"Nous comptons entamer la phase-pilote de l'exploitation des ressources non conventionnelles en 2019, avec la perspective de mettre ce potentiel en production à partir de 2022", a déclaré le PDG de la société publique d'hydrocarbures Sonatrach, Saïd Sahnoun lors d'une rencontre internationale sur le pétrole et le gaz à Alger, selon l'AFP.
Selon le quotidien El Watan (1) , l'Algérie a besoin de mener un programme de forage de 11 puits, étalés sur une période allant de 7 à 13 ans pour confirmer le potentiel commercial de ces ressources.
L'Agence de l'information sur l'énergie (EIA) américaine estimait dans un rapport (2) en 2013 que l'Algérie pourrait récupérer 5,7 milliards de barils (contre 27 en Argentine, 32,2 en Chine ou 74,6 en Russie).
Par ailleurs, un cadre législatif pour limiter les risques (3) à l'échelle européenne devrait être présenté par la Commission d'ici la fin de l'année.