200 millions d'euros ! C'est ce que les industriels français de la chimie (Arkema, Air liquide, Atochem, Altuglas international...) devront débourser pour s'acquitter des études exigées dans le sillage de la catastrophe de Fukushima, salaires et coût des prestations inclus.
Les réglementations parasismiques applicables aux 400 sites Seveso français ont été renforcées et les rapports devront être rendus à la fin de l'année 2015. Les seules études représentent une enveloppe d'au moins 60 millions € et chaque site concerné devra payer en moyenne 0,5 million €.