Greenpeace demande au gouvernement de ne pas signer
dans la précipitation électorale le décret d'autorisation de la construction de l'EPR, actuellement sur les bureaux des ministres de l'Economie, de l'Industrie et de l'Ecologie pour que, selon l'association
un débat démocratique s'engage en France sur l'énergie. A l'occasion de l'élection présidentielle, l'avenir climatique et énergétique de la France mérite mieux que le débat tronqué qui nous a été servi sur l'EPR. La plupart des candidats à l'élection présidentielle l'ont bien compris et s'engagent soit à organiser un nouveau débat sur la pertinence de l'EPR (François Bayrou et Ségolène Royal) soit à abandonner purement et simplement le projet (Olivier Besancenot, José Bové, Philippe de Villiers, Dominique Voynet), indique l'association écologiste dans un communiqué.
Article publié le 27 mars 2007