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Actu-Environnement

Pesticides néonicotinoïdes : une dérogation et des indemnisations pour la filière de la betterave à sucre

Le ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie, a réuni les acteurs de la filière betterave-sucre vendredi 5 février. Il s'agissait de faire le point sur les engagements du Gouvernement et de la filière, six mois après le lancement d'un plan d'actions, en parallèle de la dérogation pour l'utilisation de pesticides néonicotinoïdes. L'objectif est de trouver des alternatives à ces produits et de limiter/compenser les pertes liées aux ravageurs.

Un dispositif d'indemnisation sera mis en œuvre à compter du mois de mars, dans le cadre du régime d'aide « de minimis », pour les agriculteurs ayant subi des pertes importantes lors de la campagne 2020.

Par ailleurs, l'arrêté autorisant, pour une durée de 120 jours à compter du 7 février 2021, l'emploi de semences de betteraves sucrières traitées aux néonicotinoïdes (imidaclopride ou thiamethoxam) a été publié le 6 février. Sur recommandation de l'agence de sécurité sanitaire (Anses), il précise les cultures qui pourront être semées, plantées ou replantées en 2022, 2023 ou 2024 sur les parcelles où de la betterave sucrière traitée aura été cultivée en 2021. Il détaille également les mesures d'atténuation à prendre pour les cultures de maïs et de colza.

 

Réactions1 réaction à cet article

Comme c'est beau, ces grandes messes entre-soi aux frais du contribuable et, accessoirement, de la santé publique et de l'environnement. Qui plus est, avec cette saveur inimitable d'une loi biodiversité cuvée 2016 foulée aux pieds même plus crottés de boue du terroir par les lobbyistes de l'agro-industrie tant ils préfèrent labourer les salons feutrés des cabinets ministériels plutôt que les champs.

Pégase | 08 février 2021 à 21h40 Signaler un contenu inapproprié

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