« Les entreprises doivent fournir plus de données sur les substances sous forme nanométrique », s'alarme l'Agence européenne des produits chimiques (Echa). Plus d'un an après l'adoption de la révision du règlement Reach, qui exigeait des industriels qu'ils déclarent les nanomatériaux qu'ils utilisent auprès de l'agence, l'Echa n'a pu enregistrer que 36 substances. Un résultat pour le moins décevant : selon ses estimations, l'Agence aurait dû en enregistrer environ 300.
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Article publié le 25 février 2020