Le pilotage de la consommation, les ventes sur le marché de l'électricité,... les technologies numériques se sont taillées une place dans l'accompagnement du développement du solaire. Ainsi la blockchain permet de stocker et de transmettre des informations d'une façon transparente, sécurisée et décentralisée. Les technologies numériques peuvent également aider à améliorer la maintenance des installations grâce à une anticipation des pannes et mieux gérer le suivi.
Demain, une étape supplémentaire pourrait être franchie. "La compétitivité du solaire devient de plus en plus évidente, souligne Pascal Richard, président du syndicat professionnel AuRA (Auvergne Rhône-Alpes) Digital Solaire. Nous aurons bientôt une plateforme digital - cela existe déjà dans d'autres pays – qui permettra de stocker le surplus d'électricité dans une batterie, de se brancher sur une voiture ou de savoir s'il n'est pas plus judicieux de vendre en direct".