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Actu-Environnement

Pesticides : un nouveau cycle de contrôle des denrées alimentaires est lancé

Biodiversité  |    |  P. Bouchez

Par un règlement du 22 avril 2014, la Commission européenne a modifié le règlement du 23 février 2005 fixant les limites maximales applicables aux résidus (LMR) de substances actives de pesticides comme le benthiavalicarb, le cyazofamide, le cyhalofop-butyl, le forchlorfénuron, le pymétrozine et le silthiofam présents dans certaines denrées alimentaires et aliments pour animaux d'origine végétale et animale.

Le Commission a également entendu instaurer une phase de contrôle durant trois ans, dont les modalités sont prévues dans un autre règlement du 22 avril 2014. Sont donc prévues les modalités et la fréquence de ces contrôles "afin de pouvoir évaluer l'exposition du consommateur et l'application de la législation de l'Union européenne".

Une mise en application de l'avis de l'autorité de sécurité des aliments

Pour élaborer le règlement fixant les LMR, la Commission européenne s'est basée sur les recommandations exprimées par l'autorité européenne de sécurité des aliments, mais a également consulté les laboratoires de référence de l'Union européenne, ainsi que les Etats-membres "par le truchement de Organisation mondiale du commerce".

Concernant les résidus de benthiavalicarb, la Commission a entendu "modifier la définition des résidus et recommandé l'abaissement de la LMR concernant les pommes de terre", mais a par contre observé, au sujet des concombres, "que certaines informations n'étaient pas disponibles et qu'un examen plus approfondi par des gestionnaires de risques s'imposait".

Cette demande d'examen complémentaire vise également la LMR du cyazofamide dans les pommes de terre, les tomates et les cucurbitacées, ainsi que celle du cyhalofop-butyl dans le riz. En ce qui concerne le silthiofam, l'Autorité a demandé des informations concernant les grains d'orge, de seigle et de froment.

A chaque demande d'informations complémentaires, le règlement précise qu'"étant donné que les consommateurs ne courent aucun risque", les LMR relatives à ces produits "seront réexaminées à la lumière des informations disponibles dans les deux ans suivant la publication du présent règlement".

Réactions4 réactions à cet article

L'utilisation des armes chimiques est interdite en temps de guerre mais autorisé en temps de paix dans l'agriculture!!Chercher l'erreur!

lio | 28 avril 2014 à 11h18 Signaler un contenu inapproprié

Bravo lio
de plus en plus fort dans le délire absolu des comparaisons idiotes.
Vous marquer toujours haut et fort l'interet que représente vos interventions avec des remarques aussi nul.

Pour vous chimie égale forcement poison.

Et ces produits chimiques par exemple:
Les médicaments ,le chlore(que l'on retrouve sous divers forme dans des armes chimiques) qui assainie l'eau et qui à permis une amélioration considérable de la sécurité sanitaire (eau potable) pour nos populations.

Pour rire:
si l'on prend un insecticide naturel a base de pyrèthre et sa version reconstruite en chimie de façon artificielle,Laquelle de ses deux versions représente le plus de risques (santé et environnement)d'après vous ?......


L'évolution de la chimie à permis l'évolution de notre qualité et espérance de vie et ni vos croyance, ni vos affirmation "ironico-débile" ne changeront rien à ce fait.

Allez vivre un peu en afrique en brousse, vous n'y passerez pas 6 mois sans que certains produits chimiques vous manquent considérablement (le chlore dans l'eau en premier lieu d'ailleur quand vous découvrirez le plaisir de la rencontre avec des amibes).

yannquirigole | 28 avril 2014 à 12h23 Signaler un contenu inapproprié

yannquirigole ou plutôt âne qui rigole, j'hésite en ce qui vous concerne entre malhonnêteté intellectuelle et bêtise, je pencherai pour la dernière.
Je ne suis pas sur qu'en brousse les dangers pour la santé soit plus importants que ceux rencontrés dans les champs et les vergers ou des agriculteurs déversent des quantités faramineuses de pesticides et autres cochonneries chimiques enfermés dans leurs tracteurs et équipés de masques à gaz .
L'agriculture intensive est sous perfusion de produits chimique et de subventions et le tout à nos frais
Alors "âne qui rigole" garder vos inepties pour vous et essayer d'évoluer un peu, ça nous changera

lio | 29 avril 2014 à 10h44 Signaler un contenu inapproprié

Bonjour,

considerer ce cycle de controle normal et naturel de continuer.

romulo | 07 mai 2014 à 11h47 Signaler un contenu inapproprié

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