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Actu-Environnement

Parc éolien offshore de Saint-Brieuc : Saint-Quay-Portrieux pourrait accueillir les activités de maintenance

Energie  |    |  S. Fabrégat

Pour accueillir les activités d'opération et de maintenance de son futur parc éolien offshore, la société Ailes marines, lauréate de l'appel d'offres pour le développement, la construction et l'exploitation du parc de la Baie de Saint-Brieuc (100 éoliennes de 5 MW), soutient la candidature du port de Saint-Quay-Portrieux.

"Deux principaux groupes de critères ont été déterminants pour le choix de la recommandation finale du port de Saint-Quay-Portrieux : les critères maritimes (la profondeur d'eau, la manœuvrabilité dans le port, les conditions de mer sur le trajet) et les critères règlementaires (la compatibilité règlementaire, la compatibilité environnementale)", indique la société dans un communiqué de presse publié le 4 septembre. Il revient désormais au conseil général des Côtes d'Armor, propriétaire des 17 ports du département, de trancher. Cette décision devrait être prise le 26 septembre prochain.

Une activité créatrice d'emplois

"Le port de maintenance est le centre de pilotage des opérations d'exploitation, de maintenance, de surveillance et de gestion des flux logistiques du futur parc", rappelle Ailes Marines, précisant que les éoliennes doivent être, pendant la phase d'exploitation du parc (2018-2040), "en permanence surveillées et contrôlées à distance par le fournisseur Areva, 24 heures/24 et 7 jours/7".

Elle estime que "les opérations de suivi de production et de maintenance permettront la création de 140 emplois directs pérennes dans les Côtes d'Armor : 100 techniciens chargés des opérations de maintenance ; 20 marins chargés de transporter le personnel de maintenance et le matériel, 20 superviseurs chargés du suivi de production".

Ailes marines indique également qu'elle prévoit de confier la construction des trois navires de maintenance à des chantiers navals français.

Réactions5 réactions à cet article

Chers amis politiques méfiez vous de toutes ces belles promesses sur les créations d'emploi faites par Iberdrola.
N'oubliez qu’il y a quelques mois, Iberdrola a vendu ses parcs éoliens terrestres en France pour se recentrer sur cinq pays principaux (Espagne, UK, USA, Brésil et Mexique).
Avec à la clé, une vingtaine de salarié français mis dans une situation délicate, mais ça Iberdrola s'en moque et continu sa communication sur le projet de St Brieuc en faisant miroiter aux élus et à la population locale la création d'emploi directs et indirects nombreux…

Lyon | 04 septembre 2013 à 22h22 Signaler un contenu inapproprié

On peut comprendre Iberdrola, quand on voit la difficulté d'implanter une éolienne en France, pas facile dans ce cas de créer des emplois, On préfère subventionner des industries (automobiles par exe) qui sont a saturation, plutôt que d'investir dans des filières d'avenir pourvoyeuses d'emplois.

lio | 05 septembre 2013 à 10h53 Signaler un contenu inapproprié

Spéculateur opportuniste, Iberdrola bénéficie de l'alliance incongrue entre les industriels et les élus locaux pour faire payer le consommateur contribuable. Ses actionnaires se voient ainsi garantir, durant vingt ans, une rente et des profits assurés. Ce truquage du marché est réservé à ce qui devient une sorte d'obligation morale, quasi-religieuse !
A Saint-Brieuc, le saccage de 200 km d'un littoral protégé fournira, à terme, 0,24% de la production nationale. Il faudrait 500 usines équivalentes pour "sortir du nucléaire". La première destination touristique mondiale aura ainsi réussi à se transformer en "grand ventilateur". Fonds de pension étrangers et diverses mafias ont un eldorado devant eux !

lancieux | 05 septembre 2013 à 11h24 Signaler un contenu inapproprié

et quand on voit le prix que çà coûte et le nombres d'années qu'il faut à rentabiliser cette utopique et très faible création d'énergie, sans compter le nombre inconsidéré de jours où elles ne vont pas tourner en nous faisant croire qu'elle ne tournent pas car il faut faire l'entretien et quand elles tournent trop vite il faut les stopper car il y a un risque de les détériorer où un danger pour ceux qui sont autour.
Tout çà me fait bien rire et les emplois promis ne seront peut-être voir pas pour la main d'œuvre locale. un succès total

FAUREl | 05 septembre 2013 à 14h53 Signaler un contenu inapproprié

quel massacre !!! ..toutes les simulations sont fausses, à saint brieuc comme ailleurs ...la réalité sera de taille !!! Je trouve ça trés moche qu'on touche aux paysages sur mer , un joyau pourtant immuables . c'est une bêtise qui sera trés coûteuse à plusieurs titres ..le premier étant écologique et le second l'emploi car ce projet en détruira plus qu'il n'en créera ....sauf sur le court terme avec quelques friteries ambulantes pour le spectacle curiosité .
remarquez qu'ils n'ont pas voulu de nucléaire les Bretons ....alors !
j'aurais cependant préféré un projet éoliennes flottantes moins hautes et plus au large ...ou des hydroliennes bien au larges aussi ....là on pourrait parler positif en matière de création d'emplois et d'environnement .

carl | 16 septembre 2013 à 12h30 Signaler un contenu inapproprié

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