Dans son usine de la Rochelle, Rhodia se prépare à reformuler les terres rares des aimants précédemment utilisés dans les éoliennes, les véhicules électriques ou les disques durs. En coopération avec des partenaires spécialisés dans le recyclage des aimants, l'industriel spécialiste de la chimie sera ainsi capable de recycler quatre terres rares : le néodyme, le praséodyme le dysprosium et le terbium. Après les ampoules basse consommation et les batterie NiMH (nickel-métal-hydrure), c'est le troisième projet de recyclage que l'entreprise consacré aux terres rares.
