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Actu-Environnement

Tara Océans : quand l'océanographie devient sportive

Après la panne du treuil électrique, Tara revient aux sources ou presque... Les prélèvements d'eau de mer de la deuxième station en antarctique seront effectués manuellement. De quoi muscler les bras des océanographes embarqués sur l'expédition.

Avec un treuil en panne, les scientifiques de l'expédition Tara océans sont contraints de troquer la rosette habituelle par un modèle de plus petite taille suspendue à un bout. Au programme : séance de musculation avec descente et remontée à la force des bras et à l'aide de winch.

Si dans ces conditions, la profondeur de prélèvement se limite à 150 mètres, c'est-à-dire hors de la zone mésopélagique, la station permet toutefois d'exécuter une partie du programme initialement prévu pour évaluer la biodiversité planctonique locale.

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