79 % des professionnels pensent en effet que leur activité souffrira en cas d'échec du sommet de Copenhague. 60 % des personnes interrogées soutiennent que la lutte contre le réchauffement de la planète reste prioritaire face à la crise économique mondiale et 85 % pensent qu'un échec des négociations de Copenhague aura des conséquences importantes sur notre capacité à agir en faveur du changement climatique.
96 % des personnes sondées affirment que la gestion de la réduction des émissions de carbone a engendré des opportunités commerciales au niveau national et 92 % d'entre elles perçoivent des opportunités de développement commercial résultant de la gestion des émissions de carbone au sein de leur propre organisation
Selon Norton Rose, ''des enjeux commerciaux élevés dépendent du succès des négociations de Copenhague. (…) Presque tous les sondés identifient des possibilités au niveau national et au niveau de leur propre activité''.
Article publié le 03 décembre 2009