ppm. Sa moyenne sur les 600 derniers millions d’années a été de 2000 ppm, avec un pic à 8000 ppm au Cambrien. Si l’on faisait tourner les modèles numériques avec ce taux moyen, ils en sortiraient un réchauffement cataclysmique et irréversible. Or, cela ne s’est pas produit. Donc la crédibilité des modèles est nulle, tout comme les thèses hypothétiques du GIEC qui en sont le socle. On nous raconte vraiment n’importe quoi...

jipebe29 | 10 décembre 2018 à 19h28 Signaler un contenu inapproprié

) Il n’y a aucune urgence de l’action, aucun péril climatique. Les événements météorologiques extrêmes existent depuis la nuit des temps, l'indice ACE, qui mesure l'énergie cumulée des ouragans/cyclones/typhons est revenu à un niveau plus bas, celui des années 75, le petit réchauffement de +0,7°C en 130 ans a quasiment cessé depuis le début des années 2000, malgré une inflation de nos émissions de gaz satanique, et enfin, les projections des modèles numériques divergent de plus en plus des observations, ce qui prouve qu'ils n'ont aucune crédibilité. L’accord de Paris est surréaliste : en effet, la somme des engagements d’émissions montre qu’elles seraient à la hausse, et, comme il était politiquement impensable de le révéler aux citoyens, il a été décidé, bien sûr en supposant que les thèses du GIEC soient exactes, de s’engager à limiter le réchauffement à 1,5°C, au pire à 2°C, alors qu’un tel objectif était déconnecté de la réalité. Et les participants à cette mascarade de COP24 le savent fort bien, mais ils s’arrangeront pour s’auto-congratuler pour le grand succès de cette COP, comme cela s’est passé pour les 23 COP précédentes.

jipebe29 | 11 décembre 2018 à 09h43 Signaler un contenu inapproprié

Il faut savoir raison garder en ce qui concerne les îles du Pacifique. La montée moyenne des niveaux océaniques est, selon les mesures des marégraphes depuis le début des années 1800, de 1 à 1,5 mm/an, sans accélération. Voir le site du climatologue Ole Humlum, climate4you, onglet oceans, sea level in general et sea level from tide gauges.

jipebe29 | 11 décembre 2018 à 09h44 Signaler un contenu inapproprié

Le taux actuel de CO2 atmosphérique est faible : 405 ppm. Sa moyenne sur les 600 derniers millions d’années a été de 2000 ppm, avec un pic à 8000 ppm au Cambrien. Si l’on faisait tourner les modèles numériques avec ce taux moyen, ils en sortiraient un réchauffement cataclysmique et irréversible. Or, cela ne s’est pas produit. Donc la crédibilité des modèles est nulle, tout comme les thèses hypothétiques du GIEC qui en sont le socle. CQFD

jipebe29 | 11 décembre 2018 à 09h45 Signaler un contenu inapproprié

La France envoie 187 personnes à Katowice, tous frais payés (parmi lesquels les inénarrables curés de l'IDDRI, de l'I4CE et de la Caisse des Dépôts) C’est beau, un État qui a les moyens…
Et ils vont nous dire de ne pas prendre l'avion et de bien fermer le robinet quand on se lave les dents.
Un décryptage s'il vous plaît: on se moque de qui ?

Albatros | 11 décembre 2018 à 11h39 Signaler un contenu inapproprié

@jipebe29 : je ne vois pas l'intérêt d'évoquer le Cambrien...nous savons tous que le réchauffement, ou le déréglement, ne fera pas disparaître la vie. Mais cela la transformera.

«le petit réchauffement de +0,7°C en 130 ans a quasiment cessé depuis le début des années 2000» : une courbe ?

Car si l'on regarde ici : http://www.meteofrance.fr/climat-passe-et-futur/le-rechauffement-observe-a-l-echelle-du-globe-et-en-france

Pas vraiment ce que vous évoquez.

Nicolas | 11 décembre 2018 à 16h54 Signaler un contenu inapproprié

@ Nicolas. La courbe des températures du GIEC 2007 est un plat de spaghettis qui ne veut rien dire. Il a quasiment supprimé l’Optimum Médiéval, plus chaud que de nos jours, et le Petit Age Glaciaire. Par ailleurs, les évolutions de températures en France ne sont pas représentatives du niveau global. Elles sont fonctions de échanges dynamiques d’air et d’énergie. Le GIEC se base sur le Hadcrut, qui ne fait que des mesures au sol, avec des problèmes de précision des mesures, d’harmonisation, de taux de couverture spatial (les océans, 2/3 de la surface terrestre, sont sous-représentés). La source la plus fiable, c’est l’Université de Huntsville, Alabama, (UAH), qui ne fait que des mesures satellitaires. Voici la courbe depuis 2002, qui montre quasiment un plateau de température, malgré un El Nino 2016-2017 particulièrement intense : http://www.woodfortrees.org/plot/uah6/from:2002
Si l’on prend en compte la droite de tendance, elle monte de +0,2°C en 17 ans, ce qui fait 0,11°C/décennie :
http://www.woodfortrees.org/plot/uah6/from:2002/trend
IL est évident que toute année de ce plateau (le « hiatus » du GIEC) est plus « chaude » que celles des années antérieures. La manière dont MF escamote le plateau n’est pas acceptable.

jipebe29 | 11 décembre 2018 à 19h29 Signaler un contenu inapproprié

@ Nicolas
Le Cambrien montre qu'un fort taux de CO2 ne génère aucun réchauffement cataclysmique. Idem pour les derniers 600 millions d'années.

jipebe29 | 11 décembre 2018 à 19h37 Signaler un contenu inapproprié

Si ce site devient le repaire des désinformateurs, merci , je préfère ne plus y participer

@jipebe 29: qui vous paye pour raconter de telles inepties ? Après tout, mais oui, continuons comme si de rien n'était, la population mondiale va y passer !

gaia94 | 13 décembre 2018 à 17h11 Signaler un contenu inapproprié

@ Nicolas. La courbe des températures du GIEC 2007 est un plat de spaghettis qui ne veut rien dire. Il a quasiment supprimé l’Optimum Médiéval, plus chaud que de nos jours, et le Petit Age Glaciaire. Par ailleurs, les évolutions de températures en France ne sont pas représentatives du niveau global. Elles sont fonctions de échanges dynamiques d’air et d’énergie. Le GIEC se base sur le Hadcrut, qui ne fait que des mesures au sol, avec des problèmes de précision des mesures, d’harmonisation, de taux de couverture spatial (les océans, 2/3 de la surface terrestre, sont sous-représentés). La source la plus fiable, c’est l’Université de Huntsville, Alabama, (UAH), qui ne fait que des mesures satellitaires. Voici la courbe depuis 2002, qui montre quasiment un plateau de température, malgré un El Nino 2016-2017 particulièrement intense : http://www.woodfortrees.org/plot/uah6/from:2002
Si l’on prend en compte la droite de tendance, elle monte de +0,2°C en 17 ans, ce qui fait 0,11°C/décennie.
Il est évident que toute année de ce plateau (le « hiatus » du GIEC) est plus « chaude » que celles des années antérieures. La manière dont MF escamote le plateau n’est pas acceptable.

jipebe29 | 15 décembre 2018 à 09h06 Signaler un contenu inapproprié

@ Nicolas.
La courbe des températures du GIEC 2007 est un plat de spaghettis qui ne veut rien dire. Il a quasiment supprimé l’Optimum Médiéval, plus chaud que de nos jours, et le Petit Age Glaciaire. Par ailleurs, les évolutions de températures en France ne sont pas représentatives du niveau global. Elles sont fonctions de échanges dynamiques d’air et d’énergie. Le GIEC se base sur le Hadcrut, qui ne fait que des mesures au sol, avec des problèmes de précision des mesures, d’harmonisation, de taux de couverture spatial (les océans, 2/3 de la surface terrestre, sont sous-représentés). La source la plus fiable, c’est l’Université de Huntsville, Alabama, (UAH), qui ne fait que des mesures satellitaires. Voici la courbe depuis 2002, qui montre quasiment un plateau de température, malgré un El Nino 2016-2017 particulièrement intense : http://www.woodfortrees.org/plot/uah6/from:2002
Si l’on prend en compte la droite de tendance, elle monte de +0,2°C en 17 ans, ce qui fait 0,11°C/décennie. Il est évident que toute année de ce plateau (le « hiatus » du GIEC) est plus « chaude » que celles des années antérieures. La manière dont MF escamote le plateau n’est pas acceptable.

jipebe29 | 20 décembre 2018 à 10h18 Signaler un contenu inapproprié

@gaia94
1) Personne ne me paye (dommage pour mon compte en banque)
2) Le fait de ne pas accepter des avis contradictoires, même argumentés et documentés, de refuser le dialogue constructif, montre que vous êtes dans l'idéologie et non dans la raison. Peut-être avez-vous subi un conditionnement vert ?...
3) Si vous voulez mettre de côté vos croyance irrationnelles, alors commentez mes propos, mais en restant dans le domaine scientifique, avec des arguments intelligents et documentés.
OK ?

jipebe29 | 08 janvier 2019 à 10h24 Signaler un contenu inapproprié

gaia94, qui vous paye pour raconter vos bêtises ?

Albatros | 08 janvier 2019 à 15h16 Signaler un contenu inapproprié

Cher Albatros, je note qu'en ce début d'année vous manquez (c'est une litote) d'arguments: "C'est un peu court, jeune homme! On pouvait dire... Oh! Dieu! Bien des choses en somme!... en variant le ton"... là, vous pouvez développer votre argumentaire comme l'a judicieusement fait jipebe29 dans une tentative tout à fait malheureuse qui ne convainc personne..."voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit, si vous aviez d'esprit..." je vous passe la suite qui est particulièrement désobligeante.

gaia94 | 08 janvier 2019 à 16h58 Signaler un contenu inapproprié

Et "repaire des désinformateurs" c'est pas court ?
Il y aurait aussi "vipères lubriques" pour dézinguer les contradicteurs.
En attendant des mesures plus coercitives préconisées par certain scientifique égaré dans une discipline qui n'est pas la sienne...
Excellente année tout de même, santé et énergie, et un tout petit peu moins d'affirmations péremptoires et un tout petit peu plus d'esprit d'ouverture.

Albatros | 08 janvier 2019 à 18h14 Signaler un contenu inapproprié

Chère Gaia, c'est un peu facile d'affirmer que mes propos sensés et documentés sur les observations ne convainquent personne. Mais j'attends de votre part des arguments cohérents, avec des sources crédibles, car ce que vous dites est d'une rare pauvreté sémantique. Mais peut-être n'avez-vous aucune compétence scientifique et que vous vous réfugiez dans l’esquive et la fuite.... Si vous voulez être crédible, dites-moi ce qui, dans mes propos et dans mes sources, est erroné. Car, pour le moment, je peux vous renvoyer ce que vous dites à Albatros, qui en a sans doute assez de vos commentaires méprisants et affligeants : « je note qu'en ce début d'année vous manquez (c'est une litote) d'arguments ».

jipebe29 | 08 janvier 2019 à 19h38 Signaler un contenu inapproprié

Chère Gaia, c'est un peu facile d'affirmer que mes propos sensés et documentés sur les observations ne convainquent personne. Mais j'attends de votre part des arguments cohérents, avec des sources crédibles, car ce que vous dites est d'une rare pauvreté sémantique. Mais peut-être n'avez-vous aucune compétence scientifique et que vous vous réfugiez dans l’esquive et la fuite.... Si vous voulez être crédible, dites-moi ce qui, dans mes propos et dans mes sources, est erroné. Car, pour le moment, je peux vous renvoyer ce que vous dites à Albatros, qui en a sans doute assez de vos commentaires méprisants et affligeants : « je note qu'en ce début d'année vous manquez (c'est une litote) d'arguments ».

jipebe29 | 09 janvier 2019 à 09h43 Signaler un contenu inapproprié

Moi j'ai mes propres repères, le changement climatique je connais, Dans les années 50 le vin en Vendée était comme dit la chanson une abominable piquette, il est devenu nectar,le nombre d'arbres tropicaux à st Hilaire de Riez est stupéfiant, La fameuse limite nord de la culture de la vigne est la Loire, le meilleur blanc liquoreux que j'aie bu ces dernières années, c'est un Jasnières, 70 km au nord de la loire, des vignes s'installent à la flèche, dans le Morbihan. Bientôt un côte de Malestroit sera banal.
Quid des Bordeaux? c'est la recherche des côteaux au nord idem en Anjou sud loire.
Alors changement climatique? C'est avoir des yeux pour ne point voir.

pemmore | 24 août 2020 à 12h04 Signaler un contenu inapproprié

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