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Actu-Environnement

Le rapport du Sénat sur les pesticides remis à Stéphane Le Foll

Agroécologie  |    |  F. Roussel

Rendu public fin octobre, le rapport de la mission sénatoriale sur l'impact sanitaire des pesticides (1) a été remis à Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, qui a salué sa "qualité".

Ce rapport constate notamment que les dangers et les risques des pesticides sont sous-évalués et que les protections ne sont pas à la hauteur. Par ailleurs, le suivi des produits après leur mise sur le marché n'est qu'imparfaitement assuré au regard de leurs impacts sanitaires réels. Le rapport conclut à un nécessaire renforcement du plan Ecophyto 2018 parmi 109 propositions.

Selon le ministère de l'agriculture certaines propositions en particulier sur la formulation des produits, leur conditionnement et les équipements de protections sont déjà en cours d'analyse par les services du ministère.

1. Consulter le rapport
http://www.senat.fr/rap/r12-042-1/r12-042-11.pdf

Réactions2 réactions à cet article

L'évidence presque absurde!
Tout le monde sait très bien que les pesticides sont des poisons dont on ignore tout ou presque. L'effet des combinaisons de ces poisons sur la vie est encore plus inconnu. Il est urgent de mettre en place des vrais mécanismes de protection de la population, de protection des cours d'eau, de protection de l'air (interdiction des épandages aériens). En outre il faut aussi mettre en place les procédures "pollueur-payeur". Le ministère de l'agriculture joue à l'Autruche depuis toujours. Il y a beaucoup de méthode de l'agriculture biologique qui pourrait facilement être appliqué dans l'agriculture soi-disant "moderne" afin d'augmenter la qualité de la production. Cela demande néanmoins de "réfléchir" plutot que faire pousser du blé ou du mais (avec arrosage tous les étés lors des restrictions d'eau!) sur la même parcelle année après année.

arthur duchemin | 06 décembre 2012 à 10h16 Signaler un contenu inapproprié

Halte à ces poisons
La recherche a découvert des pratiques de lutte chimique qui aujourd'hui ne répondent plus aux exigences physiques,sanitaires et écologiques de notre milieu naturel et des êtres vivants. Les pays sous développés sont les malheureux victimes de l'usage de ces produits qui continuent de polluer l'environnement et de nous rendre malade. La politique publique pour la promotion des méthodes de lutte Intégré contre les ravageurs et insectes nuisibles restent toujours inefficace et non durable. Alors qu'à ,côté nous avons l'insécurité alimentaire qui sévit dans beaucoup de pays notamment le SAHEL.
je souhaite que les chercheurs et publicateurs arrivent à convaincre la masse populaire paysanne sur les enjeux de l'usage des méthodes de cultures naturelles et biologiques pour une agriculture saine et durable. Nous ne pouvons obtenir la santé humaine et environnementale que si nous vivons et mangeons sains. L'environnement est notre source de vie et nous devons le protéger pour nos petits enfants.

jeune cadre | 07 décembre 2012 à 11h53 Signaler un contenu inapproprié

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