Alors que la consultation publique sur les prescriptions de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) concernant les conditions de fonctionnement des réacteurs nucléaires de 900 mégawatts (MW) au-delà de 40 ans vient d'être prolongée jusqu'au 22 janvier, Greenpeace exprime ses doutes sur le niveau de sûreté atteint à l'issue du processus.
Dans l'esprit, la prolongation de leur durée de fonctionnement doit permettre de rehausser leur sûreté au niveau de celle des réacteurs les plus récents, les EPR....
Article publié le 14 janvier 2021