Baptisé iCEINT (international Consortium for the Environmental Implications of Nanotechnology), il vient renforcer des collaborations déjà actives depuis 2001 et implique, côté français, 9 laboratoires (CNRS, CEA, Universités d'Aix-Marseille I et III, Universités Joseph Fourier de Grenoble, Paul Verlaine de Metz, Paul Sabatier de Toulouse, Université Pierre et Marie Curie (UPMC), Université de Strasbourg) et 8 universités américaines. L'objectif vise à prévenir d'éventuels effets nocifs et à guider ainsi le développement des nanotechnologies, indique les protagonistes dans un communiqué commun.
Différentes problématiques seront abordées et notamment les réponses des cellules et organismes et l'évolution des écosystèmes après contact avec des nanoparticules ou la normalisation des méthodes de tests de toxicité. Le vieillissement, la dégradation de diverses matrices, le relargage de nanomatériaux et les modèles prédictifs de transferts dans l'environnement seront également étudiés.
Article publié le 24 février 2009